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Jamais je n'aurais imaginé qu'il se passe tout ça ce soir, que nous allions, nous embrassé.
C'était peut-être une erreur, peut-être quelques choses qui ne se faisait pas. Une pensée, un acte interdit. Nous ne savions pas. Et pourtant, nous y avions pris un plaisir inhumain, une envie soudaine. Un désir que nous avions, tout deux, agrémenté pendant ces long mois. Il n'y avait pas à avoir d'explications à ça. C'était plus que des mots, mais la signification exacte n'était pas toujours la même selon chaque personnes.
Mieux fallait-t-il en profité que de s'en vouloir de n'avoir rien fait.
Il n'avait rien dit après mes paroles. C'était pour lui une validation selon moi, et j'étais heureux qu'il le prenne de la sorte. Mon corps fin se reposer sur lui. Je m'étais allongé pour finir la tête dans le creux de son coup. Une de mes mains se loger devant moi, sur le torse du bel individu et l'autre était laissé à l'abandon. La pluie était là, encore continuellement à sécouler sans jamais dénié s'arrêter.
Comme si le debut de cette pluie avait enfaite crée, le début de l'histoire.
Je me sentais sur un nuage, toutes mes émotions étaient réellement chamboulées. Je réfléchissais trop me direz-vous.
J'essayais de ne pas m'endormir, c'était d'une difficulté terrible pour moi qui avait tendance à rapidement tombé dans le sommeil en sa présence.
J'étais bien sur lui. J'entendais son coeur battre, sa respiration. Je sentais sa chaleur, son odeur. Il avait un parfum si envoutant, si attrayant. Je nichais mon visage dans son coup respirant ce que je ne voulais, maintenant, plus jamais oublier.
Il restait de marbre, appréciant lui aussi, ce moment que nous partagions, de silence dans la chambre non-éclairé. Ses mains étaient posés sur mon dos, comme hésitant de faire un quelconque mouvement. Je sentais qu'il était assez tendu, il ne me caressait pas le dos, il ne bougeait pas ses mains. Elles étaient juste, posé ici.
« Je n'aurais pas du rester. Souffla-t-il.
- Nous ne serions pas là si c'était le cas. Chuchotais-je dans son coup, apportant des souffles faible à sa peau.
- Hoseok, Il s'arrêta. Tu pleurais. Tu avais peur. Sa voix me chuchotant ses quelques mots craqua. » Je releva la tête lentement, voyant qu'il se sentais mal. C'était compréhensible dans un sens.
« Maintenant je suis heureux. Lui souris-je. » Il me fixait cherchant dans mes yeux si ce que je disais était réellement vrai. Son regard fixant me gênait toujours autant.
« T-Tu as besoins de moi, et, j'ai besoins de toi regarde-
- C'est plus que ça... Lâcha-t-il, entamant des caresses à travers mon t-shirt. » J'attendais qu'il finisse sa phrase, aimant son affectueux toucher, sentant ses doigts dévaler mon dos dans un mouvement lent et contrôlé.
Nous nous fixions. Va-t-il s'exprimer ? Me demandais-je, le voyant continuer de me fixer sans finir sa phrase.
Un effet de surprise fit tambouriner mon coeur, comme si ce n'était pas déjà trop pour ce soir. Je ne m'y attendais réellement pas. Il s'était jeté avec lenteur, une nouvelle fois, sur mes lèvres. Mes paupières s'alourdirent tellement les sensations étaient une nouvelle fois passionné. C'était le mot, nous étions passionné l'un l'autre.
Yoongi se détacha. Il n'avait pas durée assez longtemps à mon goût.
« Encore... Susurrais-je, les yeux clos. »
Comme si ce troisième baiser m'avait mit en veille, sentire ces lipes sur les miennes étaient la chose la plus merveilleuse qui m'était dû d'avoir dans ma vie. Je me laissais faire par Min Yoongi qui prenait un plaisir et une tendresse indétrônable à embrassé mes lèvres humident et rosies. J'essayais tant bien que mal d'y mettre du mien mais j'étais bien trop fatigué. Je bougeais mes lèvres faiblement.
Voyant que je m'étais presque endormis, il se releva un peu plus, le coussin adossé à la tête du lit. Arrêtant son doux châtiment que je n'avais cessé d'apprécié, même totalement exténué.
Avant que je ne m'endorme complètement, il embrassa une dernière fois mon front avant d'à son tour fermer les yeux.
Je m'endormis sur lui, dans ses bras chaud et couvrant. Remplit de caresses.
Dans l'instant, j'estimais sincèrement, de mon coeur léger, que cela pouvait et aller durée éternellement. Petite nature. Comme cette pluie dehors qui ne cesser de tomber pour moi sans cesse ce soir-là, mais qui pourtant, s'arrêtera, dès le soleil levant.
