Valentin : L-Les...
??? : ILS SONT LÀ !Je me couche par réflexe derrière le comptoir puis trouve par terre, sous un pied du meuble un caillou en guise de cale. Ni une ni deux je le prends et me relève, le lançant sur une des têtes des quatre étrangers devant nous. Le gars tombe au sol et je prends par le cou un de ses amis, lui prenant son arme et la pointant sur sa tête.
Thomas : Plus personne ne bouge sinon je le bute !
Je met mon doigt sur la gâchette et penche l'homme sur mon genou, pour faire une pression insupportable sur son dos. Il crie de douleur et ses amis arrêtent. Valentin et Maxime se mettent loin des deux autres. Les deux inconnus ont les mains sur la tête, leurs visages camouflés par un tissu noir.
??? : D'accord, d'accord...L-Lâchez le..!
Je penche encore plus mon otage, qui re-crie de douleur.
Thomas : Lâchez vos armes. Maintenant !!
Ils s'exécutent et remettent leurs mains derrière leurs têtes.
Thomas : Qui êtes-vous ? Comment avez-vous survécus dehors ?!
Ils ne répondent pas. Je re-penche le mec en approchant le canon de l'arme près de sa tempe.
Thomas : Répondez avant que je bute votre pote !
??? : Ok, Ok, Ok !! On est venu sur Paris pour re-vivre nor-normalement mais quand on est arrivé le-le dôme était fermé puis ce matin il s'est ouvert donc on est entré m-mais...Je colle le globe sur la tempe de l'homme.
?? : M-mais il y'avait personne alors on a tourné dans la ville. Puis on vous a vue et o-on avait pas l'intention de vous t-tuer !!
Je lâche mon otage qui tombe au sol. Je garde cependant l'arme puis me rapproche de celui qu'à parler en lui tendant ma main.
Thomas : Thomas, enchanté.
Il la prend faiblement.
??? : Félix...D-De même.
Valentin : Vous êtes que quatre ?
Félix : Oui on vient de Vernon, une petite ville au Nord-Ouest d'ici...Je regarde au sol.
Thomas : Les armes ?
?? : Centre de police de notre ville.
Maxime : Tu es ?
?? : Ba-Baptiste. Et lui s'e-
? : Benoit.Il vient de mettre à côté des deux autres. Maxime s'avance et prend une des deux armes au sol et Valentin fait pareil.
Thomas : Et celui là au sol ?
Baptiste : C'est Ernest...
Thomas : Il se réveillera bientôt.Valentin va près de l'endormi et prend son arme.
Maxime : Thom', où sont partis Damien et Hugo ?
Félix : Comment ça ? Vous êtes cinq ?
Thomas : Ils doivent avoir fuit pas loin d'ici, ils ont eu un bon réflexe.
Valentin : On va aller à leur recherche ?
Thomas : Je vais appeler Damien ça sera plus simple.Je prends et allume mon téléphone.
"-Dès que tu peux, contacte moi. Je suis avec Hugo en haut dans un appartement, pas loin du tabac. J'espère qu'il t'ai rien arrivé."
Je l'appelle.
-A-Allo Thomas ?!?
-Allo c'est bon Damien, calme toi...
-Désolé d'avoir fuit mais c'était le moyen le plus simple je-...
-T'as fais le meilleur choix Dam'.
-Vous êtes où ?
-Nous sommes encore au tabac, avec nos agresseurs.
-Comment ça ?
-Il s'avère que j'suis plus fort qu'eux.Il rigole s'en suis de Valentin et Maxime.
-Vous avez pas d'mérite sergent.
Je rigole à mon tour.
-Ouais, ouais, ramenez-vous.
-A vos ordres.Il raccroche et je me met à rire.
Félix : Et vous deux c'est quoi vos prénoms ?
Maxime : J'mappelle Maxime.
Valentin : Et moi Valentin.
Benoit : J'espère qu'on arrivera à s'entendre.
Thomas : Du moment que vous nous dérangez pas dans nos affaires, y'aura rien de grave.Ils arrêtent de parler puis Damien et Hugo arrivent
Hugo : Putain les gars, vue que l'attaque du gaz est arrivée quand personne ne savait il reste dans certaine maison des sachets !
Mes yeux s'arrondissent.
Thomas : Nan ?!
Maxime : Mais c'est génial !!
Valentin : Ouais putain..!
Baptiste : Des...Sachets ?
Maxime : C'est de la poudre qu'on dilue dans l'eau, ça devient une pâte au goût qu'on a choisi et c'est nourrissant.Nos forces ont repris.
Thomas : On va bouffer ?
Maxime : Oui !@Consciencesse.
_hey
•Qui sont ces gens ?
VOUS LISEZ
Stone {Terminé}
Fanfiction"Nous sommes les nouveaux fondateurs d'un nouveau monde." {Terraink} Cette histoire est à la base une fanfiction entre Laink et Terracid. Il y'a aussi un peu de Vodkmixem (Vodk et Amixem) et Hugo Délire est aussi de la partie. Toutes fois, cette his...