Again, Please, Call Me by Your Name [TERMINÉ]

LEMON (SPÉCIAL 10K)

   Je pars me coucher dans ma chambre tranquillement. La journée était longue sans Oliver. Il était parti en ville dès le matin pour finalement finir sa soirée à jouer au poker j'imagine. Il est minuit, et c'est trop compliqué de m'endormir. Je ne m'en y attendais pas, mais j'entends des bruits provenir du bas de ma porte. Je me dépêche de me mettre sous les couvertures tout en faisant semblant de dormir. La porte s'ouvre. Je me demande si c'est bel et bien Oliver qui est rentré, ou peut-être bien ma mère qui est venue me souhaiter une bonne nuit. Les pas deviennent de plus en plus fort en se rapprochant de moi. Je l'entends s'agenouiller de ses genoux qui craquent gentiment. Une main caresse mon visage et j'ai maintenant la confirmation que c'est la main d'Oliver. Douce, froide et virile. Il approche son visage du mien et dépose des baisers un peu partout avec ses lèvres. J'ai envie de lui répondre, mais je suis juste trop curieux de voir ce qu'il fera s'il croit toujours que je suis endormie. Mon cœur bat fort à la chamade, n'a t'il donc pas remarqué que je suis bel et bien conscient ? Il s'assoit sur le bord de mon lit et me caresse la joue. Je frissonne à chaque toucher. Les couvertures qui me cachent partent petit à petit vers le fond de mon lit. Ses mains parcourent alors mes jambes et mes pieds. Il est si dur de ne rien dire, pas un mot, ni de petits gémissements de plaisir, rien. Après un moment à me caresser et ne rien dire et faire, je décide de me redresser et lui montrer que malheureusement, je ne dormais pas. Nous nous fixons un moment avant de nous nous approcher mutuellement jusqu'à ce que nos lèvres se frottent les unes contre les autres, se finissant par un baiser long et bon. Nos deux langues s'entremêlent si facilement que j'ai l'impression qu'elle se connaisse depuis des siècles. Le temps passe, et j'ai de plus en plus mal. Je suis dur et je dois me soulager au plus vite avant que j'explose sérieusement. Je fais la première approche : je frotte ma main sur l'entre-jambe d'Oliver en attendant qu'il fasse de même. Nos bouches sont toujours enlacées et il commence à me frotter aussi. Quelle plaisir inouï. Je dégage vite sa chemise et ses pantalons pour me laisser découvrir une autre fois son corps. Oliver enlève alors mon caleçon et le sien pour frotter nos deux membres ensembles. Ça fait un bien fou, je le fais entendre par mes petits gémissements qui résonne hors de ma bouche. Rapidement, Oliver arrête et me roule sur le ventre. Je l'entends ouvrir le sachet d'une capote pour l'enfiler et en un claquement de doigts, il est en moi. Je ne me suis pas du tout préparé, donc la douleur est forte, mais ce dissipera. Il commence de doux mouvement pour m'habituer à de plus rapide pour finir presque violent. J'aime quand même la sensation d'être dominé. Il me tire les cheveux sans me faire mal vers l'arrière et m'embrasse. Je n'arrive plus à me retenir : je viens dans mes propres couvertures. Je cris si fort en espérant que personne ne m'entends. Il me prend dans ses bras et m'accoste au mur. Il donne des coups de hanches de plus en plus profond qui atteignent enfin mon point sensible. Oliver continue la cadence et je rejouie une seconde fois, cette fois-ci en harmonie avec Oliver. Il prend de grand respiration forte pour finalement me déposer dans mon lit et se roule à mes côtés. Je lui sourit. Il me souris. Il me prend une dernière fois dans ses bras.