Chapitre 16

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Lucy

Je reste ainsi, assise les jambes tendues sur le matelas de mon lit d'hôpital, sous la couette, le dos posé sur mon oreiller. Les doigts croisés et posés au creux de mes jambes quelles formes, tête baissée. Ça fais cinq jours que je suis dans cet hôpital, et je n'en peux plus, je n'en peux plus de m'ennuyer, de sentir c'est odeurs de médicaments et c'est mélange de maladies, de virus, ou d'odeur humaine simplement. L'hôpital est un endroit triste, ou des gens malades, blessés, des gens en détresse trouve refuge. Mais cet endroit est si triste, si désagréable, la bonne humeur, on ne la trouve pas ici.

Je porte une robe blanche, comme tous les autres personnes, mes cheveux sont attachés en tresse est mit sur le côtés, pour éviter poux, et pellicules. Mes jambes et mes pieds sont nus contre la couette plutôt fine et pas très chaude, je dit ça mais j'ai toujours été frileuse. Mon oreiller n'est pas très confortable, mon dos même posé sur lui arrive à sentir le mur contre ma colonne vertébrale...Je me suis lavée ce matin et pourtant je me sens sale, cette l'eau n'est pas très propre mais je pense que c'est autre chose, mais quoi? L'hopital ou je suis n'est pas de bonne qualité, car je ne suis pas tres riche malgrés mes ventes de livres -ils marchent pas bien en ce moment-. En plus de tous ce que j'ai sitée, il y a la laideur de l'endroit, ma chambre deja est horrible avec sa petite taille qui me donne une impression d'étouffer. Toutes piéces sont poussièreuses, certains murs tachés, des araignées trainent dans les coins et tisse des toiles. Le plafonds est bas, et les couloirs étroits, la majorité des clients sont de vieilles personnes toutes recroquevillées et qui sentent mauvaises. Mais le pire de tous, c'est les toilettes, c'est même plus des toilettes tellement c'est dégoutant, dans l'hopital les toilettes sont : Une minuscule piéce pour une personne, la lumiére coupe si on bouge pas -c'est vraiment chiant- et la porte ferme pas à clée du coup on met un panneau "Occupé" ou "Libre", de plus, je n'ose pas posée mes fesses dessus tellement c'est sale! Personnes pensent à tirée la chasse, je comence à ne plus être étonnée quand des sels flottent sur l'eau jaune...En plus, il y a toujours du papier toilettes par terre, ou qui pendouille entre l'interieur et l'exterieur des toilettes. Résultats : J'ose plus aller dans ces chiotte, je préfère largement les miens, dans le coin de ma petite chambre!

Cinq jours que je suis dans ce trou perdu, entouré de ronces et pour seul truc civile à l'exterieur : Une route de campagne, un parking. Mais surtout, cinq jours que je m'ennuie comme jamais, avec quelques nouvelles de mes potes, mais aucune de Natsu...Je soupire pour la milliéme fois, avec seule occupation me triturer les doigts. Je bascule la tête en arriére, contemplant le plafond d'origine blanc, mais gris à cause de la saletée. Je n'ai pas le droit de sortir, je suis sous surveillance car ces stupides médecins n'arrive pas à ce mettres d'accord, car aucun d'eux ne crois en mon histoire. Les artistes sont incompris, dans un sens ou dans l'autre. Certains pense que j'ai hallucinée, ils ne pensent pas que ce sois possible qu'une ombre parvienne à m'étrangler, ils disent que je me suis bléssée seule en hallucinant. Les autres par contre, pensent le contraire, eux prétendent que ce n'est pas une hallucination, car les marques que j'ai gardée au cou deux jours viennent d'une grande main puissante, la mienne est petite et faible. Ils me gardent alors, pour voir si mes hallucinations reviennent ou non. Courage Lucy, encore cinq jours et tu sors!

- Mademoiselle Heartfilia? Ici la grande, la belle, la merveilleuse, la sublime, l'éternel, l'idole, l'incroyable, la majestueuse, la magnifiiiiique Jubia Lokser Alias BonbecBleu!!!!

Ca, c'est Jubia qui se vante d'une voix théatrale en arrivans subitement dans la piéce.

- Et moi c'est la petite Levy Mccgarden, Alias/

-CREVETTE

Hurla Jubia en lui coupant la parole, je souris en voyans mes deux amies ici, et je ris un peu en entendans "crevette". Crevette, c'est le surnom que lui donne Gadjeel, son copain.

-Hey les amies, contente de vous voir! Quoi de neuf ? Demande-je en me levans et faisans la bise aux bleues Que du bon j'espère.

- QUE du bon! Affirma Jubia en mettans ses mains devant mon visage et levans les indexs Devine quoi! Levy et Gadjeel ooooon...

- NAN?! Ils oooooon...

-Oooooon...

-Oooon

-Ooooon...Acheter un chat!!!! Hurla BonbecBleu

-Enfin!!!!!!! M'exclame-je en tapans dans mes mains et sautillans Vous en avez mit du temps à vous décidez!

Levy souris, et c'est à ce moment que j'apercois le paquet cadeau qu'elle tiens fermement dans ses bras. L'emballage est jaune, avec des étoiles éparpillées dessus.

-C'est quoi dans ce paquet?

-Quelques chose pour toi. Me dit Levy simplement en tendant le paquet Enfaite...Il est deja à toi, tu devais l'avoir égarer car il date de quelques années...

-On l'a trouvée en faisans le ménage chez toi pendant que Natsu était chez Wakaba, à travailler.

Je prend le paquet, déchire l'emballage en tirans dessus, ce qui laisse apparaitre un carnet à anneaux. La couverture est noire, et il est écrit en arabesque "Carnet de Lucy". Un carnet de moi, dont je ne me rappelle pas de l'existence. Je regarde mes amies en souriant génée et arquans un sourcils, elles comprennent immediatement que je ne me souviens pas de ce carnet, et elles soupirent en riant. Mon attention ce repose sur le livre, je l'ouvre doucement à la premiére page, le titre est réécrit, je tourne la page une seconde fois et trouve des pages simple, mais ce qui me choque le plus c'est...la façcon dont c'est écrit : C'est du miroir, et jamais j'ai sus écrire en miroir. Jubia et Levy doivent comprendre en voyans ma tête.

-Quoi ? C'est pas le tiens ! Dit Jubia en froncant les sourcils et croisant les bras Qu'est ce qu'il fait chez toi alors?

-J'en sais rien! Je le lirais et vous tiendrez au courant.

Elles hochent la tête et Levy tire sur la manche de Jubia, celle-ci souris et me fais secoue la main de gauche à droite, je comprend alors qu'elles doivent partir, on se fais la bise et se dit au revoir, puis la porte claque, me laissans dans la chambre redevenue silencieuse. Je me place face au miroir, et ouvre la seconde page, l'a ou ça commence, l'écriture deviens de suite plus lisible et une chose est sur : C'est pas mon écriture.

<<Je crois que je délire, ce que je vois n'est pas réelle, c'est impossible! Tous ça est faux, je refuse d'y croire, je refuse de voir, d'entendre, d'en parler aussi. Je suis persuader que je dormais quand c'est arrivée, je suis persuader que c'était un rêve, ou plutot...Un cauchemar! Je me souviens bien de ce qui c'est passé, je m'en rappellerais toujours, de cette vision d'horreur. Mais je vais commencer par le début, le début de la fin, de la fin de ce monde car oui je veux le faire disparaitre! Une planéte ne mérite pas cette laideur! Elle ne mérite pas cette violence, cette nuit éternel, ces plantes séche et morte, ces insectes grouillants partout, mais surtout...Ces créature! Moi! Oul! Je ne laisserais pas ce monde ainsi!>>

Oul?...C'est le carnet de Oul? Alors pourquoi porte il mon nom?...Et que faisait il chez moi?!

Lune Rousse (Fairy Tail)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant