Chapitre 2 {episode 1 : Découverte D'héritage}

6.4K 239 18
                                    

L'infirmière était dans son bureau afin d'étiqueter et de mettre a jour son local de potion que lui préparer si aimablement le Maitre des Potions, quand un Albus Dumbledor inquiet avait fait irruption dans son Infirmerie tout en portant a bout de baguette trois enseignants et deux élèves. D'abord surprise, elle s'était ensuite élancer vers le Directeur afin d'allonger ses nouveaux patients tout en demandant au plus grand Mage du siècle.

Poppy : Enfin Albus, que c'est-il passait ?

Marchant à vive allure vers les lits les plus proches, le Directeur déposa en douceur les cinq corps inconscient qu'il a fait léviter dans quasiment tout le château avec un immense soulagement, à son âge, il était de plus en plus difficile de faire preuve d'une puissance magique stable et continuelle. Il souffla discrètement tout en observant la Medicomage s'afférer autour de ses patients afin d'observer des éventuelles blessures physique. Il soupira en regardant le visage pale et serein de celui qu'il considérait comme son propre fils avant de répondre d'une voix inquiète et lasse.

Albus : Je l'ignore Poppy. Nous étions au diner de Noël.

L'infirmière passe un diagnostique à chaqu'un des patient et trouve se qu'il va pas chez les professeurs et les deux élèves. Elle fait par de ses résultats à Albus.

Poppy : Albus je viens de trouver pour Minerva, Severus et Lucius, il ont débloquer je sais pas comment leur Héritage magique bloquer depuis longtemps.

Albus est sous le choc, et de joie, cela fait longtemps que ses trois là attendait leur héritage mais je sais comment il se sont débloquer.

Albus : bâ ses une nouvelle assez choquent je doit le dire , depuis qui attendait, on avait découvert qui ne se débloquerai que si il trouve leur compagnon. Et pour Monsieur Potter et Miss Granger.

Poppy : Oui il les sont trouver pas de doute et pour Monsieur Potter il reçois son héritage magique, il est très puissant et sa risque d'être douloureux et il se trouve que il a peux être trouver son compagnon ou ces on peux pas savoir il est très puissant.

Albus hoche la tête en acquis avec Poppy Pomfresh.

Albus : Oui pour Harry ses compréhensible et Miss Granger n'est pas aussi puissant que son amis.

Poppy : Pour Miss Granger ses pareil que Monsieur Potter sauf en moins puissant, il n'y a rien qu'on puisse faire, sauf que devrait surveiller Monsieur Potter.

Commence alors une longue attente, soudain des cris déchirant de douleurs qui secouaient les cinq personnes, mais Harry plus fort que les autres. Des halos de lumière de différentes couleur entouraient les cinq corps, pour leur héritage.

Minerva elle est verte, Hermione elle est rose, Lucius bleu foncé, Severus elle est noir et Harry d'un or pure.

Poppy : Albus, Minerva est une elfes des bois, Hermione une fée, Lucuis un elfes de lumière, Severus un vampire et Harry Potter est un veela supérieur à deux compagnon soumis et dominant.

Albus : Bien les lessont les ce reposer nous reviendrons demain.

Albus et Poppy s'en vont chacun de leur coté en lessont les patient seul ce reposer.
                           
            Le lendemain a l'infirmerie

Il se sentait bien, enfermé dans un doux cocon de chaleur. C'est la première fois depuis aussi longtemps qu'il s'en souvienne qu'il se sentait aussi bien, aussi en phase avec son corps, son esprit et son pouvoir. Il s'étira doucement, avec grâce et élégance, tout en poussant un soupir de bien-être. Il essaya de se glisser sur le dos quand un poids empêcha sa progression. Fronçant ses fins sourcils, il ouvrit les yeux, avant de les refermer rapidement quand une douleur lancinante lui vrilla les pupilles. D'après l'odeur bien particulière et la forte luminosité, il se trouvait sans l'ombre d'un doute à l'infirmerie du Collège. Poussant un nouveau soupir, de désespoir cette fois-ci, il se redressa doucement en position assise, les yeux toujours clos. Il frotta à l'aide de ses mains son visage, espérant ainsi rassembler les bribes de souvenirs qu'il avait sur le pourquoi et le comment de sa présence ici. Il se rappelait vaguement du dîner dans la Grande Salle puis, plus rien, le trou noir. Il s'étira de nouveau, les yeux toujours clos, avant de s'asseoir sur le bord de son lit, ses pieds effleurant le sol glacial de l'infirmerie que les rayons matinaux du soleil ne parvenaient pas à réchauffer.

Sans savoir pourquoi, il se sentait bien, le soleil qui éclairait son corps à moitié nu réchauffait agréablement sa peau et cette douce odeur enivrante qu'il sentait lui étourdissait les sens de la plus exquise des manières qui soit. Ce n'était pas l'odeur des potions de soins ou de l'infirmerie, non, mais une autre odeur qui se distinguait parfaitement de celle du lieu de repos. Une odeur subtile, envoutante, masculine sans l'ombre d'un doute, mais qui se définissait par deux gammes différentes formant ainsi une odeur unique. Une odeur de rose et de lys avec un petit quelque chose d'indéfinissable. Si les hormones avaient eu une odeur, ses sens olfactifs lui disaient que cette douce senteur électrisante serait celle des phéromones. Il eut un léger petit gloussement à sa pensée saugrenue, ce que cette odeur était délicieuse et grisante tout de même.

{Harry pense : Bon sang, ce que je suis bien quand même… Madame Pomfresh a dû me faire ingérer une potion calmante, ce n'est pas possible d'être dans un tel état de béatitude.}

{Harry coté pervers pense : Franchement bébé, il n'y a qu'une seule chose qui puisse te faire sentir aussi bien, en phase avec toi-même, tout en ressentant une si grande félicité et ce n'est pas dû à une potion …}

{Harry pense : .....}

{Harry coté pervers pense : LE SEXE ! Bon Dieu ! C'était torride, c'était magnifique. Seigneur ! Qui aurait pu croire qu'ils suçaient aussi bien !}

Il ouvrit brusquement de grands yeux ronds, sans se soucier des larmes qui commençaient à apparaître dans ses yeux clairs, agressés par la trop grande source lumineuse qui se faisait un plaisir d'éclairer la pièce, renforçant la dominante blanche de tous les tissus et meubles.

Oui, mon dieu, ça lui revenait maintenant.

harry potter et son amour pour ses Professeur serpentard Où les histoires vivent. Découvrez maintenant