Why Him ? * KV [En Pause]

💝 15-Rapprochement 💝

PDV omniscient :

Les trois aînés avaient désormé la tête baisser, craignant la réaction du cadet et celle-ci ne mis pas longtemps à arriver. Sa voix tremblait et des larmes se mettaient à dévaler ses joues.

TH : C-co-comment ?

SJ : Tae, je suis désolé.

Son grand frère s'approcha de l'oméga, voulant le rassurer dans une étreinte douce mais il fut violement poussé par le gris, triste. Sans attendre une seconde de plus, il se précipita hors de sa maison, en pleur tout en s'efforçant dans la forêt, sous un ciel sombre.

Un énorme loup blanc galoppait entre les arbres, slalomant entre chaques obstacles, sautant de petits buissons pour finalement arriver à la lisière de la forêt. Son pelage était trempé mais ce jour là, aucun nuage n'étaient à l'horizon, le ciel bleu foncé était illuminé par une lune de nacre.

L'oméga ne retenait plus son chagrin, il avait l'impression que sa vie entière était un mensonge, il ne savait plus quoi penser de tout ça. La seule personne qui serait en mesure de réduire sa peine était son partenaire et ça il l'avait bien compris, à toute vitesse il se précipita donc vers cette maison qu'il n'avait encore jamais pénètre.

En arrivant devant cette ci, il se mit à frapper avec énergie sur la grande porte en bois. En face de lui se trouvait monsieur Jeon, un air surpris sur le visage, le jeunot essaya de reprendre une voix à peu près normal mais il n'y arriva pas, les larmes qui coulaient sur ses joues étaient significatives de son mal-être.

TH : Est-ce q-que je pourrais voir votre fils s'il v-vous plaît.

PDJK : Bien sûr. JUNGKOOK, IL Y A QUELQU'UN POUR TOI !

A l'instant même où l'alpha rentra dans le champ de vision du grisé, il parti en courant se jetter dans les bras de celui-ci. Le plus jeune ne comprenait rien, il avait quitté son partenaire il n'y a même pas une heure et il le retrouvait en larme. En plus de cela, son père était juste devant lui, un regard interrogateur.

Ne voulant pas brusquer le petit oméga, il lui fit signe qu'il lui expliquerait plus tard. Avec une délicatesse qu'il ne se connaissait pas, il attrapa ce petit être vulnérable par dessous les cuisses et l'emena dans sa chambre. Ses pas étaient lents, il ne voulait en aucun cas aggraver la situation.

Dès qu'il fut arrivé à destination, il le fit glisser sur le matelas doux et réconfortant, sans oublier de se mettre à ses côtés tout en le laissant pleurer autant qu'il en avait besoin. Mais ce fut seulement à ce moment là qu'il remarqua l'état de ses habits, ils étaient tous déchirés et taché de terre. Ne voulant pas qu'il attrape froid, le noiraud tira la couverture sur leurs corps enlacés et fini enfin par demander d'une voix douce.