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Ross X stark : L'armure

-Vous n'en n'avez pas marre de ne cesser de vous faire remarquer en oublie dans des situations de crise ?!

Stark soupira très sérieusement. Cela faisait 30 minutes que Everett K. Ross , agent notable de la CIA(merci de ne pas le lire avec l'accent français) l'interrogeais.

-En quoi est ce que ça nuit a qui que ce soit ?

-A nous ! Nous essayons de sauver des gens et des villes entières tandis que vous fanfaronnez !

-Ha ! Vous êtes jaloux !

Le blond haussa un sourcil, énervé.

-Vous êtes complètement megalo.

-Et vous envieux, mais moi j'assume.

-Je ne suis pas... Il se calma. Envieux. Nous aimerions, et je parle au nom de la cia, que vous arrêtiez de faire de chaque mission une façon de vous approprier chaque fois plus de gloire. De la même manière que nous souhaiterions que vous nous remettiez votre armure qui a été décrété comme une arme par notre assemblée.

-Votre assemblée a tort.

-Une armure étant dans la capacité de tuer un humain très facilement, et étant doté d'une surpuissance est une arme très dangereuse que le pays ne permet pas de laisser entre les mains d'un particulier.

-Ce n'est pas une arme, c'est un bouclier, une protection.

-Si ce n'est pas une arme à quoi vous servent toutes ses fonctions capable de porter atteinte à la vie d'autrui ? Pour jouer encore au playboy et faire fondre vos adoratrices ?!

-Me défendre et défendre la veuve et l'orphelin.

-Dans le seul but de pouvoir séduire ladite veuve !

-Ho pas seulement ! Elle ne plait pas qu'aux femmes !

-Ouais, les orphelins aussi vous aimez bien, sans faire allusion à votre plus grand fan boy Peter Parker...

Stark ricana.

-Pour un peu je pourrais croire que vous êtes à nouveaux jaloux.

Le plus petit se crispa, inspira profondément en fermant les yeux comme Martin Freeman avait le don de le faire, puis expira tout en fixant l'autre homme.

-Vous êtes ridicule.

-Ha oui ?

L'armure l'enveloppa et il grimpa a quatre pattes sur le bureau. Leurs visages n'étaient plus qu'à quelques centimètres.

Il se mit à respirer rapidement.

-De-degagez de moi. Immédiatement.

Stark releva juste son masque et l'embrassa.

Everett essaya de pousser l'armure en métal, puis abandonna mais ne répondit pas pour autant au baiser.

Une main métallique caressait ses cheveux, l'autre...bien plus bas.

Un grognement vibra entre leurs Bouches, et la seconde d'après le blond poussait sa langue dans la bouche de l'autre avec passion, essayant visiblement et en vain de dominer l'échange.

-Vous gonflez...

Roucoula le brun.

-Simple réaction physiquement à vos tripotements, n'en soyez pas fiers.

Le milliardaire gloussa et libera une main de sonar mur pour la glisser sous ses vêtements.

-hhh... h... Everett essayait de paraître le plus sérieux possible.