Partie 31 : « Pluie de tristesse. »
L'amour entre deux personnes différent est très compliqué, surtout si quelques temps après la réalité les rattrape. Un couple c'est deux personnes complice, deux personnes qui s'aiment, deux personnes qui se complète.. l'un change face à l'autre et vice-versa. Dans la vie de couple on voit en noir et blanc parfois à cause des disputes qui éclate pour un rien, bien sûr on peut voir en rose, et c'est les pieds dans les nuages qu'on profite de ses moments de joie. L'amour d'une femme peut soulever un poids énorme ; quand cette même femme souffre c'est l'apocalypse dans sa tête et dans son cœur. L'apocalypse qui surgit en elle, est destructrice..
C'est mon cas, j'aime un homme au point de tout faire pour qu'il aille bien, de me préoccuper de sa santé, de son bien être.. malgré que lui ne soit pas aussi impliqué dans son propre bien être. Je me résous au fait que les épreuves de la vie et nos destins enflammés font que nos cœurs soit carbonisés.. pour que cette flamme s'éteigne faut qu'on s'accroche. Le fait que nos destins soit incendiés, laisse des cendres dans mon cœur et dans mon âme.. l'eau qui pourrait éteindre ses braises qui brûle en moi est la religion. Mon attachement à ma noble religion, fait que je m'efforce à ne pas baisser les bras.
Ma vie de couple, j'ai toujours pensé qu'elle serait liée à la religion grâce à mon mari ; mais je suis très vite revenu sur terre en voyant la situation de l'homme que j'aime. J'ai toujours cru, que lorsque j'aurais des baisse de foi, c'est lui qui serait là à me faire des rappels, et à me soulager avec de sage parole mais cette espoir est pour l'instant en attente.
Pour la première un bout de ce rêve se réalise ; entendre mon mari lire des versets coranique pour la première fois m'as chamboulée. Mon cœur vibré au rythme de chacune de ses paroles.. Quand quelqu'un te lit du coran, t'as toujours l'impression que ton corps n'est plus présent. Grâce à ses sage parole divine, ton âme se nourrit, et ta foi s'intensifie ; c'est la magie du Saint-Coran. Je me laisse porté par la voix de mon mari.
Le bonheur se trouve bel et bien dans la religion, et je m'en rends compte quand j'entends la sonorité de sa voix aussi apaisé en prononçant les paroles du Divin. J'ai l'infime sensation, que le soleil illumine nos prosternations.
Hâlim garde en lui tellement de mauvais onde qu'on en oublie l'être humain qu'il est ; pour lui faire décrocher un sourire faut remuer ciel et mer, montagne et colline, soleil et lune. Grâce à Dieu avec moi c'est quelques bêtise qui le font sourire. C'est glauque de se dire que ton mari est un homme qui suit un chemin contraire à celui qu'on aurait aimé qu'il suive. Sachez qu'on peut avoir les meilleurs intention du monde ; sortir des mauvais impasse, changer de vie, être une bonne personne le plus difficile est de le faire.
Après ce moment magique, je me suis plongé dans un nuage de bonheur ; dans ses bras. On s'est regardé longuement sans se dire un seul mot, parfois on se comprends juste grâce à un simple regard. En même temps, on a sourit comme deux fous. On avait toujours un regard attentionné envers l'autre, c'était incroyable !
Notre histoire est étrange, et est peut-être incompatible. Deux caractères différent s'entrechoquait ça fait toujours des étincelles, et c'est ce que je redoute. La vie qu'il mène est dangereux, j'ai peur que ce danger me l'enlève. Malgré que j'avais une peur qui me tiraillais, je souriais pour ne pas gâcher ce fabuleux moment.
*
Je me suis réveillée avant lui. J'avais repassé une nuit dans ses bras ; tout ça m'avait vraiment manqué. J'avais un point dans le cœur ; en le voyant dormir comme un bébé.. et ce point dans mon cœur s'intensifiait en pensant à un mauvais présage. J'ai caressé la cicatrice sur sa joue comme quand je le faisais lorsqu'on était chez nous. Ce geste anodin m'avait beaucoup manqué.
Les au revoir ressemblait tristement à des Adieu. J'avais une boule au ventre à cause de ce mauvais pressentiment, j'essaye de me dire que c'est juste un mauvais sentiment et que ça passera mais elle est trop puissante pour s'évaporer. Il me prends dans ses bras et me chuchote de prendre soin de moi, et à envoyer un « je t'aime » de manière implicite. Avant, il me l'aurait dit facilement, mais depuis qu'il est dans cet endroit, j'ai l'impression que mon mari ne l'est presque plus, et qu'en face de moi j'ai limite un simple inconnu.
La mort rode autour de cette appartement, de ce corps, je me détache de lui comme si je venais de me brûler ; j'ai peur, peur de le perdre, peur qu'il finisse dans un linceul blanc à cause de tout ça.. ce jour là je me sentirais coupable, car j'étais présente au moment même où ils ont préparer leur plan, et je n'ai limite rien fais pour l'en dissuader.
Sachant que c'est une tête de mule pourquoi essayer ? Je me remet en question. Je commence à faire les cent pas en attendant Djibril. Le stresse se voit car je froisse ma 3abaya comme une cinglé. J'ai la crainte que l'ange de la mort soit à deux doigts de me le prendre. Ma mère m'a toujours dis que les pressentiment d'une femme sont parfois tellement puissante qu'on a l'impression qu'elle vont se réaliser, parfois c'est de vrai pressentiment, parfois non.. la leçon à retenir est de se méfier des pressentiments.
Des larmes glissent le long de mes joues, je les efface immédiatement. Il se place devant moi tel un obstacle m'empêchant d'avancer, et me prends la main pour que j'arrête le massacre que je fais à ma 3abaya. Il a du avoir un tilt dans sa tête qui lui a fais comprendre mon éloignement soudain.
- Hâlim : Il va rien m'arriver, rien.
- Tu peux pas en être sûr. Viens on rentre, s'il te plaît, je t'en supplie Hâlim.. on va retrouver notre vie d'avant, si tu veux on quitte Paris, on part loin mais partons d'ici..
- Hâlim : Je t'interdis de pleurer Hâyat, ma femme c'est pas une faible ! Si je les laisse tombé, on va me prendre pour un traître et je le suis pas.
- On a prié ensemble hier, et te voir autant apaisé m'a fait du bien tu sais.. je préfère qu'on pense que tu es un traître en suivant le bon chemin, que un homme qui suit le mauvais et qui finira peut-être inerte..
Il essaye de me prendre dans ses bras, mais je le repousse. Ce geste a était instinctive, on a jamais eu de discussion jusqu'à la fin sans qu'il ne cherche à me consoler, ou à changer de sujet.
- Hâlim : Pourquoi tu me fais ça ? Aujourd'hui en plus.
- C'est facile de me prendre dans tes bras, de me consoler, mais en attendant j'attends des actes Hâlim, des actes !
- Hâlim : Quand ça sera finit...
Je l'ai coupé. L'entendre rabâché la même chose m'exaspère et me fait encore plus de mal. On croirait qu'il a un disque dans son cerveau, qui est sur « répétition ».
- Quand ça sera finit, je vais tout arrêté c'est ça que tu veux dire... Hâlim je sais pertinemment que t'arrêtera rien du tout maintenant.. regarde moi -en essuyant mes larmes- je rêve de fonder une famille, d'avoir des enfants, d'avoir un mari dans le droit chemin, de ne pas m'inquiéter tout le temps.. toute ma vie j'ai souffert de l'école à aujourd'hui je souffre.. au début c'était mes parents, les personne de ma classe se moquer de mes parents quand j'étais petite, j'ai tout encaissé Hâlim, tout, jusqu'à aujourd'hui.. j'ai vingt ans, je suis marié et je souffre toujours autant et c'est pour toi maintenant, pour toi ! J'en ai marre -en essuyant mes larmes- j'en ai... -en suffoquant- marre ! J'aime un criminel, c'est mon destin et je l'accepte, mais ça fais mal Hâlim... qui me dit qu'un jour je te perdrai pas ? À cause de la rue qui t'ôtera ton âme, ou à cause d'une Sarah quelconque ? Qui me le garanti ça ? Tes actes me le garantissent pas ! Je veux être sereine.. notre vie de couple se résume à ça ? C'est pas un jeu, le mariage, c'est pas un jeu.. si j'avais le courage Hâlim par Allah je t'aurais dénoncé, j'aurais fais coulé ton plan, quitte à souffrir..mais ce courage je l'ai pas, je t'aime trop pour faire ça.. je t'aime et tu es devenu une de mes faiblesses...
Il m'a écouté attentivement vociféré ses paroles qui venait tout droit de l'organe vitale qui bat dans ma poitrine. Je lui ai débité à peu près mon enfance sans faire attention ; je n'avais jamais autant divulgué sur mon passé avec lui que à ce moment-là. J'essuyais mes larmes et renifler pour oublier tout ce que je venais de dire ; je me suis dirigé vers le canapé pour fermer mon sac et la mettre sur mon épaule. Je voulais partir de cet endroit. J'étouffais, c'était comme si quelqu'un à l'intérieur de moi appuyer sur mes poumons pour m'empêcher de respirer.
L'impatience se fait sentir car je m'avance vers la porte sous son regard foudroyant pour sortir de ce lieu. Tout ne se passe pas comme prévu, puisqu'il m'a retourné, et me regarder de son regard le plus noir. Dans ses yeux c'était des boules de flammes, mélanger à des éclairs c'était terrifiant, de voir d'aussi beaux yeux dégageait une telle hargne. Il m'a prit les deux bras, et serré de toute ses forces, on aurait dit qu'il voulait me casser les deux bras :
- Tu..tu me fais mal..
- Hâlim : Dis-moi ce que tu veux, le divorce ?
- Aïe...arrête tu me fais peur..
- Hâlim : Tu veux le divorce Hâyat ?
- Non.. mais lâche-moi.. arrête..
- Hâlim : Je fais tout ça pour toi, je veux pas qu'on te fasse du mal, je veux pas !
- Arrête..
- Hâlim : Tu va jamais comprendre que je fais tout ça pour ton bien !
- Tu me fais mal ! Lâche-moi !
Criai-je. Il me lâcha immédiatement et à passer sa main derrière sa nuque ; il s'est un peu éloigné, mais est revenu immédiatement, il me fusillé du regard.. tout d'un coup il donna un gros coup dans le mur juste à côté de moi. J'ai regardé le trou qu'il avait fait dans le mur, je le craignais, je craignais mon propre mari.
- Hâlim : Tu veux me mettre en prison ? Vas-y mais sur tout ce que j'ai de plus chère dans ce monde pourri tu me retrouveras mort !
- Tu me fais mal intérieurement et extérieurement... t'es pas Hâlim, t'es pas mon Hâlim..t'es...t'es un monstre..
Balbutiai-je.. je pleurais à chaude larme. C'était la chute du Niagara qui glissait sur mes joues.
- Hâlim : Mort, Hâyat, mort !
C'était vraiment pas Hâlim que j'avais face à moi, mais un autre homme ; un homme qui sait comment me touché. Il répétait la même chose, comme pour me faire culpabilisé des paroles que j'ai prononcé auparavant. Je lui criais de se taire, mais il ne le faisait pas, il continuait, et me toucher d'une balle en plein cœur. Que je pleure, que je hurle, il ne s'arrête pas, et je sors des mots que je regrette immédiatement :
- Quitte ce monde comme ça je souffre plus à cause de toi.. quitte-là !
Au même moment, quelqu'un ouvrit la porte et c'était Djibril qui nous regardait les yeux grand ouvert. Je suis sortie dans le couloir, j'avais mal à cause de ce que j'avais dis, j'avais mal car, lui avait prononcé des choses que je ne voulais pas entendre.. la douleur était poignant, à en faire perdre la vie à n'importe qui ! On ne souhaite pas la mort aux gens et c'est ça qui m'as fait regretté mes paroles.. on m'a toujours appris à réfléchir avant de parler et à cet instant-là je ne l'ai pas fais.
J'étais tellement anéanti après ce que j'avais dis, que je suis retourné dans l'appartement pour m'excuser. Le souffle de Hâlim brisait le silence dans la pièce, on aurait dit un taureau attendant sa proie. Djibril ne disait rien, il était sous le choc et regardait Hâlim. Je suis partie devant lui, pour m'excuser, pour lui dire que je regrettais, que je l'aimais, mais sa violence verbal à pris le dessus sur tout. Les mots sont parfois pire que les coups et laisse des séquelles pendant des lustres.
Ses yeux étaient rouge sang, ses yeux brillaient énormément, c'était de la rage, c'est tout ce que je voyais dans la profondeur de son regard, une veine ressortait de son front ; j'ai compris que la colère avait gagné, et qu'il n'allait pas se contenir. Dès que j'ai ouvert la bouche, il m'a coupé et m'a pointé du doigt :
- Hâlim : T'es plus rien pour moi ! Plus rien ! Je veux plus jamais te revoir, plus jamais !
- Je..
- Hâlim : Plus jamais ! Dégage ! Casse-toi ! Prends la porte et reviens plus !
Il me prit par le bras violemment et m'a mis à la porte, il est retourné dans l'appartement mais je l'ai suivit.. je ne voulais pas admettre qu'il ne voulait plus de moi dans sa vie.. La haine, la colère, la violence émanait de lui, et il le faisait savoir en éjectant tout ce qui lui passer sous la main contre le mur. Djibril lui criait d'arrêter, mais impossible de le raisonner ! Le chaos dans mon cœur, une avalanche de larme se déversait.. Finalement, Djibril m'as fait sortir de l'appartement, à notre sortie on a entendu un gros « BOUM » provenant de là où il se trouvait. Je voulais faire demi-tour, mais l'homme qui m'escortait n'était pas d'accord, pour mon bien et celui de mon mari. D'après lui, on devrait le laisser se calmer et tout se passera bien.
Dans la voiture, je regarde le sinistre décor qui défilent.. je sais même pas de quel côté de Paris nous sommes. Au loin, j'aperçois les grandes tours d'un quartier. En un rien de temps, j'étais dans mon quartier. Une certaine nostalgie s'empare de moi, malgré que j'ai essuyé mes larmes, ils sont toujours au bord de mes yeux et n'attends plus que de couler. Je remercie Djibril, qui me rassurais en me disant que Hâlim parlait sur le coup de la colère, et qu'il va reprendre ses esprits.. que lui-même demandera à me voir. Je n'en avais pas la certitude !
J'ai pris mon sac et suit descendu de la voiture. Il démarra me laissant là avec mes tourments. Je regarde ma tour ; je l'ai quitté il y a peu avec mon mari, et maintenant j'y reviens définitivement.. dans les yeux de Hâlim j'ai vu la fin de notre histoire, et le début d'une longue série de tristesse. Je monte les escaliers avec nonchalance. La main sur le poignet de la porte de chez mes parents je verse une larme.. ma mère et mon père étaient assis sur le canapé, en m'entendant rentré ma mère me regarde et s'est levé immédiatement. Je me suis blottie dans ses bras, j'ai cherchée réconfort dans les bras de ma mère.
- Baba : Nadjima qu'est-ce qu'il se passe ?
- Yemma : C'est ta fille.
- Baba : Elle a quoi ? Elle est où ?
- Yemma : Dans mes bras..
- Baba : Hâyati.
Il tendait sa main.. je suis sortie de l'étreinte de ma mère et me suis avancé vers lui. Je me suis accroupie sur le sol et j'ai posé ma tête sur ses genoux. Je mouillais son qamis avec mes pleures.
- C'est fini Baba... je me suis disputé avec lui... baba j'ai mal.. il veut plus de moi..j'ai dis des choses que j'aurais jamais du dire.. je le mérite pas.. je mérite pas son amour... votre fille est mauvaise..mon mari veut plus de moi..
Je laissais échappée des bouts de phrase plus farfelue les une que les autres.. mon père essayait de me consoler mais rien y faisait. J'avais extrêmement mal, c'était comme si j'avais un couteau dans le cœur et qu'on s'efforçait de l'enfoncer.
- Baba : Tout ira bien, il va revenir.
- Yemma : C'est comme ça la vie de couple, il y a des hauts et des bas..
- Baba : Regarde ta mère et moi, malgré nos disputes, des choses qu'on est dis qu'on a regretté ensuite, malgré beaucoup de chose on est toujours ensemble.
Tes paroles sont véridique Baba, mais compare pas ta belle histoire d'amour avec la mienne. Mon histoire tu le savais depuis le début qu'il serait difficile, tu sais à quel point je souffre. Tu m'as fais comprendre qu'il allait changé grâce à moi mais ce n'est pas le cas Baba.. on ne transforme pas un rocher en pierre c'est impossible. Baba, j'ai semé de mauvaise graine et maintenant il n'y a que des mauvaises plante qui pousse sur cette terre de tourment que j'ai construit.
Toute la nuit, j'ai pleurée dans les bras de ma mère. Mon père faisait de son mieux pour me calmer mais rien y faisait. Quand je repensais à la scène, à ce que j'avais dis ; j'explosais en larme. Pourquoi tant de souffrance ? La parole peut être douce, mais devient amer limite un poison quand elle est utilisée à mauvais escient. La séparation pour le cœur d'une femme est pire qu'un crash d'avion, la rue à gagner face à l'amour, il ne reste plus qu'à faire preuve de bravoure.
*
Le lendemain sur les coups de 4 heure, mon corps entier était ankylosé, j'observais ma mère qui s'était endormie à mes côtés. J'avais mal physiquement et moralement ; ma tête tourné. J'avais des montée soudaine de nausée. J'ai couru dans les toilettes pour vomir tout mes tripes. Mon cœur lâche et mon corps suit. J'ai fais des aller-retour dans les toilettes. Dans la salle-de-bain face au reflet d'une femme abattu, les yeux gonflés et rougeâtre je ne me reconnaissais plus du tout. J'avais beau passé de l'eau froide sur mon visage, je sentais une goutte chaude rouait le long de mes joues ; ça me semblait impossible d'arrêter de pleurer. On aurait dit que mon monde entier s'était écroulé, et c'était le cas.
En entendant frappé, je suis sortie de mes pensées, et je suis partie ouvrir la porte. C'était ma mère qui me regardait avec compassion. J'ai esquissé un léger sourire qui voulait dire « t'inquiète pas » mais je savais que je n'étais pas du tout crédible. Une soudaine envie de vomir pour la énième fois s'est fait sentir, j'ai couru dans les toilettes. Après de longue minute dans les toilettes, je suis sortie et ma mère était debout face à moi me regardant les yeux ébahit.
- Yemma : Tu es enceinte Hâyat ?
Enceinte ? Quel femme n'aimerait pas l'être. C'est l'état où nos grands-mères, nos mères étaient avant de nous avoir. Donné la vie doit être la plus belle chose qu'une femme peut ressentir dans ce monde. Porté neuf mois un petit être dans ses entrailles doit être magique ; c'est le rêve de toute femme mariée.