Mur d'un fou

Indulgence des grands envers les petits

A toi mon frère omzoti ! T'avoir connu demeure toujours un grand honneur. Mais laisse Sokhnamly1996  tranquille sinon elle risque de te surprendre paix sur toi brother mine.

Tout ce qui saute grandement à nos yeux fut une fois minuscule. À force d'y mettre le nécessaire, les souhaits finiront par donner l'espoir promis. Cet arbre que tu vois en face de toi n'était que graines de semences il y'a quelques temps. L' as tu perturbé  pour le voir bien grandir ?  Tu l'as protégé de toute influence extérieure et à corriger ses écarts par rapport à sa norme sans autant diaboliser sa nature. C'était agaçant de l'arroser, d'y mettre de la fumée en se posant la question à  savoir que deviendra cette chose innocente, naturelle, belle, donneuse de vie bref cette chose à contemplation exorbitante. Pourtant, il te nourrit aujourd'hui. Pareil à ce minuscule être humain tout mignon, aux yeux luisants d' innocence, au sourire pétillant et large de limpidité. Son ingénuité rayonnante dans le vide de la pureté, la pureté des anges paradisiaques remplie d'amour pur. Que cet amour pur soit au centre du cercle de votre volonté pour bien assurer ses subsistances ! L'on dit souvent que l'enfant voit ce que l'adulte ne voit pas, j'aurais le compas dans l' œil pour percevoir dans l'œil-de-bœuf car l'absence de vue de l'œil n'est que paralysie mais celui du cœur réside cécité totale. Dirait on l' adulte pourrait scotcher son assise au sol en voyant ce que l'enfant au sommet de l'arbre ne saurait apercevoir, que les adultes demeurent longtemps avec nous ! Mais les enfants d'hier sont devenus les adultes d'aujourd'hui, les enfants d'aujourd'hui deviendront les adultes de demain. Nous devrions les aider et avoir pitié d'eux pour qu'ils puissent relever les défis de demain, pour qu'ils puissent nous imputer main forte. Innocence enfance, pure innocence il n'est qu'amour et pureté dans le cœur. Cet amour inconditionnel qui définit sa personnalité mérite d'être source d'indulgence à votre égard. L'enfant, terrible ou posé qu'il soit, vous rappelle indirectement votre personnalité antérieurement psychique. Avec eux , nous sommes capables de comprendre à peu près comment nous étions à leur âge. Aurions nous été victimes de manque d'indulgence envers nos grands? Que sommes-nous devenus ? Il y'a le poids de la tolérance, celui qui pèse des milliards de quintaux, capable de gagner le bas de la balance de l'autre côté sur pesage. Ce trésor vide de lui même se glorifie par la douceur et l'attention. Il ne doit aucunement être victime de violence. Il est une feuille vierge sur table. L'effet du vent fort peut la faire tomber, alors ramasser et nettoyer pour la remettre. Vous prenez le portrait de ce que vous avez de plus cher pour l'apposer au dessus, n'empêche que parfois vous gommez en  laissant quelques traces de saleté et vous continuez. Et quand il vous arrivera la malchance d'abandonner en déchirant la feuille, sachez que vous êtes enterrés par l'échec. Le monde extérieur mettra forcément ses empreintes sur lui. Il marchera, parlera et se comportera à titre rué oui mais vous êtes le correcteur tolérant. Vous lui donnez le meilleur de vous-même en rectifiant ses erreurs qui deviendront cicatrices. En cas de manifestation d'actes contradictoires aux normes de tolérance, tout effort pourrait être vain. Celui qui n'a pas assez de force pour se défendre, a son esprit pour mémoriser ses meurtrissures. Les grands doivent  bigrement bien propager la tolérance envers les petits car ils sont non seulement l'avenir de demain mais aussi les détenteurs de souvenirs du passé. Ayez le don de les regarder dans les yeux en cas de fautes pour comprendre cette expression de désolation qu'ils ne sauraient  prononcer voire même son sourire honteux qui se dessine sur ses lèvres en gardant les yeux à moitié ou totalement fermés. Faites-les comprendre la vie par votre indulgence, ils vous remercieront demain. Ayez la facilité de les pardonner, ils auront pitié de vous. Ils sont fruits de toutes nations.
Sans compatibilité de l' équivoque, le germe de l'évolution de sa valeur s' insurge sur son ensemble de  circonstances considérées par son vécu. A beau être témoin de ses événements illustres, les remords remonteront de faibles quantités , si bien sûr la tolérance y trouvait amplement son espace découvert. Aucun moyen d' obstination à vouloir faire de l' ivraie du froment. L'essentiel, votre raison de motivation décisive du passé que vous manifestiez n'a jamais été effacé dans les gravures de masses de pierres dures abruptes du siège de sa pensée. De là, les remords deviendront meurtrissants.  Il sera toujours du côté de votre sens bouleversant d'avoir songé vos injustices antécédentes vis à vis de lui. Éprouvez-les au plus profond de vous-même, ils ne sont qu' attachement.
Donnez-les autant qu'ils voudront, ils ne sont que fructueux.
Pardonnez-les sur la base de l'authenticité extrême, ils ne sont que tolérance. Le ressentiment est enfant, l' antipathie est adulte. Honorez la méthode d'enfant à adultes et non le contraire. Le petit ouvre ses sens, aperçoit, subit, indique le statut en lui et passe. Que ses indications soient luisantes au point de ne vous cabrer dans les débris de construction de l'opprobre!
Que le tout puissant mette de l'amour entre vous afin que leurs fautes soient des victoires considérables à améliorer.
Ce respect des opinions, manifestes et impressions n'est pas un sans savoir à quelque chose pour eux au point de n'être plus. Il sera au cyclisme d'atteinte du seuil de la rentabilité de savoir prospérer. Nous étions comme eux, ce qui le justifie est que chacun se souvienne des personnes qui leur ont voué indulgence dans l'enfance. À chaque croisade œillères vis à vis de ton supérieur, les souvenirs reviennent. Ne répétez en aucun cas les intolérances dont vous avez été victimes dans l'enfance sur vos inférieurs. Car ils deviendront grands et rien ne le vaut.
Que notre présence sur l'enfance d'autrui ne soit pas un motif de guerre !

Jahjeufeté !✌️