INT. MAISON BROUSSARD/SALON - NUIT
Anaïs regarde la télévision, allumée sur une émission policière quelconque, à côté d'Arthur. CATHERINE, la petite-amie d'Anaïs et belle-mère d'Arthur depuis quelques années, est assise à la table de salle à manger en train de rouler des cigarettes.
Arthur est roulé en boule dans un coin du canapé. Il est sur son téléphone, en train de parcourir les derniers commentaires sur son blog, tous positifs. Il s'arrête sur un commentaire de « DaphyLCT ».
DAPHNÉ (OVER)
Ce poème était tellement beau et bien écrit ! J'adore ta plume ! Et les sujets dont tu parles sont tellement originaux et importants ! J'ai hâte de lire le prochain. Bisous !
Arthur reste bloqué, son pouce immobile au-dessus de l'écran. Il parcoure encore et encore le commentaire du regard.
ANAÏS
Qu'est-ce que tu fais ?
Arthur redresse la tête vers Anaïs et verrouille son téléphone à la hâte. Anaïs le regarde avec un petit sourire maternel.
ARTHUR
Rien de spécial. Je parle avec Basile.
Anaïs hoche la tête. Catherine s'approche d'elle, lui embrasse la joue et s'assied à ses côtés dans le canapé.
Arthur détourne le regard et reporte son attention sur son téléphone. Il le déverrouille et lit de nouveau le commentaire. Puis il quitte son blog et verrouille son téléphone.
Arthur se lève.
ARTHUR (suite)
Je vais me coucher. Bonne nuit.
Catherine et Anaïs lèvent la tête de leur conversation et lui sourient. Arthur les embrasse à tour de rôle.
ANAÏS
Bonne nuit, chéri.
CATHERINE
Fais de beaux rêves, Tutur.
Arthur commence à s'éloigner vers les escaliers.
ANAÏS
Oh, Arthur !
Arthur se retourne vers Anaïs.
ANAÏS (suite)
N'oublie pas de relire rapidement tes cours de demain avant de dormir.
ARTHUR
Oui, maman. À demain.
Arthur monte les escaliers et entre dans sa chambre.
VOUS LISEZ
skam france, s5 - arthur
Fanfiction"Quand Arthur voit son masque s'effriter et resurgir devant lui les angoisses qu'il pensait avoir éradiqué, il plonge et a l'impression de ne plus pouvoir remonter à la surface." - - - - Avant même que la saison 5 ne soit annoncée, j'ai commencé à t...