Préférences // Marvel

19# Vous Parlez Bébé

Tony :

Tous les deux dans l'atelier, vous étiez en train d'améliorer l'une des armures de Tony. Il te demandait rarement de l'aide, mais là, il avait grandement besoin d'aide.

Mais même à deux, vous aviez du mal à réaliser la tâche sur laquelle Tony bloquait depuis des semaines.

- Mon coeur, je te jure que si la prochaine fois que tu crées une armure tu n'utilise pas un système plus pratique...marmonnais-tu en galérant.

- Ce qu'il nous faudrait, c'est une paire de mains en plus.

- Ben je sais pas toi, mais moi je ne connais personne qui serait qualifié pour ce genre de choses !

Il soupira longuement, abandonnant son armure.

- Si on avait un enfant, il serait sûrement capable de nous aider.

Tu le regardais comme si il était complètement fou. En voyant ton air ahuri, il leva les yeux au ciel en souriant :

- Je plaisantais, chérie. Je ne prévois pas de te faire un bambin, là tout de suite maintenant.

Tu lâchais les outils que tu tenais, te plaçant face à lui :

- Nan mais plus sérieusement Tony, ça te plairais d'avoir un enfant avec moi ? demandais-tu timidement.

Il parut un peu prit au dépourvu par ta question :

- Et bien, l'idée ne me paraît pas complètement insensée, ça me plairait oui, mais pas avant quelques années.

Tu hochais la tête, d'accord avec lui.

⭐⭐⭐⭐⭐

Steve :

Raccrochant ton téléphone, tu accours vers Steve, qui était assis dans votre canapé.

- Hey beau blond, devines quoi ? Tu te souviens des amis qu'on a aidé pour leur déménagement ?

- Oui, pourquoi ? te demanda-t-il.

- Ils vont avoir un enfant ! annonçais-tu joyeusement.

- C'est génial pour eux ! répondit-il, sincèrement heureux.

- Quand même, ça doit être bien d'avoir un enfant, dis-tu, rêveuse.

-  C'est surtout beaucoup de responsabilités, tu sais ?

Tu hochais doucement la tête :

- Je sais, c'est bien pour ça que je ne me sens pas encore prête pour avoir un enfant.

- Je ne me sens pas prêt non plus, de toutes façons.

Tu lui souris, te calant contre lui.

⭐⭐⭐⭐⭐

Bucky :

Comme à ton habitude, tu étais allongés sur le torse de Bucky, lui même allongé sur le canapé.

Vous étiez en train de regarder un reportage qu'avait fait une de tes collègues sur les enfants et l'école dans le monde.

- Quand même, leurs parents les laissent faire des kilomètres tout seuls, à pied, dans des montagnes ultra dangereuses. Ils n'ont pas peur qu'ils se fassent agressés par je ne sais quoi ? dis-tu.

- Oh, à mon avis, ils ont l'habitude là-bas. Et puis là, y avait des équipes de journalistes, te répondit Bucky.

Tu haussas les épaules :