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33# Pendant La Grossesse

Tony :

Depuis que tu es enceinte, Tony ne te lâche plus. Et lorsqu'il est forcé de te laisser seule, même juste pour aller à la salle de bain, il demande à une armure de te surveiller.

Comme vos filles arriveront bientôt, il s'était mit à préparer leur chambre. Il voulait absolument le faire lui même, du coup tu te retrouvais toute la journée en tête à tête avec une armure et FRIDAY.

En ayant eu marre de te sentir épiée par cette armure, tu avais attraper tes outils et bidouillé deux trois trucs afin de la reprogrammer, te laissant avoir du temps seule.

Montant les escaliers, tu entrais dans la futur chambre des bébés, faisant se retourner ton mari.

- Chérie ? Où est l'armure ? dit il en se levant et en venant près de toi.

Tu croisas les bras :

- J'en ai eu marre, Tony. Tu peux pas savoir à quel point je m'ennuie.

Il soupira, te prenant dans ses bras :

- Je veux juste t'éviter de te blesser.

- Et moi je veux passer du temps avec toi. Laisse tes armures finir pour ce soir.

Il réfléchit, avant d'acquiescer.

⭐⭐⭐⭐⭐

Steve :

Tu étais allongée sur votre lit, Steve était en train de préparer le repas dans la cuisine. Alors que tu te caressais rêveusement le ventre, tu te redressas d'un coup, te levant et courant vers ton époux.

- Steve ! criais-tu, le faisant sursauter.

- Quoi ? Le bébé arrive ? paniqua-t-il.

Tu secouas la tête.

- Alors quoi ? s'inquiétait-il.

- J'ai envie d'une barbe à papa.

Il te regarda longuement, avant de soupirer.

- Toi et tes envies de femme enceinte...soupira-t-il en levant les yeux au ciel, avant d'aller chercher sa veste.

Il t'embrassa le front :

- Je reviens, envoie moi un message si une autre envie te prend.

Tu lui souris, ravie. Et le voilà partit te chercher une barbe à papa, à 21h.

⭐⭐⭐⭐⭐

Bucky :

Dansant comme une folle, tu profitais de l'absence de ton mari. Depuis le début de ta grossesse, Bucky est surprotecteur, te laissant à peine descendre un escalier.

Mais lorsqu'il s'absente, tu mets la musique à fond, te déhanchant comme une folle sur le rythme de tes chansons favorites. La musique étant trop forte, tu n'entendis pas la porte s'ouvrir.

Par contre, tu entendis ton mari hurler :

- [Y/N]!

Tu coupais rapidement la musique, te tournant vers lui.

- Oh, tu es rentré plus tôt, non ? demandais tu innocemment.

Il croisa les bras sur son torse, te regardant, les sourcils froncés. Tu soupiras :

- Oh c'est bon Bucky ! C'est pas danser qui va me tuer, te plaignais-tu.

Il finit par soupirer à son tour, venant t'embrasser la tempe.