CHAPITRE 14

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********* JERRY ********
Nalaima (riant): krkrkr
Moi (amusé): si on terminait ce qu'on avait commencé?
Nalaima (pleurant de rire): plus tard mon cœur, je vais au toilette.
Moi (surpris): QUOI???
A peine eusse parlé, qu'elle s'enfuit dans la douche. Pff! Et moi qui étais bien au chaud. J'avoue que la tête de Anastasie était vraiment drôle quand elle nous a surpris. J'enfilai un bermuda et m'assis dans le canapé en attendant Nalaima. Je parie qu'Erick ferait une crise s'il savait ce que l'on a fait sur son fauteuil préféré. Je continuais des rêver des milles et une caresses que j'infligerai à nalaima quand on sonna. Surement que Anastasie avait repris ses esprits. J'ouvris la porte et là, j’ai beugué direct. Qu’est ce qu’elle fout là elle ?
Moi: qu'est ce que tu fous ici??
Ange: tu me manques bébé.
Moi (amusé): désolé mais ce n'est pas réciproque.
Je voulus fermer la porte, mais elle se plaqua violemment sur mon torse dans l'espoir de m'embrasser.
Moi (la repoussant): t'es malade ou quoi? Toi et moi sa n'a jamais existé, alors tu me feras le plaisir de dégager de chez moi!
Ange: je t’aime et je te pardonne tout babe... reviens moi.
Nalaima: quand on vous parle même pourquoi vous êtes têtu comme ça??
Avant que je ne puisse rajouter quelque chose, elle bondit sur ange. En bon citoyen je me suis reculé pour lui donner plus d'espace. Elle est montée sur Ange et s’est assise sur elle en la giflant. Je devrais intervenir nor?
Nalaima : qu’est ce qui est dur à comprendre dans (détachant chaque syllabe) je ne veux plus de toi.
Ange (vociférant) : va te faire voir salle crève la fin. Porteuse de maladie et… Aïe sniff
Nalaima venait de donner un coup sur sa bouche et les larmes coulaient de ses yeux. Je devrais vraiment intervenir.
Nalaima : plus jamais ne parle de moi comme ça. Tu ne me connais pas.
Elle la corrigeait proprement. Ange ne faisait que crier et la porte étant ouverte les voisins commençaient à affluer.
<< Ma chérie tire bien la greffe la>>
<< regardez la, tu n'as pas force tu viens chercher mari des gens>>
<< Vous aussi à cause de garçon vous montrez vos strings aux gens>>
Je n’ai jamais aimé me donner en spectacle donc j’ai fermé la porte sous les vociférations des voisins. Je fermais la porte quand un bout de greffe a atterri à mes pieds. Ok je dois intervenir. Je soulevais avec précaution nalaima et mis ange dehors avant de refermer la porte. Je commençai à préparer un discours d'excuse pour ma belle. Je n’avais vraiment pas envie de la perdre, je commençais à m’attacher à elle. Pas comme avec Anastasie mais déjà plus qu’avec les autres femmes que j’ai connu.
Moi: je suis....
Nalaima (riant) : donc elle parle fort, fort là elle n'a pas force?? Krkrkr.
J'étais tellement dépassé par sa réaction. Mais bon avec elle vaut mieux s'attendre à tout. Et puis si elle rit c'est qu'elle ne m'en veut pas ou bien?
Moi (souriant): j'aime ton coté sauvage.
Nalaima (narquoise): malheureusement pour toi, j'ai épuisé mon stock de sauvagerie pour aujourd’hui.
Oh!!
Moi (l'attrapant): mon cœur ne me fait pas ça.
Nalaima (souriant): mais oui mon cœur, si t'as trop envie tu peux toujours aller voir ANGE.
Weeeeee, je vais faire comment maintenant. Vraiment je ne comprendrais jamais les femmes, on s'était entendu sur du sexe et rien que du sexe et maintenant que je suis en couple tu viens jouer à la désespérée. Me voila, frustré au plus haut point et madame qui ferme la porte de MA chambre à clé. Je partis me couché dans le lit d'Erick plus frustré que jamais et je ne tardai pas à m’endormir.
J'entendis des rires de plus en plus forts et me réveillais en sursaut. C'était le connard qui me servait de colocataire.
Erick (mort de rire): kiakiakiakia, kiakiakiakia.
C’est à peine s’il ne pleurait pas. Pff
Moi (agacé): ahhh laisse moi dormir nor.
Erick (pleurant de rire): ouf ouf, non mais ta copine me plait trop quoi! Elle est vraiment efficace. Krkrkrkr d'ailleurs même lève toi, le canapé t'attend.
Moi (énerve): tchipp.
Erick (riant): kiakiakiakia, non man t'as fait fort, maintenant si j'ai un problème j'appelle ta meuf, qu'elle me défende.
Moi : pff enfoiré.
Erick : tapette.
Je sortis en fiasquant et me dirigeais vers la cuisine sous les rires d’Erick. Sûr qu’on l’a vendu l’enfant là. J'y trouvais une Nalaima rayonnante qui m'ouvrit ses bras. J'y plongeai direct et en profitai pour l'embrasser.
Moi (souriant): t'es plus fâché?
Nalaima: je ne l'ai jamais été.
Moi (surpris): oh. Tu es spécial comme fille tu le sais ça?
Nalaima : peut-être que oui, peut-être que non.
Je la pris dans mes bras et s’en suivi un baisé langoureux. Oh oui elle n’est pas Anastasie, mais elle est spéciale à sa manière elle aussi.
*********** ANASTASIE ********
Larry: krkr, tu as fia que toi tu ne faisais pas ça aussi??
Moi (agacée): tchipp, pardon tu déranges.
Larry: mouf, qui dérange ?? (Me talochant) vois sa tête rouge la.
Moi (boudant): eh ben la tête rouge te dit d'aller te faire voir!
Larry (éclatant de rire): pardon redescend un peu sur terre, tu es trop dans les nuages. Krkr eh ben eh ben tu whitise avec qui?
Pff Larry continuais de rigoler de la scène que j'avais surprise. Après avoir croisée ange, je me suis direct rendue chez elle. Elle ne faisait que rigoler.
Moi (énervée): si tu continues moi je rentre.
Larry (s'attrapant les cotes): krkr restes la bas. Tu rentres que ya quoi?
Moi: HUM.
Larry (souriant): de l'eau?? (Redevenant sérieuse) sérieusement tu ne crois pas que tu devrais tenter ta chance avec Jerry?
Moi: il est avec Nalaima, et c'est mon meilleur ami, il est un frère pour moi.
Larry: tchipp que c'est ta mère qui l'a accouché?? Donc tu renonces à lui définitivement en tant que petit ami
Moi: comme si ça lui avait déjà traversé la pensée
Larry: donc pourquoi tu refuses les avances de Jonathan?
Tchipp, elle m'énerve trop. Tin-tin-tin. Weeee si ce n'est pas mon vieux téléphone c'est encore quoi??
Moi: allo ...: bonsoir Anastasie.
Cette voix! Mama ohhhh. Devant mon air ébahi, Larry prend mon téléphone et le met sur haut parleur.
Jonathan: Anastasie ?
Moi: Jonathan.
Jonathan (riant): heureux que tu te souviennes de mon nom.
Tchipp et puis quoi encore?
Moi: que veux-tu?
Je reçois une tape de Larry.
Moi: aie.
Jonathan (inquiet): tu vas bien?
Moi (me frottant le bras): oui oui ce sont juste les MOUT-MOUT qui veulent me finir ici.
Larry bloquais son rire, aujourd'hui je suis sure que c'est sa journée je ris pour tout et n'importe quoi!
Jonathan: je suis rassuré, ça te dirait qu'on prenne un pot ensemble, genre maintenant.
Larry hochait la tête pour me demander d'accepter. N'est ce pas c'est toi qu’on invite jusqu’à tu acceptes à ma place?
Moi: j'aurais bien voulut mais je suis avec mon amie actuellement.
Jonathan(ne se décourageant pas): elle peut venir aussi.
Moi : mais… (Après quelques secondes): ok alors.
Jonathan: je passe vous prendre dans une heure?
Moi: ok on t'attendra devant la boulangerie acropole.
Jonathan: à toute bise.
Clic.
Larry: je dis hein tu es bête Wa on t'a vendu au village. (Me talochant) c'est moi ton mout mout? (me retalochant) et puis je t'ai dit que je voulais venir??
Moi: n'est ce pas tu voulais que j'accepte? Pardon allons nous rafraichir ne faisons pas fuir le gars quand il nous verra.
Larry (dépassé): folle va.
Moi : Folle au carrée.
J'empruntais un tee-shirt et un jean à Larry pendant qu'elle enfilait une robe simple. Quand nous fûmes prêtes on descendit et on s’avança pour l'attendre à la boulangerie et quelle fut notre surprise de le voir déjà garé. On lui fit signe et il s'approcha pour nous faire la bise. Il nous invita à monter dans sa voiture et c'est la que mademoiselle Larissa Melingui a décidé qu'elle avait besoin de toutes les trois places de derrière pour mieux respirer. Comme tu étouffais la, c'est bien. Je montai donc devant sous le regard ravi de Jonathan. Il nous conduisit dans un restaurant assez chic et avec place sous réservation. Ikikili les ways des boss. La discussion se faisait plus entre Larry et Jonathan.
Larry: je dis hein Anastasie tu as mangé une carpe?
Moi (perdue): comment ça?
Larry: tu crois que tu es muette?
Moi: non pas à ce que je sache.
Larry: donc pourquoi depuis tu te joues à la métisse??
Moi (riant): tu es trop folle.
Larry (regardant sa montre): mince, je dois vous laisser, j'ai rendez vous avec ma mère et sa sœur.
Moi ( la regardant d'un mauvais œil): ah bon? C’Est un nouveau rendez-vous que je ne connais pas?
Larry (souriant): oui oui bye.
Elle nous fit la bise et s'en alla. La salope, elle me laissait seule devant le danger. Bizarrement ça se passa mieux que je ne le pensais, on discuta de tout et de rien, et il me raccompagna chez moi. On se laissa sur un chaste baiser sur la joue. Il était calme, posé et super drôle. Je me suis sentie vraiment à l'aise avec lui. Je rentrais, fit un câlin à maman avant de me coucher. Je sentis mon téléphone vibrer.
<passe une douce et belle nuit, tu me manques déjà. >
Je crois que... Je fonds!

À L'AUBE DES SENTIMENTSOù les histoires vivent. Découvrez maintenant