✑ Chapitre 3 : Au détour d'un couloir

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Chapitre 3 : Au détour d'un couloir

La hasard, c'est Dieu qui se promène incognito

Albert Einstein

La salle commune était pratiquement vide. Quand les derniers élèves furent monté dans leur dortoir, les quatre amis se levèrent. James dit :

- Un petit tour au cuisine les gars ?

- Sans moi et Peter, dit Remus. Je ne veux pas me faire courser pas Rusard dès le premier jour et Peter ne veut pas se casser une nouvelle fois le nez.

- Je vais y allez tout seul. Je vous ramènerai ce que j'aurais eu, répondit Sirius.

- Comme tu veux Patmol, on t'attend en haut. Tu veux la carte ? demanda le brun foncé

- Non ça ira, merci

Une fois que le reste des Maraudeurs eus montés les escaliers, le jeune homme sortit de la salle commune. En réalité, il voulait se retrouver un peu seul. Le regard que lui avait lancé son père avant de transplaner le matin même lui faisait froid dans le dos. Il y avait lu toute la colère, toute la frustration, toute la honte qu'il était au yeux du patriarche de la famille Black, mais ce qui l'avait le plus perturbé c'était toute la déception et la pointe de regret qu'il y avait eu dans les yeux de son géniteur.

Plongé dans ses pensées, il percuta quelqu'un. Il pria que ce ne soit pas Rusard et regarda la personne avec qui il s'était rentrée dedans. Les cheveux lisses et brun clair retombant devant son visage pâle lui donnèrent l'impression que c'était un ange tombé du ciel. La jeune fille pesta puis écarta les mèches de cheveux qui lui bloqué la vue derrière ses oreilles. Sirius put alors voir la couleur de ses yeux, bleu translucide, presque comme du verre. Un sourire charmeur au lèvre, il dit :

- On se promène seul dans les couloirs princesa ? Sans chevalier servant pour venir à ton secours ?

- Je n'ai pas besoin de chevalier Black, je sais me défendre, lui répondit Vanessa en affichant un air dur

- Alors explique-moi pourquoi tu percutes la seule personne éveiller dans le château ?

- J'étais perdu dans mes pensées, répliqua amèrement la jeune fille en levant les yeux vers les cieux. D'ailleurs quesque tu fais seul dans la château à cette heure ?

- Je te retourne la question princesa, dit sobrement Sirius

- Je reviens du bureau du directeur si tu voulais savoir. Donc moi j'ai une excuse valable comparaît à toi je suppose.

- Touché. Je me dirigeais vers les cuisines.

Mais avant qu'elle n'ait pu ouvrir la bouche, il plaqua une main sur la bouche de la jeune fille et la poussa vers le mur. Il venait d'apercevoir une petite ombre se dirigeant vers eux. Il lui fit signe de rester silencieuse et de le suivre. Alors qu'ils couraient, au détour d'un couloir, des bruits de pas sourd et une voix leur parvint à leur gauche :

- Oui oui Miss Teigne... Nous allons bientôt les attrapé, dit Rusard la respiration allaitante.

Aucune échappatoire était possible. Elle ferma les yeux, prête à se faire prendre. Aux lieux de ça, Sirius la poussa dans une tapisserie. L'espace était assez restreint, ils pouvaient à peine de mettre face à face sans que leurs genoux s'effleurent. Le jeune homme s'adossât au mur et lui adressa un sourire mystérieux. Alors qu'elle allait dire quelque chose, il lui bloqua la bouche avec la paume de sa main. Elle fronça les sourcils et lui adressa un regard noir, mais ne bougea pas, entendant des bruits de pas. Ils restèrent parfaitement immobiles, guettant le moindre bruit.

L'époque des Maraudeurs : La cour aux manigances | HPOù les histoires vivent. Découvrez maintenant