19.The Paulchard ?

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Nous sommes accueillis par Till, Olli, Doom et Flake.

Je leur fait un sourire d'ange, comme à mon habitude puis saisit brusquement un bâton.
Je me mets à les taper sur la tête en criant.

-Le prochain qui fait un pari impliquant un de nous sera sévèrement puni d'accord ?! criai-je dans toute la salle.

-Oui, Frau Landers !!!! approuvèrent les autres, apeurés.
Wow.

Il me manquait plus que la perruque et la robe.
Eh eh...

Nous décidons d'aller manger en ville, où il fait grand soleil.
Il fait quand même pas mal chaud.
(Ou alors c'est parce que je marche à côté de Richard...)

Pour être sûr, je demande :

-Les gars, vous trouvez pas qu'il assez chaud, pour un 8 juin ?

-Non, ça va en vrai. C'est toi, hein. Me répond Olli, avec ce sourire qui veux tout dire.

Il en profite pour me montrer discrètement la personne marchant à ma gauche.

Je capte aussitôt et mon état empire... Ce qui me donne des bouffées de chaleurs très intenses.

Foutu corps, aussi.

-Au fait, tout à l'heure-, demande Till.
-Oui, c'est bon, je réponds.
-Parfait.

Je pense que nous nous sommes compris mentalement.
Bref.
Nous profitons de la tranquillité des petites ruelles de Paris avant d'entrer dans le centre pour trouver du manger.

On en trouve, justement !
Là un petit bistrot mon pote, tu m'en diras des nouvelles !

Nous nous installons autour d'une grande table à l'extérieur et le serveur arrive, élégant en tablier blanc et prend nos commandes.

-Une entrecôte bordoulaise pour Olli et moi,
-Un bifteck pour Doom,
-Une côte de boeuf pour Till,
-Un saumon pour Flake,
-Et une salade César pour Richard (?)

D'un regard, je lui demande pourquoi et il me répond : c'est pour être moins lourd ce soir.

Ok.
Si tu savais, si tu savais...
La table, recouverte d'une beautiful nappe à carreaux rouge est composée comme cela :

Après une demi-heure d'attente dans la faim, nos plats à l'odeur alléchante arrivent ENFIN !! Miam

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Après une demi-heure d'attente dans la faim, nos plats à l'odeur alléchante arrivent ENFIN !!
Miam.
Mon entrecôte bordoulaise devant moi, je me coupe un bout et le déguste.

Bordel que c'est bon.
Mama.
Je meurs.
Je lève la tête et voit le Kruspe avec sa salade (Jules) César.
Mdr.

Il me fait trop pitié.
Gentil comme je suis, je lui propose de goûter ma viande.

Il accepte avec joie, des étoiles dans les yeux, saisit sa fourchette et part à l'assaut.
Je lui tend un morceau particulièrement tendre et il me remercie.
Il mange sa viande et je peut admirer à ma guise le merveilleux mouvement de sa pomme d'Adam.
Monter, descendre, monter, descendre dans sa bouche... Ahhhh.

Pourquoi a-t-on fait ça... Où les histoires vivent. Découvrez maintenant