.:Partie 25:.
•••[ Ma vie, pour la sienne]•••
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On monta dans sa voiture et juste avant de démarrer elle reçeva un coup de tel.
LINA:Allo
.......: .........
LINA:Oui c'est moi.
.......: ..........
LINA:Quoiiiii????
........: .........
LINA:D'accord je vous rappelle plus tard.
Elle raccrocha puis me sauta au coup.
LINA:J'ai une demande de postulation pour le club de P•••••••
MOI:Comment sa se fait?J'suis contente pour toi hbiba.
LINA:Je sais pas un journaliste a vue ce qui c'est passée ce matin au club et il veulent me voir.
Elle sautillait partout j'étais contente pour elle.
Elle allait jouée quand même dans un club de ligue 1.
J'étais un peu jalouse quand même, die que moi j'aurai peut être jamais la chance de jouée comme elle.MOI:Va aller va te préparer hbiba.
LINA:Bah attend j'te dépose chez toi.
Je lui sourit et elle démarra.
Elle était toute excitée, elle m'faisait trop dahak, elle ouvrait du raï et fesait la folle.Arrivée devant la cité je la remercia et monta en haut.
J'enleva mes baskets et me jeta sur le canapé.
Personnes au salon, Sandes et Leyah doivent encore être endormie.
J'me dirige vers la chambre à Sandes j'lui saute dessus.SANDES:Dégage.
MOI:Omriiii lève toiii.
SANDES:J'suis pas d'humeur la ta race donc bouge.
MOI:Wesh t'est une dépressif de la vie ou quoi?
SANDES:Ouais ta tout compris.
Je me dirige vers la fenêtre ouvre les volets, prend une bouteille d'eau, l'ouvre et lui jeta dessus.
SANDES:Mais va te faire foutre, cotorep que t'est,TU VEUT J'TE TUE TA RACE DE CHAUVE?
Moi j'étais morte de rire, fallait bien que je rigole un peu non?
SANDES:MA COUETTE PUTIN TOUS MOUILLÉ GROS.
MOI:Là t'est dépressif.
SANDES:J'vai te chopper ta race et j'vai......
Et BAAAAAMMMM elle se pète la geule.
XPTDRRRRRR elle avait bouffée le sol miskina.SANDES: Rigole pas.
Elle me regarda avec son regard de tueuse, j'étais obligée de rire.MOI:PUAHAHAHHAHA T'EST UN CAS.
SANDES:Leyaaaah ptin.
MOI:Laisse la dormir elle.
SANDES:Ah bon et pourquoi?
MOI:Elle doit être fatiguée ma fille.
SANDES:Ah prck moi j'suis de la khra?
MOI:Un peu.
Bref on rigola, on s'habilla, comme d'hab quoi, et puis je prépara mon sac dans la chambre de Leyah quand j'entend l'autre cotorep qui crie.
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Chronique:Crampons aux pieds,bien plus qu'une fierté
Lãng mạnAliyah, une fille comme les autres mais elle, elle ne vit que pour sa passion c'est a dire le foot