Cette fanfic parle d'une rencontre entre une future juge d'instruction appeler Alice et d'un futur commandant Police Fred. J'ai écrit cette fanfic avec une Leslie qui est également fan d'Alice Nevers et elle est corriger par Morgane
Après avoir passé une excellente journée, Alice, Paul et Olivia rentrèrent chez eux. Paul partit se reposer un peu dans son lit. Ce dernier lui avait beaucoup manqué. Pendant ce temps, les deux dames profitèrent de ce moment pour discuter un peu mais également pour préparer le dîner.
A l'autre bout de la ville, Fred était chez lui. ll venait de prétexter à sa femme une urgence au boulot.
Bien sûr, Flora l'avait très mal pris. Pour une fois, ils pouvaient profiter d'une soirée calme, tandis que Juliette dormait déjà. Fred prit un sac pour faire croire à sa femme qu'il partait au boulot et s'empressa ensuite de rejoindre Alice.
Au même moment, Paul s'était réveillé et préparé. Il avait mis une petite chemise noir.
Ils entendirent la sonnette de la porte retentir. Alice se porta volontaire pour aller ouvrir. En ouvrant la porte, elle était sous le charme. Elle venait de se revoir 11 ans plutôt.
Fred entra, il donna le bouquet de fleur à Alice. Ils s'installèrent tous dans la salle à manger. Ils commencèrent leur soirée par un apéritif. Paul s'était assis en face de Fred et à côté de sa tante.
Paul : Maman n'a pas voulu me dire grand-chose sur toi. Tu fais quoi comme métier ?
Fred : Je suis commandant de police en affaire criminelle.
Paul : Oh c'est cool ! Et lorsque tu as décidé de quitter ma maman, tu es parti où ?
Fred : (il sourit de la curiosité de son fils) Je suis retourné en Italie. C'est mon pays origine.
Paul : Tu as fait quoi là-bas ? T'as une amoureuse ?
Alice : Paul mon chéri, doucement avec tes questions.
Fred : Non, ne t'inquiète pas. (répondant à Paul) Pour te dire la vérité oui. J'ai une femme et une petite fille de quelque mois.
Alice le savait, et l'idée même de savoir qu'il avait refait sa vie et elle non était toujours douloureuse.
Paul : D'accord. Tu vois ma maman elle n'a jamais eu d'autre amoureux que toi.
Paul avait bien senti que la question qu'il avait posé venait de gêner sa mère. Il était un peu déçu de son père. Mais l'âme d'un enfant n'est pas en mesure de comprendre le monde des adultes dans son ensemble. Quant à Fred, il avait privilégié la vérité aux mensonges.
Le repas se déroulait dans une bonne ambiance. Fred avait lui aussi posé des question à son fils, pour connaître ses goûts, savoir comment se passait l'école, si il travaillait bien...
Il était 23h, lorsque Paul commença à s'endormir. Fred avait décider de partir.
Fred : Bon et bien merci pour cette soirée.
Alice : je l'ai aussi fait pour mon fils, il avait besoin de connaître son père.
Fred : il est mignon et tout aussi beau que toi. (il se rapprocha d'Alice)
Alice : à quoi joues-tu ? Maintenant rentre donc rejoindre ta femme et ta fille. Bonne nuit Marquand
Elle referma la porte. Alice l'aimait tellement mais comment l'aimer alors qu'il avait décidé de refaire sa vie sans elle et son fils.
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Une fois que Fred eut quitté la maison, Alice débarrassa la table, nettoya la cuisine et rejoignit Paul qui était en train de mettre son pyjama. Une fois prêt, Alice s'asseyait à côté de lui pour lui lire une histoire. Mais ce soir-là, Paul n'avais pas envie d'une histoire. En tant que petit garçon curieux, il préféra demander à sa mère de lui raconter comment elle avait rencontré son père. Alice en voyant la joie et le bonheur sur le visage de son fils accepta volontiers de lui raconter pour ne pas le contrarier. De son coté, sur le chemin du retour, Fred était sur un petit nuage, il avait passé une excellente soirée auprès de sa deuxième famille et avait su renouer petit à petit des liens avec Alice, mais surtout avec son fils. En arrivant chez lui, Fred redescendit vite de son petit nuage pour se retrouver face à la réalité. En franchissant le seuil de la porte, il entendit des pleurs raisonner dans toute la maison. Surpris et inquiet, il monta rapidement les marches et découvrit Juliette, en larmes dans son berceau.
Fred (en la prenant) : Bah alors ma puce pourquoi tu te mets dans cet état-là ? Tu as faim c'est ça ? Maman doit dormir profondément. Papa va aller te préparer ton biberon d'accord. Mais d'abord calme toi.
En entendant la voix de son père, la petite se sentit en sécurité et se calma. Une fois sa fille calmée, il descendit dans la cuisine, déposa sa fille dans le transat et se dirigea vers la cuisine pour préparer son biberon du soir. Pendant que celui-ci chauffait, il mit en route le babyphone, le prit avec lui et remonta à l'étage dans la chambre parentale pour voir si Flora y était bien. A sa grande surprise, il n'y avait personne. Il comprit rapidement que sa fille était resté seule quelques minutes voir même quelques heures. Enervé, il appela sa femme et tomba sur sa messagerie.
Fred : (énerver) Allô Flora ! Je ne sais pas où tu es et depuis quand tu es partie, je viens juste de rentrer et j'ai trouvé Juliette en pleurs dans son lit, seule et sans défense ! Si tu as ce message, rappelle moi vite !
Il raccrocha et retourna auprès de Juliette. Il lui donna son biberon tout en lui parlant comme il le faisait à chaque fois qu'il passait un moment privilégié avec sa fille.
Cela faisait maintenant trois heures que Fred était rentré et n'avait toujours aucune nouvelle de sa femme. Ce qui le surprenait beaucoup car sa femme n'était pas du genre à laisser sa fille seule et sortir si tard. Après avoir recouché sa fille, il prit une douche juste avant d'appeler pour la seconde fois son épouse. Il tomba à nouveau sur sa messagerie.
Fred (inquiet) : Allô Flora c'est encore moi, je ne sais pas ce que tu fous mais je m'inquiète ! Ça fait trois heures que je suis rentré et je n'ai aucune nouvelle... S'il te plaît rappelle moi !
Au lever du jour, Fred n'avait toujours aucune nouvelle de Flora malgré les divers messages et appels laissés. Il réessaya pour la énième fois d'appeler sa femme mais toujours aucun interlocuteur au bout du film. Il commença alors à s'imaginer les pires scénarios possibles dans sa tête " La mort de sa femme à la une des journaux, une demande de rançon pour son enlèvement, un départ volontaire de sa part, un abandon domicile, un appel de son lieutenant ".
Vous l'avez compris Fred était dans tous ses états ! Il espérait juste un signe, un message ou même un appel de sa femme.
