FAR AWAY [STEREK]

Chapitre Dix-huit

Coucou tout le monde, vous allez bien ? Voici donc le chapitre 18 de Far Away. Il y a un lemon dans ce chapitre (écrit par la merveilleuse personne a qui je dédie ce chapitre), si vous ne voulez pas le lire pas de souci mais sachez que ce chapitre est très important pour la suite de la fiction qui est déjà en cours d'écriture. D'ailleurs je mets un peu plus de temps pour écrire cette fiction car je dois corriger et réécrire une ancienne fiction qui pourrait bien être publiée par la suite (en livre hein) donc désolée ! 

Les jours qui suivirent, avaient été magiques entre Stiles et Derek. Ils avaient fait des FaceTime avec la meute de Beacon Hills et le shérif pour leur annoncer la bonne nouvelle. Même si les deux hommes étaient très heureux, ils n'en restaient pas moins timides. Ils ne dormaient pas encore ensemble. Stiles n'osait pas demander à Derek. Après tout, ils avaient couché ensemble deux fois depuis qu'ils se connaissaient, ils étaient liés, ils s'aimaient, mais malgré tout, ils n'arrivaient pas à extérioriser leurs sentiments. Comme ci, les deux hommes étaient devenus pudiques. Et la routine commençait déjà à s'installer.

Stiles partait au boulot le matin, Derek allumait son ordinateur et jusqu'à ce que Stiles rentre il bossait sans relâche. Le soir, ils restaient dans les bras l'un de l'autre comme un vieux couple devant la télé. Et quand l'heure du coucher arrivait, ils s'embrassaient et partaient chacun de leur côté. Stiles voulait que cette gêne disparaisse. Il voulait vivre pleinement sa vie avec Derek. Il voulait dormir dans les bras du plus vieux et plus encore.

Derek de son côté ne supportait plus non plus ce malaise. Il n'était plus un adolescent pré pubère, il était un adulte. Il était prêt à tout pour changer cela.

Et Derek fut le plus rapide. Deux jours qu'il préparait une soirée de rêve à Stiles. Une soirée où enfin ils feraient l'amour pour faire l'amour, pas pour blesser l'autre ou prendre le pouvoir. Il avait hâte. Stiles devait rentrer pour dix-huit heures et Derek avait donc toute la journée pour préparer cette soirée. Il allait transformer l'appartement.

Stiles de son côté ne se douter absolument pas de ce qu'il l'attendait le soir même.

Il n'y pensait pas à vrai dire. Il voulait changer les choses, mais il n'avait pas la tête à planifier ce genre de chose. Il était sur une enquête qui lui prenait du temps et il perdait patience. Une petite fille de huit ans avait été découverte morte dans une poubelle. Elle avait été battue à mort et violée. Stiles en faisait des cauchemars la nuit. Il ne pouvait pas s'empêcher d'y penser. De penser à la détresse de cette petite fille. Le pire dans tout cela c'est que rien ne lui permettait d'attraper le tueur. Que ce soit au niveau des preuves physiques, humaines ou bien des preuves que les gens normaux ne pouvaient pas voir. Aucune odeur, aucune trace, rien, nada. Et ça le mettait encore plus en colère. Le tueur était donc un être surnaturel. Stiles pourrait le tuer comme ça, d'un claquement de doigts et il était presque sûr que Derek serait de son avis pour le coup, mais il ne savait pas qui pouvait bien avoir commis une horreur pareille.

Pendant que Stiles s'arrachait littéralement les cheveux sur une enquête presque impossible, Derek avait commencé à ranger l'appartement et à le façonner comme il le souhaitait. Il prenait tout son temps pour s'assurer que tout serait parfait pour ce grand soir. Il avait été acheté des pétales de roses au magasin. Il ne savait pas si Stiles aimerait, mais il se souvenait de Stiles comme un garçon romantique. Il l'avait vu avec Dylan, il savait que Stiles était resté un romantique dans l'âme.

La journée passa lentement pour les deux hommes qui n'espéraient qu'une chose, être au soir.
Quand finalement l'heure tant attendue par Stiles arriva, le brun se dépêcha de sortir du poste. Il avait besoin de Derek, il avait besoin de réconfort et il ne voulait surtout pas que son chef lui donne du travail en plus. Il n'en pouvait plus, sa tête lui faisait tellement mal. Il avait juste besoin de son compagnon.