Chapitre 14

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Du haut du bulding qui abrité le siége de la sociétè que sa famille avait bati depuis des années, William Carter regardait les hussiers saisir tous les objets de valeurs et ne lui laisser que les vestiges de sa vie passée.

Lui le grand Carter ne pouvait plus mettre un orteil dans son propre manoir car ses créantiers sans était emparé. Tous ses biens avaient été redistribué pour solder ses dettes.

Tout ça s'était la faute de ce maudit Angelos Ferrarri qui l'avait berné jusqu'au bout ne lui laissant pas la possiblilité de trouver un autre achéteur en si peu de temps.

Même sa femme cette pimbêche avait décidé de le quitter en apprenant sa faillite.

Et voilà comment le travail d'une vie parti en fumée mais il en restera pas là. Lui Carter ne retrouvera le sommeil que lorsqu'il aura fait souffrir ce fils de chien en appuyant où sa fait mal. Il trouvera son point faible  même si sa doit lui prendre toute la vie.

Et en se qui concerne celui qui l'avait prété main fort, il a sa petite idée sur qui ça pourrait être et il n'aura pas de pitié à ecraser cet insecte.

Deux semaines plûtard.

Lily courrait dans tous les sens car le restaurant où elle bossait était assailli par les clients. Elle ne savait plus où donner de la tête.

Elle sortit son téléphone de sa poche pour appeller sa collégue.

-Cécile revient tout de suite le restaurant est rempli de client. Cria Lily à sa collégue.

Cette derniere lui avait demandé de le couvrir pendant qu'elle allait voir son pétit ami de l'autre coté de la rue mais cela faisait plus d'une heure et la bonne dame ne se décidait pas à revenir.

Lily était épuisé physiquement et mentalement. Elle cumulait deux emplois de serveuse n'ayant pas pu dégoter un autre poste de comptable aprés son licenciement. 

Même avec ces deux emplois, elle n'arrivait pas à joindre les deux bouts et elle rentrait chaqua soir léssivé. Pas plutard que hier, elle avait reçu un appel de la clinique où était interné sa tante Clodette pour lui demander de régler les factures de ce mois.

A l'heure de sa pose, Lily alla s'assoir sur un banc dans le parc juste à coté. Elle repensa à Angelos en se demanda où il pouvait être en ce moment précis et si il se souvenait encore d'elle. Elle était au bout de rouleau, pour trouver le sommeil elle refoulait ses sentiments pour ne pas rêver de lui entrain de lui faire sauvagement l'amour mais ni arrivait pas. Tous les matins, elle se reveillait en sueur, ses nuits étaient peuplés de rêves érotiques.

Angelos de son coté était assit dans son bureau est n'arrivé pas à se concentrer trop occupé à contempler le vide abissal qui l'entouré. Il avait eu plusieurs fois l'envie de débarguer chez elle et de la prendre dans ses bras.

Et avant qu'elle tente de le repousser, il l'embrasserait passionnément à en perdre la raison.

Mais il répensa à toute les cruautés q'elle lui avait lancé à la gueule,et son orgueil réprénait le dessus.

-Angelos depuis le temps qu'on se connait, qu'est ce qui t'arrive frérot? Demanda mon meilleur ami Jovanny.

Angelos avait complétement oublié sa présense dans le bureau.

-Je me porte trés bien.

-Si c'est vrai de quoi étais-je entrain de parler?

-Hum...de ton nouveau hotel!

Jovanny se leva et vint lui prendre l'épaule.

-Je suis ton ami et presque ton frére je te connait depuis notre enfance dit moi ce qui se passe?

-C'est cette fille j'ai envie de la détesté pour son jugement hatif à mon endroit mais je ni arrive pas.

-Qu'est ce que tu ressent pour elle?

-Tu sais qu'avec l'enfance que j'ai eu, je ne m'attache pas facilement aux gens pourtant elle dégage une pureté qui m'attire comme un aimant.

-Tu es piqué pour les fléches de l'amour l'ami!

-Non ce n'est pas de l'amour je suis incapable de ressentir de l'amour aprés tout ce que j'ai vécu Jovanny tu le sais mieux que personne.

Jovanny savait que son ami vivait dans une carapace construite par des souffrances indélibiles.

-Angelos j'étais comme toi et j'ai rencontrais Eléonore, je suis en ce moment l'homme le plus heureux au monde.

Angelos connaissait la femme de Jovanny, elle était en or et attender leur premier enfant.

-Je ne suis pas fait pour vivre cette vie de famille bien ranger. Dit il en esquissant une grimace.

Il fut interrompu par la sonnerie du téléphone de Angelos.

Quand il décrocha il entendit:
"Mademoiselle Anderson a besoin de votre assistance si vous n'avez pas envie de la découvrir morte venez la recupére dans la rue de Houston street" et la personne coupa la communication.

Angelos se précipita hors du batiment en disant à Jovanny qu'il avait une chose de la plus haute importance à régler.

Aprés avoir achever son service Lily pressa le pas pour ne pas ratter le derniér bus en direction de chez elle. Elle empreintait le chemin le plus court qui débouché sur des marches d'escalier.

Elle commencait à descendre mais se sentit trébucher. Avant de réaliser ce qui se passait Lily sentit son corps lévité pour s'écraser au bas des marches. Elle entendu des pas comme ci quelqu'un qui s'échappait.

Elle pensa qu'elle allait mourrir là comme un chien et son dernier régret fut qu'elle ne reverrait plus Angelos. Et elle sombra dans l'inconscience.

Amoureuse d'Angelos FerrariOù les histoires vivent. Découvrez maintenant