Amoureuse d'Angelos Ferrari

Chapitre 26

Le reveil fût doux pour Lily grâce aux pétites caresses que lui prodigué Angelos dans le cou. Le seul fait de ce réveillé à coté de cet homme procuré à Lily un sentiment d'invinsibilité et elle se dit que quelques soit la noirceur des secrets de son bien aimé, elle lui apportera le réconfort donc il aura besoin. Elle le fixa intensément pendant quelques minutes puis se leva pour aller défaire sa valise et ranger ses vêtements.

-Bonjour il mio tesoro.

Le coeur de Lily s'emballa au seul son de la voix d'Angelos.

-Bonjour mon chéri t'a bien dormi? Demanda timidement Lily.

-Pas trés bien cette maison me file les boutons. C'est pour cela que j'ai décide de te faire visiter la ville aujourd'hui.

Lily le lorgna en se demandant si c'était une diversion pour ne pas lui parlé de son passé.

-Ne t'inquiéte ce n'est pas un prétesque pour ne pas te revélé la vérite je veux juste te faire découvrir les rues qui ont bercé mon enfance.

-D'accord, dit elle le sourire aux lévres.

C'est main dans la main qui se lanca dans l'exploration de cette ville rustique mais une beauté rare. Palerme renfermé des joyaux splendide qui ne demandé qu'a être visité. Aprés des heures à deambuler dans les rues, Angelos proposa de faire une halte dans un restaurant magnifique prés de la cathédrale.

-C'est le plus belle endroit que je n'ai jamais visité merci mon amour.

-Ne me remercie pas maintenant attends d'abord de goûter la spécialité de la région. Je te présente les cassata siciliennes ma belle, goute tu m'en dira des nouvelles.

Lily se lanca dans la dégustation de mets plus délicieux les uns que les autres en vidant toutes les assiétes qui lui était servis.

-C'est délicieux, dit elle la bouche pleine ce qui arracha un sourire lumineux à Angelos.

A la fin du repas, il continua leur périple mais cette fois Lily sentit la raideur des doigts d'Angelos cela lui causa des angoisses. Qu'est ce qui pouvait bien le tresser autant.

Lily se rendit compte qu'il ne fesait que s'enfoncer dans des lieux de plus en plus miséreux. Elle fit pris de cours lorsqu'un petit garçon d'à peine six ans les accosta pour leur demander de l'argent. Elle fouilla sa poche est sortit un biais de cent euro qu'elle lui tendit, il exita quelques instants avant de s'emparer de la somme en la remercient en italien.

Choqué par la misére qu'elle voyait, Lily eu les larmes aux yeux.

-Bien que mon pére soit millionnaire s'est dans ce quartier que j'ai passé toute mon enfance.

Lily n'en crue pas ses oreilles.

-Comment ça? Dit elle les yeux grands ouverts

-Tu vois la maison juste là devant c'était celle de la maman de Carlos s'est là que j'ai recu de l'amour durant toute ma jeunesse.

-Angelos s'il te plait commence par le début pou que je comprénne.

-D'accord mais pas ici suit moi.

Il la conduisa vers un jardins hors du quartier et il prit place sur un banc.

-Quand ma mére m'a laissé chez mon pére, au départ j'ai tout fais pour éssayer de gagner l'affection de cet homme mais cela ne se soldait que par des gifles à longeur de journée. Moi l'enfant d'à peine huit ans ne comprenait pas pourquoi son propre pére le haïssait autant. Chaque fois que je laissait transparaitre mes émotions, il me donnait une correction comme il s'avait bien le dire. Il disait qu'un homme un vrai ne pleurnichait pas. Mon enfance fut peuplé coup mais à la veille de mes quatorze ans il m'a attrapé dans ma chambre entrain de contempler une photo de ma mére. Il me la arrachée des mains, la déchirée et m'a trainé jusqu'a son bureau et là il m'a infligé ma bastonnade la plus violente. Il m'a laissé gisant dans mon propre sang et m'a dit "sale batard endurcit toi où je te met à la porte" et il est sortit. Ce jour j'ai compris qu'il ne pouvait aimer personne avec un âme aussi sombre. Je me suis relevé affaiblit, j'ai marché jusqu'a ce jardin et c'est là que j'ai rencontré Carlos ami de toujours et futur garde de corps.

Lily vécu l'horreur en écoutant son recit et eclata à sanglots ne pouvant se retenir, elle pleurait pour cet enfant qui n'avait recu aucun amour et pleurait aussi pour l'homme froid qu'il était devenu.

-Lily arrête cet homme ne mérite pas que tu verse une larme pour ses agissements perfides. Ordonna Angelos en lui caressant le dos.

- Ce n'est pour lui mais pour toi que je pleurs, dit elle la voix pleine de sanglots.

-Si tu ne cesses pas de pleurer j'arrête mon recit.

-D'accord, promit-elle en s'éssuyant les yeux.

-Depuis ce jour je ne lui est plus permit de lever la main sur moi. Mais à l'âge de dix sept ans il a décidé que j'étais prés à prendre sa succession dans le cartel, mais je n'étais pas d'accord, je ne voulait pas de cette vie sans scrupule qu'il menait. Il a éssayé tout les chantages mais je n'ai pas cédé, mon trés cher pére a donc décidé de me déshériter et m'a chassé de chez lui et ça a été le plus beau jour de ma vie.

-J'ai bossé dur et j'ai fais de bon investissement pour me retrouver où je suis aujourd'hui et le dernier fois que j'ai mis les pieds ici s'était le jour de son enterrement. Reprit Angelos mettant un point final à son récit funeste.

-Et ta mére, demanda doucement Lily.

-J'ai découvert qu'elle est morte d'overdose deux ans après qu'elle met abandonner.

Lily prit conscience qu'avec une telle histoire familliaile Angelos ne fera plus jamais confiance à l'amour.

-Je comprends pourquoi tu es hermétique à l'amour et je ne t'en veux pas. Expliqua-t-elle le coeur serré.

-C'est ce que je pensais encore il y a quelques mois avant notre rencontre mais aujourd'hui je n'y crois plus. Tu sais pourquoi, demanda-t-il en se rapprochant de ces lévres.

-Non!

-Parce que je t'aime tesoro.

Angelos plaqua ses lévres contre celle de Lily et il échangea avec elle un baisé langoureux plein de passion.

-Moi aussi je t'aime à en mourrir.

Angelos ne put plus résisté longtemps il trouva un bosqué eloigné de la civilisation. Et fit passionnement l'amour à Lily comme ci sa vie en dépender et se dit qu'il avait rencontré la perle rare et il était prêt à tuer toute personne qui tenterais de lui faire du mal.