Amoureuse d'Angelos Ferrari

Chapitre 17

Arrivée au manoir d'Angelos Lily eu un pincement de coeur en pensa aux efforts qu'elle devra fournir pour résister au charme dévastateur de son infirmier attitré pour l
a journée.

-Lily, je te présente Magdalaina ma gourvernante. Elle va de faire visiter la maison, j'ai du travail en retard. Dit il en italien se dirigeant son bureau.

Lily fut heureuse qu'ils ne soient pas enfermer tous les deux seuls dans cette grande maison. Même si Magdalaine ne parlait pas anglais.

-Bonjour Magdalaina, moi c'est Lily. Précisa celle ci en faisant des gestes pour tenter de se faire comprendre.

Magdalaina quant à elle eu un sourire aimable.

-Ne vous embêtez pas à faire des signes je comprends parfaitement l'anglais.

Lily se senrit ridicule d'avoir fait une déduction si érronée.

-Venait mademoiselle Lily que je vous fasse visiter.

Lily la suivit et découvrit des piéces plus spacieuse et plus magnifique les unes que les autres. Le manoir d'Angelos était majestueux mais manquait une touche lumineuse qui scié bien à l'hatitude ombragieuse son propriétaire.

Quand Magdalaina lui présenta sa chambre, elle fut émerveillé par tant de splendeur. Le lit gigantesque n'expirait que le repos et ce repos, elle l'avait bien mérité.

Lily s'allongea et s'assoupit comme une souche.

Angelos fesait l'effort de boucler les derniers dossiers qui lui restait pourtant le visage de Lily ne cessait de le hanter. Excéder il décida d'aller voir comment elle se portait.

A la porte de la chambre Angelos entra sans frapper et la découvrit sur le lit dormant à poing fermé comme un enfant, ces cheveux longs déversés autour d'elle.

Il se rapprocha et glissa sa main sur sa joue tout doucement.

-Tu es la plus belle femme qu'il met été donné de rencontrer. Lui chuchota t-il avec un regard conquis.

De peur de la reveiller il quitta la piéce en lui lancant un dernier regard.

En se levant Lily eu l'impression d'avoir dormit deux jours entiers. Elle regarda l'horloge au mur, il y était marqué sept heure. Elle se dépêcha pour ne pas être en retard au diner.

Aprés être sortie de la douche, elle se rendit compte qu'elle n'avait pas de vêtement de rechange. Elle prit le téléphone fixe pour appeller Magdalaina.

-Excusez moi de vous déranger mes habits son plein de poussiére pouvez vous m'aider à les néttoyer s'il vous plait.

-Pas de soucis mademoiselle j'arrive pour les mettre à la lessive.

Quelques minutes plûtard, on toqua  à la porte.

-Magdalaina tu peux entrer s'est ouvert. Dit-elle en se levant pour rajuster sa serviette de bain.

Au lieu de Magdalaina elle vit entrer Angelos qui avait croqué son costume pour un jeans et un polo il était tellement virile.

-Que fait vous là? S'exclama Lily en se couvrant la poitrine.

-Lily votre serviette n'est pas transparante ne vous inquiété. Souligna Angelos avec le sourire.

-Je suis juste venu vous remettre des vêtements propres. Reprit-il en les déposant sur le lit.

Lily les récupéra et les lui expédia sur la tête d'Angelos.

-Pour qui me prenait vous pour croire que je vais porter les vêtements de vos maitresses espéce de goujat...

-Calme toi ils sont tous neuf je viens de les achété. Quand tu seras revenu sur terre, habit toi et viens diner. Articula t-il la voix pleine de colére en montrant les étiquettes.

Il sortit de la chambre sans se retourner.

Lily eu envie de le retenir mais elle s'abstint de le faire quand elle repensa à l'oeillade assassine qui lui avait lancé.

Les larmes emplient ses yeux en admirant les vêtements extraordinaires qu'il lui avait acheté, elle se fit la promesse de faire tout pour se revenir dans les bonnes grâces d'Angelos.

Rasséréner par cette résolution, elle s'habilla. En sortant pour se rendre dans le salon, elle se perdit plusieurs fois dans les nombres couloirs qui peuplés la demeure.

Enfin, elle retrouva le chemin de la piéce. Elle si introduit calmement morte de faim.

Elle trouva Angelos installer à l'extrémité de la table mériculeusement dressée. Elle pris la décision de s'atabler du coté opposé pour être le plus loin possible de cet homme qui la troublait.

--Viens t'assoire ici prés de moi. Exigea t-il la coupant dans son elant en désignant le chaise à sa droite.

Elle s'exécuta timidement.

-Magdalaina vous pouvez y aller. Dit-il à celle ci aprés qu'elle est servit le repas.

-Elle ne dort pas ici? Demanda Lily.

-Non, elle vit avec sa fille et ses petits enfants.

-Hum...

Lily commenca à paniquer quand elle prit conscience qu'ils dormiraient tout seul dans cette grande maison.

Elle dévora son repas avec appétit concentrer dans son assiétte mais en regardant furtivement Angelos qui faisait mine de ne pas se soucié d'elle.

-Je suis désolé pour tout à l'heure! Déclara brusquement Lily.

-Tu sais quoi Lily j'en ai mare de me battre contre tes suspicions en mon endroit.

-Je jette l'éponge. Cria t-il en levant les bras au ciel.

-Je suis vraiment...

-Arrête de me dire que tu es désole montre moi par des actes que tu commences à avoir confiance en moi.

Lily voulu lui hurler qu'elle avait totalement confiance mais qu'elle était jalouse des autres femmes tout simplement.

Elle fut couper par la venu de Magdalaina avec un téléphone à la main.

-Mademoiselle Lily votre téléphone sonne. Dit-elle en lui remettant l'appariel.

Elle le prit et repondit.

-Allo c'est qui? Elle reconnu directement la voix du directeur de l'hopital où sa tante était interné.

-Qu'est ce qu'il y a docteur c'est demain la date du virement je vous le ferait sans faute comme convenu. Chuchota Lily pour qu'Angelos n'entende pas.

-Ce ne n'est pour ça, mademoiselle votre tante vient d'avoir une nouvelle attaque. Lui expliqua le docteur avec douceur.

Lily ne compris pas la suite car elle avait laché le téléphone en hurlant.

-Non, c'est pas possible, éssaya t-elle de se convaincre.

-Qu'est qui ce passe Lily? Demanda Angelos en s'agenoullant devant elle lui tenant la tête.

Il la pris dans ses bras en attendant la réponse.

-Angelos améne moi à l'hopital ma tante est entrain de mourrir.

L'esprit de Lily avait déserté son corps. Elle entendais plus rien, ne ressentais plus rien comme si elle était anesthésiée.