Chapitre 2

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Juste aprés avoir suivie cette voix je me leva promtement manquant de renverser du café sur mes dossiers. Je me dirgea de comme une automate vers la porte du bureau de monsieur William Carter la peur au ventre.

Quand j'arriva devant la porte je marqua un temps d'arrêt histoire de me remettre les idées au claire, j'ouvra la porte du bureau dans lequel j'entrais réguliérement mais ce jour,on dirait que la décoration avait changé.

Mon patron me dit sans autre forme de procés:

-Mais où étiez-vous depuis le début de la matinée, vociféra son patron.

Lily se creusa la tête pour sortir un mensonge qui tienne la route, peu habituer a le faire elle sortit:

-J'étais voir ma tante à l'hopital monsieur, dit-elle d'une voix peu assurée.

-De quelle tante parlez-vous mademoiselle Anderson!s'exclama t'il d'une voix stridente.

J'eu un pincement de coeur passager depuis trois ans que je travaillais avec ce vieux en merdeur il ignorait l'existance de ma tante, aprés toutes les fois où je lui est tenu tête pour obtenir mon jour de congés par semaine pour aller rendre visite à cette derniére.

Alors que moi par contre je connais ces deux derniéres ex-épouses et sa maitresse du moment pourtant celle mon fait vivre un enfer avec leurs caprices toujours plus excéssif.

Je fus tiré de mes pensées par un raclement de gorge de monsieur Carter qui dit:

-En tout cas je vous excuse pour cette fois au prochaine retard je serais moins tolérant.

-Oui monsieur ca ne se reproduiras plus à l'avenir,retorquais-je d'une voix suppliante.

Mais elle se posais toujours la question à savoir "pourquoi monsieur Carter la convoquait de si bon matin cela n'étais pas dans ces habitudes".

Mon patron m'éclaircissa quelques secondes plùtart en répliquant :

-Mandemoiselle Anderson vous êtes sans ignoré les problémes financiers que traverse notre boîte en cette période.

-Oui monsieur, renpondis-je sans comprendre où il voulait en venir avec tout sa.

-Trés bien mademoiselle je voudrais vous prévenir, que je pense renvendre mon entreprise à un homme d'affaire italien qui me fait une bonne offre compte tenu de notre déficite budgetaire, dit-il le sourire aux lèvres.

-Qui est cet homme d'affaire monsieur? demanda Lily.

-Ce n'es personne d'autre que le milliairdaire Angelos Ferrari, dit-il avec une lueur d'envie dans le regard.

Lily eu un moment de panique car elle avait attendu parler de la réputation de cet homme qui  rachetait des entreprises en détresse et les rééquilibrées financiérement pour les revendre ensuite. Mais tout celle en ayant  recours à des restrictions budgétaires qui conduisent à des réductions de personnels.

-Mais monsieur comment pouvez vous nous faire sa où allons nous bosser si le nouveau patron nous licencie, dit-elle le souffle coupé.

-Excusez moi de vous le dire Mademoiselle Anderson mais ce n'est pas mon probléme vous en parlerais avec votre nouveau patron tout en expérant qui ne vous licencie pas pour insolence, dit-il d'un aire sarcastique.

Tout en commencant à ranger ces affaires sans aucun regard pour moi rester bouche ouverte anéantit par le choc.

Lily se tourna et sortit déboussolé du bureau de son futur ex-patron sans réaliser ce qui lui arriver. Elle arriva au bas son immeuble, monta les marches des escaliers
en déambulant, elle ouvra la porte de son appartement, et s'écroula sur le canapé en pleurs.

Amoureuse d'Angelos FerrariOù les histoires vivent. Découvrez maintenant