IL Y A DU LEMON DANS CE CHAPITRE !
Il arriva à bout de souffle en haut des escaliers. J'étais debout l'attendant depuis peu, il s'avançait vers moi plus lentement essayant de reprendre son souffle. Je ne le laissa pas faire, l'embrassant déjà, il répondit tant bien que mal et lorsque je l'ai sentie à bout de souffle j'ai simplement embrassé son cou doucement en attendant qu'il soit près à recommencer. Au lieu de ça, il s'éloigna et s'allongea sur la terre devant le phare, baignait de lumière mais caché de la ville et de ses habitants. Je m'allongeais à côté de lui, fermant les yeux alors qu'il se blotissait contre moi.
Il dessinait des formes aléatoires sur la peau nu de mon bras puis ensuite de mon ventre, m'envoyant des frissons dans tout le corps. Je m'allongeais sur le côté le visage à quelques centimètres du sien, je passais une main dans ses cheveux, le faisant fermer les yeux.
Il me transportait dans un autre univers, le notre, où tout n'était que frissons et chaleur, qu'intensité et amour. Je posais de nouveau mes lèvres sur les siennes, glissant mes mains dans le bas de son dos. Un gémissement sortit de sa bouche alors que je me mettais à embrasser son cou et à lécher la peau sensible près de son épaule. Il agrippa l'arrière de mon haut, passant sa main libre des mes cheveux la laissant là. Je passais mes mains légèrement en dessous de son jean lui créant des mouvements de bassins incontrôlable.
J'eus le courage de les passer sous le tissu de son caleçon, caressant le haut de ses fesses tendrement. Il avait gémit fort alors que j'émergeais de son cou pour venir le réembrasser. Ses lèvres se célèrent aux miennes tandis que l'une de mes mains caressait et serrait sa fesse gauche contre moi et que l'autre glissait entre nos deux torse pour se glisser dans son jean caressant ce que je lui provoquait.
Je n'arrivais plus à m'arrêter. Je le voulais, je voulais lui donner du plaisir, lui faire du bien. Je glissais alors ma main dans son caleçon serrant sa fesses dans ma main, imprimant un va-et-vient lent et langoureux tandis que je posais de nouveau ma bouche contre son cou. Il soupirait de bien être, contre mon oreille tandis que mon mouvement prenait de la vitesse. Il gémit alors mordant la peau de mon épaule en caressant la peau de mon dos et ma nuque.
Il ne put pourtant pas retenir le second gémissement alors que j'accelèrais de nouveau. Il commença une lituanie de soupire et de "Áilleacht" sensuel, ses hanches devenait frénétique et il se lâcha dans ma main dans un long gémissement roc. Le visage dans mon cou, il reprenait son souffle et sa contenance, pendant que j'essuyais ma main sur mon jean. Je souriais heureux, enlevant ma main de contre sa fesse, la posant dans son dos, je venais de le faire venir.
Je venais de lui donner du plaisir. Il serra son corps contre le mien, il semblait avoir légèrement froid contre moi alors que j'étais bouillant. L'entendre m'appeler, m'avait mit dans tous mes états.
Je me forçais alors à penser à autres choses, quelques choses de bien moins excitant. Un monstre, un vieux, un ours en tutu qui rappait, j'essayais vraiment mais je n'arrivais pas à me concentrer alors qu'il respirait encore fort contre mon oreille et qu'il glissait ses mains sur ma peau comme ça. Je devenais incandescent, alors qu'il embrassait le haut de mon cou passant ses mains contre mon ventre qui se contracta. J'avais beau tout imaginer pour stopper la progression de mon désir, la simple caresse de ses doigts me faisait fermer les yeux plus fort, commençant à voir des formes étranges dans le noir. Ses doigts carressèrent mon bas ventre lentement et je le stoppais un instant.
- Tu n'es pas obligé, murmurais-je. Je... Je voulais juste... que tu ailles... bien.
Je cherchais mes mots, je ne voulais pas lui avouer que je ne mettais pas contrôler, que j'avais eue affreusement envie de lui, que ses gémissements m'avait rendu dingue, que je voulais qu'il me désir, qu'il est envie de moi, qu'il arrête de douter de mes sentiments, qu'il m'aime.
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Áilleacht
RomanceC'est temps-ci, pour sa famille du moins, Gus était morose, triste, dans les nuages. En réalité, il s'ennuyait. Sa vie lui semblait sans grand intérêt et cet été là ne ferait pas exception, surtout que ses amis partaient. C'est temps-ci, pour ses p...