Va crever -TODOBAKU- [TERMINER]

Chapitre 21

Shoto, Katsuki et leurs amis étaient partient dans un parc d'attraction. Bah oui, c'est pas parcequ'ils sont adultes qu'ils n'ont pas le droit de s'amuser. Puis ça va quoi ils ont que 26 ans !
Tsuyu, Tokoyami et leurs fils, Kaeru, n'étaient pas venus, car c'était bien trop compliqué de gérer un nourrisson dans un parc d'attraction. Ochaco et Izuku n'étaient pas venus non plus, s'estimant trop sensible pour ça, et aussi voulant passer un peu de temps avec leurs amis.

Le petit groupe étaient arrivé tôt le matin, vers 10h, et avaient commencer par les attractions qui, leur avaient on dit, avaient les plus grosses queue, excepté la maison hantée, qui était déjà bondée de monde. Et c'était évidemment des manège à sensation forte. Risei, Katsuki, Denki, Mina et Kirishima avaient adorés. Momo, Shoto et Kyoka un peu moins.
Puis ils avaient recommencer celles qui leurs avaient fait le plus peur (oui, ils sont maso), et ce jusqu'à midi.

À midi, ils avaient mangé dans un coin du parc le pique-nique qu'ils avaient préparer le matin même avant de partir, et étaient immédiatement répartis faire mille et une attraction donnant envie de gerber.

Momo, Kyoka et Risei avaient finis par avoir envie de vomir, alors elles étaient aller faire des attractions plus "calme". Shoto se demandait d'ailleurs pourquoi il était resté avec les timbrés... Pardon, avec ceux qui avaient une folle envie de faire des attractions follement dangereuse.

Et là, ils marchaient dans le parc, à ma recherche de n'importe quel attractions à sensation forte.

-Regardez ! La queue de la maison hantée à vachement diminué ! S'exclama Mina en pointant l'attraction en question.

-On devrait y aller avant que la queue redevienne énorme. Fit Kirishima.

-Bonne idée ! Approuva Denki avec une barbe de barbe-à-papa (où l'avait il trouver d'ailleurs ?).

-Je ne suis pas sûr que... Commença Shoto, qui ne voulait pas faire l'attraction.

Mais c'était trop tard, ses quatres amis le traînait déjà vers la queue pour cette fichu maison hantée. Et en moins de dix minutes, ils entrèrent dans l'attraction.
C'était trois wagons de deux places accroché les uns aux autres, maquillés en canapé délabrée. Katsuki et Shoto s'étaient mis dans le premier wagonnet, Denki et Mina dans le deuxième, et Kirishima était seul dans le troisième (RIP notre requin préféré abandonné de tout ses potes).

-Je le sens pas... Murmura le bicolore, en lançant un regard inquiet au blond à côté de lui lorsque les wagonnet demarrèrent.

-Moi non plus... Grogna Katsuki en lançant un regard noir aux trois idiots derrière lui qui lui servaient d'amis.

L'assemblage de wagonnet démarra à toute vitesse. Pendant une ou deux secondes il roula tout droit puis, soudainement, il plongea vers le bas, faisant crier les cinq amis. Même si Kirishima, Denki et Mina semblaient bien plus amusé que Katsuki et Shoto qui étaient en train d'avoir l'impression de mourir...
Ils arrivèrent ensuite à une intersection entre trois chemins. Ils tournèrent à droite, tout en entendant un gros bruit comme si les wagons se détachaient tout seuls. Shoto et Katsuki regardèrent en arrière et virent que, effectivement, les wagons étaient décroché les uns des autres, partant chacun dans un tunnels différent. Les deux jeunes hommes eurent la même pensées : Pauvre Kirishima...

Quelques looping plus tard, le wagon s'arrêta. Mais ils n'étaient pas arriver à la fin de l'attraction. En effet, Katsuki et Shoto étaient arrivé dans ce qui ressemblait fortement à un caveau mortuaire.

-C'est déjà trop glauque pour moi... Murmura Shoto.

Les deux jeunes hommes descendirent donc et examinèrent la pièce. Il n'y avait que deux entrées : une par laquelle le wagonnet était arrivé et une autre menant sur un couloir sombre, qui était sûrement la suite de cette fichu attraction.
Ils échangèrent un regard inquiet puis s'engouffrèrent dans le couloir. À peine quelque secondes après, Katsuki poussa un cri suraigue tout en s'accrochant au bras droit de Shoto, comme si ce dernier pouvait le protéger.

-Y'A UNE PUTAIN D'ARAIGNÉE ! S'exclama le blond.

-Calme toi c'est qu'une... Commença le bicolore, puis il se mit à crier comme une fillette lui aussi quand quelque chose toucha son bras gauche. AAAAAAH Y'A QUELQUE CHOSE QUI M'A TOUCHÉ !!!

Et les deux partirent en courant, Katsuki toujours accroché au bras de Shoto. Les deux jeunes hommes finirent la maison hanté comme ça : courant vers la sortie et criant comme des fillettes.

Lorsqu'ils sortirent enfin de cette enfer, ils soufflèrent enfin (et Katsuki lâcha enfin le bras du bicolore). Ils regardèrent autour d'eux, ne voyant aucun de leurs amis. Ils étaient sûrement encore dans la maison hantée. Puis, en repensant à ce qu'ils avaient fait là dedans, ils se rendirent compte à quel point c'était ridicule.

-Ne parle à personne de ce qui s'est passé là dedans... Ordonna presque Katsuki en lançant un regard super sérieux au bicolore.

-Ce qui se passe dans la maison hantée reste dans la maison hantée. Approuva Shoto, tout aussi sérieux que le blond.

Ils échangèrent un regard très sérieux (il en allait de leur dignité), puis se retournèrent en même temps lorsqu'ils entendirent Denki sortir en criant de la maison hantée. Mina arriva derrière lui, rigolant.

-C'ÉTAIT FLIPPANT ! Hurla le blond (le plus bête des deux, pour ceux qui saurait pas de quel blond je parle).

-Tu étais à mourir de rire surtout ! Répliqua Mina, riant toujours. Et vous les garçons ? Je parie que vous avez crier comme des fillettes !

-Pff, évidemment que non ! Répliqua Katsuki. C'était pas effrayant.

-Absolument. Confirma Shoto.

Denki et Mina échangèrent un regard peu convaincu.

-D'ailleurs vous savez où est Kirikiri ? Demanda la jeune fille aux cheveux roses.

Tous firent non de la tête (et Katsuki précisa que ce surnom était stupide), puis, malgré eux, ils entendirent tous les conversations des passants.

-Il paraît qu'un gars s'est évanoui dans la maison hantée ! Fit une première inconnu.

-Ouais ! Je les ai vu l'évacuer ! Il avait les cheveux rouge ! Répondit une autre.

Katsuki, Shoto, Denki et Mina échangèrent un regard affolé puis ils dirent en synchronisation :

-Oh merde.