Chapitre 28

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A peine mon père avait-il commencer à entailler la gorge de ma bien aimée que je m'étais déjà jetai sur lui, faisant tomber la chaise à laquelle était attaché Cheryl au passage. Tandis que je parvenais à maîtriser mon père tant bien que mal, j'ordonnais à mon frère d'aider ma copine à se libérer :

T: Jug, occupe toi de Cheryl !

Tandis que mon frère s'était précipité au côté de la rousse, mon avait réussi à me dégager de lui pour s'attaquer à Cheryl. Mais je n'avais pas perdu de temps pour me remettre debout et lui sauter dessus, essayant de le retenir au maximum pour laisser le temps à mon frère de libérer ma copine. Mais mon père était chef d'un gang et quand même assez costaud face à moi, il n'eu aucun mal à « m'éclater sur le mur », me faisant lâcher ma prise et m'explosant le dos au passage. Mais cette fois ce n'est pas vers la rouquine que son attention se tourna mais bien vers moi. Il me pris par le col de ma veste et me plaqua contre le mur, la pointe de sa lame place juste en dessous de mon menton.

Fp: Jughead, je te conseille de laisser la rouquine attacher si tu veux garder ta sœur en vie.

T: L'écoute pas Jug, libère Cheryl !

Pour prouver qu'il ne plaisantait pas et pour faire pression sur mon frère, le salop qu'était mon père enfonça légèrement la pointe de sa lame faisant coulant un filet de sang.

Fp: Je ne plaisante pas fiston. Alors tu veux vraiment avoir la mort de ta sœur sur la conscience ?

J: Toni est ta fille papa, tu l'a tuera pas !

Fp: Tu veux vraiment prendre le risque de connaître la réponse ?

Je savais que Jug ne prendrait évidemment pas se risque et qu'il ne détacherait pas ma petite amie si j'étais en danger. Alors je tenta le tout pour le tout en mordant la main de mon père qui tenait l'arme, lui faisant lâcher sa prise l'espace de quelques instant qui permettèrent à mon frère de libérer ma dulcinée. Mais notre père avait très vite repris ses esprit et se dirigeait déjà vers Cheryl et Jughead pour les empêcher de partir. Je m'interposa alors entre eux, voulant gagner du temps pour que mon frère et ma chérie s'en sorte indemne.

J: Toni mais qu'est-ce que tu fais ?!

T: Je vous fais gagner du temps. Alors maintenant barrez vous !

C: Je te laisse pas ici Toni !

T: Je vous rejoins dès que j'en ai fini avec lui !

C/J: NON !

T: C'était pas une suggestion. Alors BARREZ VOUS !

Jug savait bien qu'il était inutile de discuter avec moi quand j'étais déterminé à se point. Il tira donc une Cheryl désemparé hors de la chambre, et fuya avec ma copine. J'étais maintenant seul face à mon père, un chef de gang armé qui n'avait pas hésité à piéger une adolescente pour là tuer. Autant dire que j'étais très mal barrée !

Fp: Tu pense vraiment pouvoir me battre ma chérie ?

T: C'est marrant j'allais te poser la même question ?!

Fp: Tu es ma fille Toni, tu n'osera jamais tuer ton propre père.

T: Ça fait bien longtemps que je ne te considère plus comme un père !

Les yeux bienveillant de mon père se changèrent en regard noir, ma remarque l'avait blessé. Mais en même temps, il s'attendait à quoi ?! Il m'avait forcé à rompre avec la fille que j'aimais sous peine de l'a tuer, il avait engager un de ses hommes pour l'agresser plusieurs fois en voyant que je commencer à me rapprocher de nouveau d'elle, il m'avait menacer un nombre incalculable de fois et se soir il avait dépasser les bornes en essayant de tuer Cheryl Andrews !

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