Auprès De Toi

Tchau Brazil.

Un rayon de soleil traverse ma chambre pour venir éclairer mon visage. J'ouvre mes yeux avec difficulté et met ma mains devant ceux-ci pour cacher la luminosité qui m'agressent. D'un effort presque surhumain je tente d'attraper mon portable pour regarder l'heure. L'écran m'indique qu'il est 6h00 du matin... j'avais programmé mon réveille à 6h30 mais faut croire que le soleil à voulu me privé d'une demi-heure de sommeil qui me restait au Brésil...

Je me redresse dans mon lit et m'étire. Aujourd'hui c'est le départ et le commencement d'une nouvelle vie loin du brésil, loin de ma famille... Après ma discussion avec le mystérieux inconnu, une dispute à éclater en bas entre ma grand-mère et mon grand père. Elle semblait tellement excéder, que pendant un moment j'aurai juré que j'entendais des sanglots, cela à durer presque 1h00... A la suite de sa, j'ai commencé à m'en vouloir de cette dispute, peut-être que j'aurai pue l'éviter...

Je décider enfin à sortir de mon lit et file directe sous la douche, me rafraichir de cette nuit brésilienne toujours aussi étouffante. Après m'être rafraichie et habillée d'un short en jeans et d'un t-shirt 90s blanc, je descends avec difficulté mes valises qui pèsent une tonne ! Arriver en bas de l'escalier quelqu'un me propose enfin son aide,

- Attend ma belle, je vais t'aider !

Je ne m'attendais pas à ce que mon cousin Bruno vienne à la maison ce matin, surtout qu'hier presque aucun membres ne ma vraiment soutenue...

- Merci...

- C'est normal, j'avais trop mal aux cœur de voir ma petite cousine descendre avec peine ces valise plus grande qu'elle !

- Je ne suis pas petite ! C'est les valises qui sont trop grande !

Nous rions de la situation, avant que ma grand-mère nous interrompe,

- A mes enfants venez le petit déjeuner est prêt !

Nous suivons celle-ci vers la terrasse car il n'y à que le matin où nous pouvons profiter d'un peu de fraicheur. Arriver sur celle-ci, je ne m'attendais pas à voir tout le monde réunie, le seul absent est mon grand père. Un peu suspicieuse je reste la planter devant eux sans savoir se qui m'attend...

- Ben alors Sennhnina ! Ne reste pas planter là viens t'assoir ! me dit ma grand-mère.

- C'est pour me faire la moral que vous êtes tous là ?

- Pourquoi se serai pour te faire la moral ? dit ma cousine Bianca.

- À cause d'hier.

Ils se regardent comme si ils communiquaient par télépathie. Seule grand-mère reste à l'écart, et attend qu'ils se décident à me répondre. Et la première à ce lancer fut ma tante Vivianne.

- Sennhnina, chérie... si nous sommes là, ce n'est certainement pas pour te faire la morale. Tu pars aujourd'hui ce qui signifie qu'ils nous restent plus beaucoup de temps à profiter ensemble, et nous ne savons pas quand nous nous reverrons... C'est notre façon à nous de te dire que nous te soutenons et que nous t'aimons très fort. Si c'est cette voie qui te rend heureuse alors c'est tout ce qui compte !

- Vraiment ? Mais grand père...

- Ce que grand père pense n'a pas d'importance ! Dit Bianca.

- Bianca à raison ! Sa n'a pas d'importance, c'est toi qui fait ta vie, pas lui ! Et tu pourras toujours compter sur nous ! Enchaina Bruno