Délicieuse Créature

Chapitre 16

Épuisée de cette journée passée avec la jeune femme, Nina s'assit sur le matelas, habiller d'une chemise de son geôlier qu'elle avait trouver dans l'immense armoire.

Soupirant, elle ce passa la main dans ses cheveux toujours humide de sa douche, sa main tremblant légèrement. Sa famille lui manquait, son amie aussi, elle ce demandait ce qu'ils faisaient, si ils s'inquiétaient..

Vue la conversation d'il y a quelques jours, c'était sur que sa mère devait s'inquiéter, pareil pour son père, pour son frère en revanche elle ne savait pas si il était inquiet ou en colère.

- Fatiguer ? Dit une voix grave avant qu'elle ne sente les mains de l'homme glisser le long de ses bras avant de ce posé sur ses épaules.

Nina ne répondit rien, trop lasse de ce petit jeu qu'elle considérait malsain.

- Qu'y a-t-il squisita ? Demanda l'homme en ce plantant devant elle.

Restant silencieuse, elle sentit la main ferme de l'homme saisir sa mâchoire fermement pour la relever vers lui. Forcée de plongée son regard dans celui obscur du Criminel, Nina s'y sentit aspirée.

- Qu'est-ce qui ne va pas ? Dit il d'une voix rauque, la fixant avec une lueur qui lui était inconnue dans ce regard opaque.

Elle ce rendit alors compte de l'image qu'elle donnait. Assise en tailleur, habiller seulement d'une chemise dont les boutons n'était pas totalement fermer laissant apercevoir ses seins, ainsi que ses lèvres qu'elle avait entrouvert dans l'objectif de passer sa langue sur ses lèvres dans le bute de les réhydrater.

Elle devait avoir l'air d'une vrai chaudasse ou d'une folle, a voir vue comment ses cheveux était emmêler.

Sursautant quand l'homme passa son pousse sur ses lèvres avant d'effleurer sa langue. Relâchant sa prise elle vit l'homme léché son doigt avec un air vorace sur le visage. Rougissant Nina ce recula.

- Mmmm... Tu es délicieuse de partout squisita , un vrai délice.

Sa voix était si rauque qu'elle en frissonna, avant de ce reculer encore plus jusqu'à sortir du lit, a l'opposé de l'homme.

- V- vous êtes vraiment bizarre... C'est vraiment dégoûtant ce que vous... Venez de faire... Dit elle d'une voix aigus.

L'homme ricana, avant de ce déplacer vers elle et de la plaquer contre le mur si rapidement qu'elle en eu le souffle couper.

- En quoi est-ce dégoûtant alors que je vais goûter la même chose mais d'une manière différente.

- Vous pouvez toujours rêvé ! Cracha t'elle en essayant de le repousser, mais peine perdue, c'était comme si elle essayait de pousser un mur de pierre.

Levant une main vers son visage, il lui caressa la joue avec une extrême tendresse.

- Nina, pourquoi résister ? Nous savons l'un comme l'autre a quel point le désir qui crépite entre nous est inéluctable.

Serrant les lèvres elle lui jetta un regard noir.

- C'est pas parce que il est inéluctable que je céderai a une chose pareil.

- Donc tu admet qu'il existe. Souriat il, fière.

- Laissez moi tranquille... Soupira t'elle.

- C'est impossible, tu es bien trop précieuse pour que je laisse cela passer. Ce qu'il y a entre toi et moi est quelque chose de rare et il est hors de question que je laisse cela me filer entre les mains. Tu finira pas le comprendre aussi ma douce et innocente Nina.

Nina décida de rester silencieuse alors même que les paroles de l'homme venait de mettre a mal ses défense qu'elle tentait bien tant que mal a dressé.

- Vous m'avez couper de ma famille.. de mes amies... Dit elle d'une voix triste.

L'homme la fixa quelque instants avant de ce saisir de sa main et de l'entraîner hors de la chambre. Les couloirs avaient l'air encore plus immense que dans la lumière du jour, encore plus terrifiant.

Sa main emprisonner dans celle immense du Criminel avait l'air si frêle qu'elle en frissonna, il pouvait la briser quand il le voulait et personne ne l'aiderai jamais.

- Arrête de penser a des choses sinistre Nina. Dit il alors qu'il tournait vers la gauche après quelques minutes, une grande porte alors leurs fit face.

L'ouvrant, il alluma la lumière avant de lui relâcher la main, soulager Nina emmêlas ses doigts ensemble avant de tirer la chemise vers le bas de rappelant qu'elle ne portait rien en dessous.

- Voici mon bureau personnel, ici il y a un ordinateur et un téléphone. Dit l'homme en ce tournant vers elle avec un regard sérieux.

- Tu peux appeler ta famille avec et ton amie Clémentine. Cela ne servira à rien d'appeler la police car tout est cryptée, ils seront incapable de retracer l'appelle.

Fronçant les sourcils, et après quelques secondes de silence, s'avança vers le téléphone poser sur le bureau et ce saisissas du combiné avant qu'une main n'entours son poignet.

Ce figeant elle releva les yeux vers le criminel, ses cheveux en bataille et sa barbe naissante le rendait encore plus ténébreux dans cette atmosphère silencieuse.

- Tout a un prix ma douce.

Déglutissant, Nina cligna des yeux quelques secondes avant d'entrouvrir les lèvres.

- Qu'est-ce... Qu'est-ce que vous voulez ? Dit elle d'une voix tremblante d'appréhension.

L'homme souria avant de ce saisir du combiné et de le reposer, attrapant ses hanches il la poussa jusqu'à cogner le bureau avant de la soulever et le mettre sur celle-ci, il ce plaça face a elle, la fixant d'un regard brûlant et possessif .

- Un baiser. Dit il d'une voix dangereusement rauque.

Déglutissant, Nina laissa son regard descendre sur ses lèvres dure, elle savait que si elle acceptait elle risquait de faire cédé ses barrières face a l'irrésistible attirance qu'elle avait pour cet homme dangereux et ténébreux.

Elle voulait parler a sa famille, mais elle était terrifier a l'idée de faire face a ses plus sombres désirs, car c'est cela qu'il représentait. Kélio Rolz était le plus terrifiant et le plus sombre de ses désir qu'elle n'avait jamais voulu, et il était la face a elle prêt a le lui offrir.

Était elle suffisamment forte pour ne pas cédé ? Après ce baiser aurait t'elle la force de le repousser. Et merde elle n'en avait aucune foutue idée, elle n'avait pas le choix.

Levant la main, elle saissat la tignasse sombre et soyeuse de son geôlier et le tira vers lui avant de poser ses lèvres sur celle dure de celui-ci, faisant sauter toute barrières.