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Chapitre 53

L'homme qui se tenait devant nous avez un visage froid. De petit yeux, rouges et une barbe mal rasée. Des cheveux gris parmi ses cheveux noirs faisait leurs apparitions. Ses habits étaient tachés de je ne sais quelle substance et il sentait la transpiration. Il n'inspirait pas confiance du tout et un air comme malsain pouvait se faire ressentir à côté de lui.

-Wooseok viens voir qui est venu nous rendre visite !

Un nouvel homme apparu dans l'encadrement de la porte. Il avait de beaux cheveux noirs et sentais, contrairement au premier homme, une odeur de vanille. Il était plutôt grand et devait faire la même taille que Yunho, voir plus. Malgré ça, son visage était triste et fatigué. Il avait l'air craintif et restait en arrière. Il était un si bel homme... Mais son air fatigué était inquiétant.

Le fameux Wooseok nous fit un sourire un peu triste, avant de me dévisager un peu mieux de haut en bas. Je vis ses yeux s'ouvrir grand et un regard totalement apeuré prendre place dans son regard. Comme si il venait de voir un fantôme.

-Où étais-tu tout ce temps ? Tu n'étais pas morte avec tes parents ?

-Je vous demande pardon ?

-'' Vous '' ? Voyons tu ne me reconnais pas ? Tonton Youngjae ! Celui qui t'as offert ton chat en peluche pour tes neuf ans !

Je ne savais pas dans quel camp me mettre. Celui de la fille qui se souvient de lui, ou bien lui dire la vérité en expliquant que je ne savais rien ?

-Qui est ce jeune homme qui t'accompagne ? C'est ton copain ? C'est un bel homme... Viens entre, on va discuter un peu.

-Non.

-Quoi ?

-Je dois te rendre quelque chose.

Son regard sale se posa sur moi. Wooseok était resté en arrière et observait la scène. Je jetais le sac qui se trouvais sur mon épaule à terre avant de demander à Seonghwa de faire de même.

-C'est à toi. C'est tout ce que j'ai à faire ici.

-Qu'est-ce que c'est ? Les affaires de tes parents ?

-Ton argent.

Vu son regard, il ne me croyait pas. Il ouvrit un des deux sacs avant de pousser un cri. Il se releva d'un bond et serra Wooseok dans ses bras. Il aurait pu lui briser les os vu la force avec laquelle il le serrai...

-Ou as-tu trouver tout ça ? On doit fêter ça ! Toi et ton copain vous venez manger ce soir !

-Youngjae ne fais-

-Ta gueule.

L'homme qui se trouvait derrière lui avait essayer de s'exprimer d'une petite voix, mais Youngjae l'en avait empêcher. Il reprit son faux air heureux et essaya de nous pousser à l'intérieur de la maison.

-Je ne veux pas rentrer. Je veux savoir ce qui est arriver à mes parents.

-Voyons Siyeon tu as fait un accident de voiture !

Quelque chose clochait. Pendant qu'il me racontait en détails ce qu'il s'était produit, je pouvait voir Wooseok, à l'arrière, secouer la tête d'un air désapprobateur. Voyant que mon regard était concentré ailleurs, Youngjae profita de ce moment de faiblesse pour nous tirer à l'intérieur et ferma la porte à clé. Seonghwa réagissait au quart de tour et donna un coup de poing magistral dans le ventre de cet homme qui se plia en deux de douleur.

-ESPECE DE CONNARD ! Tu veux mourir c'est ça ?!

J'essayais de tourner la clé dans la serrure pour ouvrir la porte, mais le stress montant en moi, je n'y arrivai pas.

-Siyeon tu- AIE !

Je me retournai d'un bond et vis Seonghwa, allongé par terre, du verre autour de lui. Un regard de haine se déposa sur moi et l'homme approcha dangereusement une bouteille en verre de mon visage.

La suite se passa très vite. Wooseok, un torchon en main, attrapa la gorge de Youngjae et enroula le torchon autour de sa gorge. Il se débattait et Wooseok était à bout de force. Il ne tenu que quelques secondes alors que j'essayais de réveiller Seonghwa, toujours allongé sur le sol. Puis, des bruits de sirènes.

Déjà ?

Je pouvais voir la terreur dans le visage de Youngjae qui réussissait à dégager les mains de Wooseok d'autour de son cou.

-Vous allez pourrir en enfer.

-Police ouvrez cette porte !

Youngjae courra vers l'intérieur de la maison. Et revint quelques secondes après, une arme à la main. Il m'attrapa par la gorge et bloqua son pistolet contre ma tempe alors que les policiers venaient de réussir à ouvrir la porte.

-Si un seul d'entre vous fait le moindre pas, je la bute.

C'était les derniers mots que je l'avais entendu prononcé.

Deux balles.

Le son de deux balles resonnait dans ma tête avant que je ne perde connaissance.

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ALORS ALORS ? Comment ça va vous ? Je suis la pire pour arrêter ce chapitre à ce moment là, je sais, mais je veux vous laisser imaginer la suite ! Je vous posterai le chapitre suivant demain, pour bien laisser du suspense (je sais que c'est chiant mais c'est la vie x) ) 

Bon, faites vos théories et à demain !

La bise !