Je ne suis pas ce qu'on pourrait qualifier de 'femme normale''. La définition propre d'une femme est ''Adulte de sexe féminin''. Seulement voilà, ce qui se trouve entre mes jambes n'est certainement pas de nature féminine. Je l'ai depuis que je suis toute petite et il a grandit avec moi. Mes parents m'ont dit que c'était une déformation génétique et ils m'ont fait cacher cette chose qui n'était clairement pas normale pour une fille. Pendant tout le long de ma croissance j'ai dû faire comme si j'étais une fille banale. Alors à chaque fois qu'une personne était proche de moi, trop proche de moi, je lui disais que je n'aimais pas les câlins et que je voulais qu'il s'éloigne. La même chose lors des grandes foules, je faisais en sorte de ne pas apparaître dans des petits endroits bondés, la ou mon sale petit secret pouvait être révélé.
J'ai obéis à mes parents du début à la fin parce que je me suis dit que si je voulais attirer leur attention, si je voulais qu'ils soient fiers de moi, il fallait que je leur montre que je valais la peine de leur sourire.
Mais toutes ces actions n'avaient servi à rien.
À chaque fois que je voulais leur parler de quelque chose que j'avais fait à l'école comme un bricolage pour eux ou leur annoncer une bonne nouvelle, ils ont pris le bricolage et l'ont jeté à la poubelle en disant une c'était une perte de temps ou ils ont juste hoché la tête et sont partis de la pièce avec un soit disant ''coup de téléphone urgent pour le travail''.
Ils ne m'ont rien dit mais j'ai vite compris.
Il n'a pas fallu qu'ils me le communique à l'oral, puisqu'ils me le faisaient comprendre par les gestes et leurs expressions. Ils étaient dégoûtés de moi. Je l'ai compris à l'âge de 10 ans et savoir ça à un très jeune âge ça fait mal, terriblement mal. Pourtant j'avais essayé tant bien que mal de rassembler notre famille mais le problème n'était pas qu'ils ne se parlaient plus, ou qu'ils se disputaient sans arrêt. Non. Le problème, c'était moi. Et je me souviens avoir pleuré pendant longtemps, me faisant petit à petit l'idée du deuil de ne jamais pouvoir avoir des parents aimant. Que pour eux, je n'étais rien.
Et je me suis détestée pour ça pendant plusieurs années. Je me répugnais moi-même. À chaque fois que je me voyais dans le miroir, je détournais mon regard. À chaque fois que je voyais des filles normales, je me détestais.
Comme toute personne, j'allais devoir vivre avec un fardeau, mon fardeau et du moment que je le cachais, j'arrivais plutôt bien à vivre avec.
La première fois que j'ai eu une érection j'avais 15 ans. C'était en cours de sport et c'était un cours avec les sauts, les grands écarts etc. Et alors que je regardais le déhanchée d'une des élèves, Esmeralda, une douleur plaisante entourait mon anatomie et d'un coup il s'est mis à grossir et à s'élever. J'étais alors dans un état de stresse parce que je ne savais pas ce qu'il m'arrivait, j'avais des bouffées de chaleur et évidemment, une envie de caresser cette nouvelle sensation. Je me tordis alors de ''douleur'' et partis sans plus tarder sous les regards interrogateurs des élèves, même la prof ne semblait pas comprendre mon attitude.
Je me suis vite changée dans les toilettes, faisant gaffe à ne pas éveiller encore plus le petit(ou plutôt le grand) en dessous et couru chez moi, la où personne ne pouvait me voir. Mes parents travaillaient pour la journée alors j'avais eu le temps d'assimiler la chose seule. De toute façon je suis sûre que même s'ils avaient été là, ils ne m'auraient pas remarqué.
Je piquais donc un sprint dans ma chambre, la fermais à clé et sans une seconde pensée, retirais mon pantalon alors que j'étais assise sur le bord de mon lit. Il avait doublé, que dis-je, même triplé de taille, s'élevant fièrement en montrant sa puissance.
Je me rappelais que je ne savais pas du tout quoi faire à l'époque. Personne ne m'avait préparé pour ce jour, pas même mon père (peut-être parce qu'il avait été dégoûté par cette partie de moi) alors je le regardais bien pendant 5 minutes, espérant qu'il se baisse. Mais il ne l'a jamais été. C'était donc avec hésitation que je me suis mise à le toucher, puis lentement quand je le sentis palpiter, je frottais mon grand soldat avant de faire des va et vient avec ma main.
Et par tous les dieux cette nouvelle sensation était exquise.
Au bout d'un certain moment à astiquer mon manche, ma respiration était saccadées et mes joues sont devenues rouges. La bouffée de chaleur avait doublée et mon bassin bougeait tout seul. Je réussi à contenir les gémissements qui menaçaient de sortir de ma bouche et tout en le frottant encore et encore, j'imaginais ce pourquoi je fus transformée en un tel bordel.
D'abord j'étais dans la salle de sport sur le banc en attendant mon tour et c'est la que mon regard tombait sur Esmeralda. La plus belle fille du lycée. Ses beaux yeux verts et ses cheveux attachés en queue de cheval haute. Puis sa peau caramel et sa tenue de sport qui révélait ses longues, belles et fines jambes que je voulais explorer. Son ventre exposé lui aussi, sec et sexy. Et quand je l'ai vu sauter par dessus un obstacle, écartant bien les cuisses donnant une vue sur son cul bien formé, je me suis imaginée le serrer entre mes mains, caressant ses formes en me frottant contre elle.
Je sentais que j'arrivais à mon apogée alors que ma dernière vision fut Esmeralda dans un fouillis pas possible, tentant si fort de reprendre sa respiration et un liquide blanc transparent sortit avec force de mon engin. Les pulsations s'étaient calmées et ma respiration saccagée reprenait peu à peu un rythme normal. Après 5 minutes à reprendre contrôle de moi-même, je vis mon soldat se baisser et après sa, j'avais fait des recherches sur internet.
Ce que je venais de vivre était ma première érection et première ''branlette''.
On pouvait donc dire que je m'étais branlée sur l'image d'Esmeralda.
Après cette libération, le dégoût de moi resurgit et je savais que je n'allais plus jamais regarder Esmeralda de la même manière. Mais malgré ce dégoût je continuais à me découvrir et au fur et à mesure que je me masturbais je me mettais à adorer cette sensation.
Alors maintenant quand c'était vraiment nécessaire, je m'installais dans ma chambre et me libérais. Et quand je n'avais pas d'autres choix et que la pulsation était trop forte dans le collège, je me coinçais dans les toilettes pour filles, dézippais mon pantalon et aussi discrètement que possible, me branlais de sorte à ce que je calme la grosse bête.
Je vous rassure, cela n'est arrivé que deux fois (de nouveau à cause d'Esmeralda) mais la plupart du temps je le faisais chez moi comme une personne civilisée.
Alors qu'il s'écoulait un mois après la rentrée du collège pour ma deuxième année, une nouvelle arrivée avait été annoncée.
« Bonjour, je m'appelle Elsa Winters, ravie de faire votre connaissance » Dès que je vis ses lèvres d'un rose naturel bouger, ses yeux bleus transperçant, ses cheveux dans une tresse française blonde platine et son corps ondulé et d'une pâleur parfaite, dans des proportions que j'aurais appelé ''divine'' ma bouche s'était ouverte dans une grande stupéfaction.
Depuis ce jour là, je n'avais aucune idée qu'Elsa allait devenir la source de mes besoins, celle de mes envies, celle de mes pensées.
FIN du chapitre
Salut tout le monde, vous allez bien ?
Je suis nouvelle dans le coin et comme vous pourrez le remarquer, mon écriture n'est pas la meilleure (je ne me qualifierais pas moi-même de bonne écrivaine) c'est pourquoi toute critique sera la bienvenue ! Cela faisait un petit moment que je voulais poster ça et j'hésitais toujours. Je me disais ''Et si personne n'aime ?'' Et puis je me suis souvenue que quelqu'un m'avait dit ça un jour''Si dans la vie on se remet toujours en question à cause des autres, alors nous ne vivons pas pleinement notre vie''. Évidemment que cette fiction ne plaira pas à tout le monde, mais pour les gens qui aiment sachez qu'il y aura sûrement une suite à ce chapitre. Je m'excuse d'avance pour tous les chapitres dont les fautes d'orthographes seront tellement évidentes qu'on voudra me bannir de Wattpad xD
Entre autre, je vous informe que plusieurs des chapitres seront sexualisé mais pas autant que celui ci. Voili voilou
Sur cette note et avec plaisir, j'espère vous retrouver tout bientôt.
Ps. N'hésitez pas à partager l'histoire si elle vous a plu. Un petit Futa ne fait de mal à personne ;)

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Tu as changé ma vie
Fiksi PenggemarAlors qu'il s'écoulait un mois après la rentrée du collège pour ma deuxième année, une nouvelle arrivée avait été annoncée. « Bonjour, je m'appelle Elsa Winters, ravie de faire votre connaissance » Dès que je vis ses lèvres d'un rose naturel bouger...