Un père violent, c'était ça que possédait uniquement Alec Lightwood. Des coups, il recevait ça à chaque jour quand son père ne fumait pas assez ou n'avait pas de bouteilles d'alcool proche de lui. Au lycée, la vie était toujours aussi dure avec la b...
Si quelqu'un arrive à me trouver le vrai nom de cette veste, je l'adore! J'ai un de ces blancs de mémoires les amis! Je ne peux pas appeler juste cela une veste puisque ce n'est pas juste une veste justement!! C'est plus que ça et ça a un nom! :) Ne pas oubliez de lire la note d'auteur à la fin.
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Une semaine s'était écoulée, mais ce fut une semaine agitée et chargée. Bien sûr, le lycée prenait la majorité du temps d'Alec Lightwood, mais en plus, la nervosité, face au procès de son père, montait beaucoup plus à l'allure que les jours filaient. De plus, l'arrivée de son avocate, Jia Penhallow, dans sa vie, le troublait. Elle était une femme de grandeur impressionnante où son dur travail apparaissait dans son allure. Même si un certain air chaleureux se trouvait au travers de ses yeux légèrement étirés, Jia était complètement sérieuse et n'hésitait pas à poser de délicates questions. Il fallait dire que c'était cela son métier, en partie. Et c'était cela, selon Maryse, qui l'avait amené aussi loin dans sa carrière.
La première fois qu'il avait vu, c'était parce que Maryse l'avait invité à la maison pour la mettre en commun le dossier. Il marchait avec Isabelle dans la cour de la maison puisqu'ils avaient pris les transports en commun, cette journée là, pour revenir du lycée, avant de remarquer une voiture inconnue stationnée au côté de celle de leur mère. Alec jeta un coup d'œil interrogateur à Isabelle qui se mit à glousser.
— Imagine qu'elle a un nouveau petit-copain. Et ce, avec de l'argent. Regarde la voiture.
Le jeune homme leva les yeux au ciel tout en songeant que la voiture garée dans le stationnement, une Tesla noire de son modèle le plus récent, paraissait assez dispendieuse.
— Quoi? s'exclama la brunette en montant les marches du perron en premier. Ça lui fera complètement du bien.
— Peut-être, répondit Alec quelque peu embarrassé de parler de cela.
Il fallait dire qu'à ce moment même, le jeune homme aux yeux bleus n'avait qu'une seule envie: aller se coucher. Aller se coucher, car sa journée avait été longue et épuisante. Examens dans quatre de ses périodes et révisions intensives pour la dernière qu'il passa dans la bibliothèque avec Catarina. La récompense était ainsi son lit qu'il avait entendu avec impatience toute la journée. Ses pensées étaient ailleurs depuis longtemps déjà.
— MAMAN! C'est nous! s'écria Izzy en entrant dans la maison tout en tenant la porte pour Alec.
Quelques pas se firent entendre avant que la voix de Maryse ne résonne dans la demeure:
— Alec est-il là?
— Oui, répondit Isabelle qui s'était avancée jusqu'à la cuisine et qui s'arrêta alors que son frère accrochait sa veste de cuir au porte-manteaux. Bonjour.
— Bonjour, répondit une voix féminine, mais distinguée et prononcée avec un léger accent.
Le jeune homme fronça encore plus les sourcils tout en se demandant qui Maryse avait à lui présenter. Puis, la réponse fut simple quand il entra dans la cuisine où il vit une femme assisse au comptoir bien droite, les cheveux bien coiffées, la tenue soignée et les doigts croisés.
