Chapitre 27: L'entretien Familial:

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1 semaine plus tard, Éléna descend les escaliers.
Éléna: maman tu est prête ?
Isabelle: oui j'ai juste a mettre mes chaussures.
Éléna: dépêche toi, je vais aller voir ce qu'ils font en haut.
Isabelle: je serai prête au moment de partir, ne t'inquiète pas. Vas-y.
Éléna remonte et elle va voir Ciara dans la chambre d'Alexandre.
Éléna: tu est prête meilleure ?
Ciara: oui je vais descendre pour mettre mes chaussures.
Éléna: pas de soucis, ne traine pas.
Ciara: ne t'inquiète pas.
Éléna: part voir Louna dans sa chambre.
Éléna: Louna tu est prête ?
Louna: oui soeurette, je dois juste descendre mettre mes chaussures.
Éléna: ne traine pas sinon on va être en retard.
Louna: oui soeurette.
Éléna descend, tout le monde descend aussi. Elles partent dans la voiture d'Éléna.
Point de vue omniprésent:
Aujourd'hui c'est un grand jour, c'est l'entretien familial avec Louna, Ciara, Ély, Isabelle et Éléna. Cassandra et Alexandre n'ont pas le droit de venir vu qu'ils sont mineurs. Cynthia n'a pas le droit de venir car elle est aussi patiente à la clinique et dans le service d'Éléna. Harmony a préféré rester avec Cynthia car elle connait pas encore très bien Éléna.
Elles partent en direction de l'hôpital. 30 minutes plus tard, elles arrivent, elles se garent sur le parking de l'hôpital. Elles sortent de la voiture puis elles entrent dans l'hôpital. Elles vont voir la secrétaire puis elles monte dans le service des troubles du comportement alimentaire. Elles s'assirent puis elles attendent l'arrivée de l'équipe. 10 minutes plus tard, l'équipe arrivent puis ils vont dans une salle de réunion. Ils s'assirent tous.
Psychiatre: bonjour à tous, je vous ais convoqué aujourd'hui pour faire le point sur la maladie d'Éléna. Pour pouvoir échanger avec vous et si vous avez des questions, de pouvoir vous répondre correctement.
Tout les filles: d'accord.
Psychiatre: comment te sens tu depuis ta sortie Éléna ?
Éléna: je me sens très bien, j'ai repris très vite mes repères et j'ai réussi à reprendre une alimentation normale. Je n'arrive pas encore à me détacher de la ration, je note encore tout ce que je mange et je calcule tout les soirs à 20 heures pour savoir si j'ai atteint cette ration. Sinon je prend une collation à 21 heures pour l'atteindre. C'est encore difficile pour moi de manger des choses qui ne sont pas inscrite dans la ration. Je n'ose pas encore me faire plaisir parce que j'ai peur de dépasser ou d'être malade parce que je mange trop. Sinon je n'ai pas vraiment d'angoisse particulière, on a une bonne entente familial et j'arrive à sortir un peu plus souvent.
Psychiatre: d'accord, on note tout cela ne vous dérange pas ?
Tout le monde: non.
Psychiatre: nous allons revenir après sur ce que tu ressens avec l'équipe. Isabelle comment vivez vous la situation et comment vous la trouvez votre fille maintenant ?
Isabelle: depuis qu'elle est sorti, je ne l'ais jamais vu aussi heureuse. Elle est plus vive, plus active, plus souriante, elle a repris des couleurs. Je la trouve mieux maintenant, je suis heureuse qu'elle y arrive et qu'elle ne baisse pas les bras. Je la trouve courageuse de se battre chaque jour, elle ne montre pas ses difficultés mais elle les garde pour elle malheureusement. Je la soutiens du mieux que je peux, ce n'est pas facile entre le travail et les enfants. Je suis très fière d'elle, je l'encourage à continuer comme ça.
Psychiatre: merci Isabelle. C'est beaucoup d'encouragement pour toi Éléna. Louna à vous.
Louna: je la trouve mieux maintenant, elle est très resplendissante, elle a retrouvé la joie de vivre et je suis tellement heureuse pour elle. Elle a trouver la force de se battre et pourquoi elle se battait. Je suis contente qu'elle aille mieux, elle a enfin prit conscience qu'elle se mettait en danger. Je la vois tellement heureuse maintenant, elle a changé la vision qu'elle avait de voir la vie. Elle a traversé tellement d'épreuves qu'elle a décidé que tout devait s'arrêter et qu'elle devait guérir. Je lui donne tout mon courage et je le souhaite tout le bonheur du monde.
Psychiatre: merci Louna. Je suis d'accord avec vous. À vous Ciara.
Ciara: je suis très heureuse qu'elle a enfin décidé de se battre et de se reprendre en main. On ne savais plus comment l'aider à force mais grâce à vous elle est encore en vie. C'est une fille qui a beaucoup souffert malgré ça, elle a toujours réussi à se relever. Elle à vécu des choses terrible mais elle appris a vivre avec et je l'admire tellement pour son courage et pour son esprit combatif. Je la trouve mieux maintenant car elle respire la joie de vivre et elle montre qu'elle a envie de s'en sortir.
Psychiatre: merci Ciara. On le voit très bien qu'elle se bat, elle n'a jamais laissé tomber. À vous Ély.
Ély: quand je la vois maintenant, je me dit qu'elle a reussis a franchir certaine étape de la maladie et de la vie. Elle est tellement mieux maintenant et j'aimerai qu'elle reste dans cette voie là. Je l'ai vu dans les bons comme dans les mauvais moments, j'ai été très présente aussi pour elle. Je la soutiens, je l'encourage et je l'aide toujours. C'est une amie en qui je suscite beaucoup d'admiration car elle a une force incroyable. Je ne sais pas où elle trouve tout son courage et toute l'énergie qu'elle a.
Psychiatre: merci Ély. On voit que vous êtes bien entourée Éléna. Tout le monde vous admire contre le combat que vous menez contre l'anorexie. Tout le monde vous soutien et vous encourage à continuer comme ça. Je trouve ça tellement génial pour vous Éléna. Maintenant que pensez vous des craintes d'Éléna vous les filles ?
Isabelle: elle ne devrait pas avoir peur de ne pas manger assez et elle ne devrait pas avoir peur de se faire plaisir de temps en temps car elle a le droit.
Psychiatre: vous avez raison Isabelle.
Louna: c'est tellement bête qu'elle n'ose pas se faire plaisir alors qu'elle en a envie. J'aimerai tellement qu'elle le fasse.
Psychiatre: tout à  fait Louna.
Ciara: cela me fait mal au coeur qu'elle nose pas manger un biscuit ou une part de gâteau car ce n'est pas tout les jours.
Psychiatre: on va en parler juste après avec mes collègues.
Ély: moi j'aimerai qu'elle prenne du plaisir à manger, qu'elle mange autre chose que sa ration même si elle la dépasse.
Psychiatre: je comprends les opinions de tout le monde. Éléna veux tu dire quelque chose ?
Éléna: j'arrive pas à me détacher de ce qui est ecrit sur la ration, pour moi je dois la respecter à la lettre et ne pas remplacer ou de prendre autre chose en plus.
Psychiatre: d'accord c'est compréhensif. Je vous présente le psychologue. À vous.
Psychologue: bonjour à tous, je suis Éléna depuis son entrée dans notre service. On a travaillé sur beaucoup de choses ensembles. J'ai vu comment elle a évolué tout la période où elle était en hospitalisation et quand elle était à votre maison aussi. Elle a évolué dans le bon sens, elle arrive a parler, elle n'a plus peur de dire quand cela ne vas pas. Elle arrive a vivre maintenant avec tout ce qu'elle a vécu. Elle a réussi à depasser les limites et trouver le chemin vers la guérison.
Éléna: merci beaucoup.
Psychiatre: elle a réussi à travailler sur de nombreuses choses et maintenant elle arrive a surmonter les épreuves difficiles. Je vous présente la psychomotricienne.
Psychomotricienne: bonjour je suis la psychomotricienne avec Éléna, on travail sur la perception du corps face à la maladie. On travaille en faisant des activités sur le corps et aussi nous les ré apprenons à gérer leurs émotions avec beaucoup d'exercices que nous lui donnions. Elle peut les refaire quand elle en a besoin et quand elle a en envie. Je la suis également depuis le debut de son entrée dans le service et je vois qu'elle a fait beaucoup de progrès et qu'elle avance bien. Il y a encore beaucoup de chemin à faire mais nous sommes sur la bonne voie.
Éléna: merci énormément pour tout le travail que l'on a pus faire cela m'a beaucoup aidé.
Psychiatre: elle ne vois plus son corps comme son ennemi maintenant mais comme son ami. Elle a beaucoup travaillé sur ça et maintenant elle est dans la bonne voie pour nous...
Voilà le chapitre 27, j'espère qu'il vous plaira et bonne lecture bisous 😘💙.

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