otage

chapitre 21

Je me réveille et une odeur de cramé me fait grimacer. Merde ! Je me lève et m'approche de la cuisine. J'ai oublié les raviolis. Ils sont tous secs et certains à moitié carbonisés. En me levant précipitamment, j'ai réveillé Syllana.

- J'ai faim, se plaint-elle.

- J'ai pris de la brioche pour le petit-déjeuner.

On est interrompu par la porte de la grange qui s'ouvre. J'attrape mon flingue, que j'avais posé sur un meuble éloigné du lit pour pas que Syllana l'attrape et le braque sur l'arrivant, un vieille homme qui me regarde moi puis Syllana en écarquillant les yeux.

- Vous... vous... êtes...

- Ouais, tu sais très bien qui je suis.

- So... sohan...

Je n'attends pas une seconde de plus et lui tire une balle dans la poitrine. Syllana échappe un cri et je m'en veux qu'elle ait vu ça.

- Mais t'es malade ! crie-t-elle.

- Je ne dois pas prendre le risque qu'on me balance.

- Mais tu l'as tué ! Imagine sa famille quand elle va apprendre sa mort ! Ils vont être dévasté ! hurle-t-elle.

Je m'approche du vieux. Un vieille homme qui habite dans un coin paumé n'a probablement aucune famille. Je le sors dehors après avoir vérifié qu'il n'y avait personne et l'emmène à l'arrière cour puis jette son corps dans une fausse. Personne ne passe ici, alors il aura tout le loisir de décomposer tranquillement. Son corp jonche parmi des squelettes de mes précédentes victimes. Je retourne à l'intérieur et Syllana est en train de tirer sur ses menottes.

- Mais qu'est-ce que tu fous ?!? je m'écris en m'approchant d'elle.

Elle ne m'écoute pas et continue de tirer. Je prends la chaîne et tire un grand coup dessus, ce qui la fait tomber à la renverse.

- Arrête ça tout de suite !

- Me parle pas ! T'es qu'un putain d'enfoiré ! Il ne t'a absolument rien fait !!

- Ferme la !

Elle continue de tirer sur ses chaînes. Si elle ne m'était pas utile, je pourrais la tuer tellement elle m'énerve. J'ai besoin de me défouler et... je sais où aller. Je prends mon flingue et sors de la grange, que je ferme de l'extérieur à l'aide d'une planche de bois. Je prends la voiture et me rends jusqu'à l'épicerie, après avoir envoyé un message à Javier, maintenant que je suis sûr qu'il n'est pas un traitre, pour lui demander de m'indiquer quand tout les gens qui bossent pour moi auront retrouvés un emplacement sécurisé. Je me re transforme avec la perruque, le maquillage et les lentilles et quand j'arrive à l'épicerie, vide, la vendeuse m'accueille avec un grand sourire. Je lui donnerais la trentaine. Elle est plutôt jolie mais fait très fausse. Je ne perds pas de temps, l'attrape par la nuque et l'embrasse. Elle passe ses mains derrière ma nuque et m'entraîne jusqu'à l'arrière boutique. Je lui retire son haut puis le mien tandis qu'elle caresse mon torse de ses mains manucurées. Je lui enlève son soutif et malaxe sa poitrine. Elle gémit à plusieurs reprise tandis qu'elle retire son jean. Désormais en string devant moi, elle n'hésite pas à s'accouder à un meuble pour me montrer son cul en cambrant le dos. Je le colle à mon erection tandis qu'elle sourit.

- J'parie que t'es déjà toute mouillée, je dis en passant une main sous son string, que j'arrache d'un coup.

Désormais nue, elle écarte les cuisses, attendant que je la pénètre, ce que je ne tarde pas à faire. Je lui donne de puissants coup de reins qui la font gémir de plus en plus fort. Je glisse vite et fort en elle pendant plusieurs minutes. Quand je sens que je vais jouir, je l'attrape par les cheveux, dirige sa tête vers mon sexe et la fait me sucer. Tandis qu'elle fait des vas-et-viens avec sa bouche sur ma queue, elle me regarde dans les yeux où je peux lire à quel point elle kiff. Soudain, je jouis partout sur son visage. Elle sursaute mais finit par se lécher les lèvres puis s'essuie le visage avec un morceau de sopalin. Elle se cale conte un mur et écarte les cuisses.

- À toi de me soulager maintenant, dit-elle.

Je ne l'écoute pas et commence déjà à me rhabiller, puis pars. J'ai autre chose à faire que de faire jouir une salope mal baisé. Je sors de l'épicerie et reprends la voiture en direction de la grange.