Chapitre 14 (!)

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Sentant une caresse sur ma tête, j'ouvre mes yeux difficilement, je peux sentir une couverture qui couvre tout mon corps, voulant plus de chaleur, je ferme à nouveau les yeux et m'approche un peu plus de Nicolas. Nicolas m'enlace étroitement, et m'embrasse le haut de ma tête. Je peux sentir le membre de Nicolas s'éveiller contre ma cuisse, souriante de cette réaction, je décide d'ouvrir à nouveau les yeux et embrasse Nicolas.

Bonjour, Catherine. Réponds Nicolas à mon baisé.

Bonjour. Lui répondis-je, avant d'accentuer mon baisé.

Ma main descend vers son membre dressé, mais Nicolas interrompt mon geste, avant que je puisse faire quoi que ce soit. Je relève la tête et lui demande ne comprenant pas son aptitude.

Que se passe-t-il ?

Pas maintenant. Me répond-t-il d'une voix douce.

Mais, vous en avez envie, je le sens. Lui répondis-je.

Oui, je veux que vous m'apparteniez, je veux être en vous et je n'ai qu'une seule envie, et c'est de vous faire crier, mais à cause du protocole, nous ne pouvons pas le faire. M'explique-t-il.

Nous devons attendre le couronnement ? Lui demandais-je.

Oui...

Pourquoi ? Parce que sinon Dieu nous punira à cause de nos actes ? Lui demandais-je commençant à devenir grognon.

Non, mais vous devez comprendre qu'il faut savoir patienter. Me répond-t-il simplement.

Pourtant vous n'avez pas patientez avec Alexandra ! Lui répondis-je au tac au tac.

Nicolas soupire et se relève plutôt facilement.

Ce n'était pas pareil, comme vous le savez Catherine, Alexandra m'avait trompé avec mon cousin, elle voulait recoller les morceaux avec moi...

Oui, je sais ce qui s'est passé. Lui coupais-je la parole. Vous avez voulu vous venger, vous avez accepté de l'humilier en partageant votre couche avec elle. Continuais-je. Comme vous l'avez dit, je ne suis pas Alexandra. Je ne vous ai jamais trahis et...

Catherine, y suffit, savez-vous ce qui se passe quand la femme du futur Tsar perd sa virginité sans que les souverains ne soit au courants ? Me demande-t-il en fronçant les sourcils.

Cette fois-ci, c'est moi qui soupire lassée de son comportement, je décide de me lever prête à me rhabiller, mais Nicolas se lève à son tour et me prend par le bras avant de m'obliger à le regarder de nouveau dans les yeux.

Catherine, je suis plus que sérieux. Savez-vous ce qui se passe ? Me demande une nouvelle fois.

Non... Lui répondis-je dans un soupir.

Il se passe que vous risquiez d'avoir une réputation de femme facile, et vous n'aurez plus aucun respect auprès du peuple, de votre peuple ! M'explique-t-il.

Et vous croyez vraiment que ça changera en quoi que ce soit, après ce que nous venons de faire ? Lui demandais-je en fronçant les sourcils.

Je sais que nous avons pris de gros risques, mais...

"Nous" ?! Lui demandais-je abasourdie. Vous voulez plutôt dire que JE viens de prendre un gros risque ! Parce que comme vous me l'avez si bien gentiment dit, si on apprends que je me suis en quelque sorte donné à vous, on va surement m'insulter de Putain !

Catherine...

Non ! Vous allez me laisser parler ! Nous sommes mari et femme, Nicolas. Il est tout à fait normal pour nous de faire l'amour ! C'est pas comme si que nous le faisons hors mariage !

Je sais, mais en Russie nous fonctionnons autrement, je sais que dans les autres pays c'est différent, mais ici c'est ainsi. Vous devez essayer de comprendre cela...

C'est complètement grotesque ! Lui répondis-je.

Je sais que c'est grotesque, mais nous devons patienter jusqu'à notre couronnement. M'explique-t-il.

C'est-à-dire ? Lui demandais-je.

C'est-à-dire que nous devons attendre l'abdication de mon père ou...

Ou son décès... En complétant sa phrase.

Il acquit de la tête, c'est alors qu'une question me trotte la tête et me glace d'effroi.

Tout à l'heure, vous m'avez dit que les souverains devaient savoir si oui ou non, je suis vierge, vous voulez dire que...

Qu'ils doivent assister à notre première fois ? me demande-t-il. Oui. Affirma-t-il.

Je vous demande pardon ?! Lui demandais-je, choquée par cette nouvelle. Donc je dois patienter jusqu'à notre couronnement, mais en plus nous allons jouer aux exhibitionnistes devant votre famille ?!

Catherine... Ce n'est pas de l'exhibitionnisme, mais c'est la tradition. Me répond-t-il en retenant un rire de justesse.

Et cela vous fait rire en plus ?! Lui demandais-je hors de moi.

Cette fois-ci, un fou rire lui prend au tripes J'ai beau ronchonner et bouder, rien à faire, son rire ne fait que doubler d'intensité. Ayant assez que Nicolas se moque de moi, je m'approche de lui et décide de saisir son sexe. Cette fois-ci, Nicolas s'étouffe avec sa propre salive en sentant ma main caresser son membre dressé comme un piquet. Ses yeux s'assombrissent à cause du désir, je m'agenouille devant lui, retire ma main pour la remplacer par ma bouche.

Je lève mes yeux vers lui, et remarque qu'il a la tête levée au ciel, gémissant, je souris heureuse de mon effet et décide de continuer en l'avalant entièrement. Je sens ses mains se poser sur l'arrière de ma tête. Sentant au bout d'un moment son membre grossir dans ma bouche, il se retire et m'oblige à me redresser. Il m'embrasse à pleine bouche, avant de nous diriger à nouveau vers le lit. Il m'allonge sur le bord de celui-ci, quand à Nicolas, il décide de s'agenouiller devant moi et d'écarter mes jambes pour ensuite les poser sur ses épaules.

Il penche sa tête en direction de mon sexe avant de goûter une nouvelle fois à celui-ci. Sentant sa langue en moi, j'attrape ses cheveux pour l'obliger à continuer. Ne pouvant plus contenir mes cris de jouissance, je plaque l'une de mes mains sur ma bouche. Quelques secondes après, mon corps se met à trembler et je ne peux plus contrôler mes spasmes et jouis dans une puissance incroyable. 

A Travers Le Temps. Tome 3, l'Âge des Romanov. ( Terminer Et Non Corriger)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant