A Travers Le Temps. Tome 3, l'Âge des Romanov. ( Terminer Et Non Corriger)

Chapitre 4

Les gouvernantes me prépare pour ma rencontre avec le Tsar de Russie, je suis vêtue d'une longue robe bleu foncé et faîtes à partit d'une soie magnifique, elle est collée à mon corps, j'ai un léger décolleté tailler en V, mais il n'est pas provoquant, la robe détient aussi une petite traîne. Je porte autour de mon cou, un collier, la chaine est faîtes à partir d'argent massif et le pendentif est un Rubis magnifique, mes boucles d'oreille sont assorties à mon collier. Mes cheveux roux sont attaché en un chignons assez complexe. Quant au maquillage, il est assez simple. Je porte juste du far à paupière ambré et du rouge à lèvre. 

Lorsque les Gouvernantes me font regarder dans un miroir, je me rends compte que je ne suis plus la femme qui est arrivée, il y a 4 mois. Une femme banale qui avait qu'un seul objectif en tête. Rentrer chez elle ! Maintenant je suis devenue une femme qui est obliger de mentir et de manipuler pour le compte de l'Impératrice, mais surtout j'ai un nouvel objectif. Je dois survivre !  

Vous êtes maintenant un véritable joyaux. Dit simplement l'Impératrice avec un grand sourire, mais le plus important est que vous êtes prête à rencontrer mon époux, le Tsar Alexandre III.

Et votre fils ? Lui demandais-je.

Un peu de patience, ma chère, nous y viendrons bientôt. Sourit-elle avant de s'approcher de la porte de sortie. 

Nous sortons de ses appartements, vers d'autre appartement, de près de quatre-vingt-dix mètres carrés, situé au centre de la façade est du Château. Pièce la plus importante et la plus symbolique de l'appartement royal, la chambre sert à plusieurs moments de la journée.

Le fastueux décor de brocart d'or et d'argent sur fond cramoisi de la chambre est agrémenté de tableaux, choisis par Alexandre lui-même : quatre tableaux représentant les évangélistes et Le denier de César, Agar et l'ange, en dessus-de-porte, Saint Jean-Baptiste par ; Marie-Madeleine ; et deux portraits d'après. Sur les cheminées, une pendule-baromètre ainsi que quatre candélabres ayant appartenu au comte de Provence.

Devant nous, se trouve deux hommes, vu le ton qu'il emploie, je dirais qu'il se chicanent.

Je vous en prie, père, je veux épouser Alix ! Supplia le première homme.

Et moi, je t'ai répondu que je ne voulais pas ! C'est une Allemande, et vous savez que les Allemand n'ont aucunes manières ! Répond le second homme.

Mais père...

Y suffit, Nicolas ! Tu épousera une française ! Que cela vous plaise ou non ? Sachet que je suis encore Tsar et que je suis le seul à décider de ceci ! 

Lorsque Dagmar toussote légèrement pour faire remarquer de notre présence, les deux hommes se tournent vers nous. Les deux hommes se ressemble beaucoup, ils portent tout les deux une veste blanche et un pantalon noir. Ils ont tout les deux les yeux bleu, mais le plus âgé à les cheveux noir et grisonnant avec une barbe qui ne lui va pas du tout... Le plus jeune à les cheveux brun, une petite barbe. Celui-ci est très beau.

Alexandre, je vous présente Catherine de Habsbourg, elle vient tout juste d'arrivé en Russie. Explique l'Impératrice.

Je suis heureuse de faire votre connaissance... leur dis-je, avant de me prosterner devant eux.

Relevez-vous ma chère. Dit le Tsar d'une voix grave. J'aimerais savoir une chose, que fait une Habsbourg en Russie ? Me demande-t-il cette fois-ci curieux de ma venue.

Son père Rudolphe François Charles Joseph est intéressé pour que sa fille puisse épousé notre fils. Répond-t-elle d'une voix calme.

Quoi ?! Qu'ai-ce-que ! Mais ce n'est pas ce que nous avons convenue ! Je le savais, elle avait prévu depuis le début ! Je n'aurais jamais dû lui faire confiance !

Mes poing se serre, jusqu'à ce que mes jointure blanchisse, je me sens trahis par cette femme maudite.

Le Tsar écarquille les yeux, mais se reprend très vite avant de s'approcher un peu plus de moi.

Pourquoi le fils du roi d'Autriche et de Hongrie voudrait une alliance avec la Russie ? Me demande le Tsar d'une voix méfiante.

Mon père et ma mère n'ont eu aucun fils, alors ils espèrent me marier avec des royaumes puissant, tel que le votre... Lui expliquais-je.

Je vois, et il espère vous marier avec mon fils. Mais savent-t-ils que je veux épouser mon fils à une noble française ? Me demande-t-il.

J'acquis de la tête, il nous fait ensuite signe que nous pouvions disposer. Dagma et moi-même sortons de ses appartements lorsque je que nous sommes assez loin des étranger, je décide de la prendre par le bras pour l'emmener directement dans ses appartements.

Êtes-vous complètement folle ?! Lui demandais-je hors de moi.

De quoi parlez-vous ? Me demande-t-elle à son tour.

De quoi je parle ! Non, mais c'est l'hôpital qui se fous de la charité ! Vous osez me demander de quoi je parle ! Vous savez très bien de quoi je parle ! Votre altesse ! Vous m'avez promis de m'aider à partir de votre époque, pas de me piéger dans votre époque !

Je ne vous ai jamais piéger...

Et moi qui croyez que vous étiez de mon côté ! Mais en réalité vous ne penser qu'a vous ! Dis-je tout en levant les bras n'en croyant pas ce qui se passe.

Ma chère Catherine, vous devez apprendre quelque chose de très important, au sein de la cour Impérial, c'est toujours chacun pour soit... M'explique-t-elle tout en s'approchant de moi. Alors je vais répondre à toutes vos questions qui se trotte dans votre tête. Oui, j'ai prévu cela depuis le début, parce que si je veux que ma famille survivent, alors je suis obligée de vous marier à mon fils. Et ceux même si cela doit vous rendre malheureuse !