Beloved Enemy

Chapitre 65 : Yuan Yang révèle tout à son père.

Le président Yuan regarda avec sévérité Yuan Yang « Va manger, nous te rejoindrons. Je dois lui parler d'abord ».

Wu Jinglan hésita puis se retourna et redescendit.

Le poing du Directeur Yuan reposait sur la table. Après la rage, il devait aussi penser à la façon de nettoyer ce désordre. Il n'aurait jamais imaginé qu'un procès économique pourrait impliquer tant de choses .

Maintenant, il lui donnait un mal de tête, c'était n'était pas une question de poursuite, mais de ce tas de photos peu attrayantes !

Yuan Yang prit le mot sur la table, jeta rapidement un coup d'œil, les yeux froids, « Papa, je vais m'en occuper ». Il voulut mettre le mot dans sa poche. Le président Yuan le lui arracha impitoyablement : « Qu'est-ce que tu veux faire ? Tu ne peux pas le tuer. Tant de gens ne peuvent pas l'attraper, tu penses être plus fort que les autres ? Tu as pensé à ta mère ? ».

Le président Yuan était de plus en plus énervé, martelant avec force la table.

Yuan Yang serrait fortement les dents, « Papa, tu ne peux pas me contrôler, je trouverai une solution ».

« Tu vas faire n'importe quoi, si cette photo se répand, on aura perdu la face ». Le président Yuan froissa la note et en fit une boule, « Je vais m'occuper de cette affaire, tu vas appeler Gu Qing Pei et lui dire de venir me voir demain ».

Yuan Yang garda le silence pendant un instant et dit froidement : « Papa, non ».

« Qu'est-ce que tu as dit ? ».

« Tu ne peux pas lui en parler ».

« Je ne lui en parle pas, pour que vous puissiez continuer à vous voir ? ».

Le président était surpris, Soudain, il leva les yeux, « Quand as-tu commencé à te soucier de lui ? Vous n'êtes jamais d'accord. Dis-moi la vérité, pourquoi ton ordinateur était chez lui ? ».

Yuan Yang regarda son père, sans expression : « Papa, j'habite chez lui ».

Cette affaire, tôt ou tard, serait sortie. Il ne voulait plus la cacher. On dit qu'il faut dire les choses une bonne fois pour toute, pour ne plus avoir à s'en inquiéter par la suite.

Le président Yuan écarquilla les yeux, « Répète ça ! ».

Yuan Yang serra les dents : « Nous vivons ensemble ».

La colère du président Yuan monta à l'extrême : « Yuan Yang, je t'ai donné naissance, tu as une dette envers moi, tu me dois tout !!! ». Le président Yuan se leva, « sors d'ici, je vais gérer cette affaire ».

Yuan Yang serra le bureau de toutes ses forces : « Papa, ne le dis pas à Gu Qing Pei ».

« Pourquoi tu répètes ça ? ».

« Ne lui dis pas, il ne sait pas pour la vidéo ».

Le président Yuan ricana : « As-tu peur qu'il te blâme pour ça ? ».

Yuan Yang hésita un instant puis hocha la tête.

Yuan Lijiang le comprit en une demi-seconde, « Tu l'aimes ? ».

Yuan Yang hésita plus longtemps avec cette question. Les yeux de Yuan Lijiang devinrent sombres et complexes : « Sors, je vais m'en occuper, tu n'y arriveras pas, laisse tomber ».

Yuan Yang regarda sérieusement le président Yuan, « Papa, tu dois d'abord me promettre de ne jamais lui dire ».

« J'ai dit sors ».