Beloved Enemy

Chapitre 41 : Ne te retourne pas, tu es suivi.

Gu Qing Pei et Yuan Yang arrivèrent à XX ville jeudi. La ville se trouvait sur la côte, mais elle était économiquement développée avec beaucoup de bâtiments à hauts étages. L'avocat Zhao avait déjà demandé au cabinet d'avocats de la ville de récupérer les invités et de les déposer à l'hôtel.

L'avocat Zhao avait réservé deux chambres pour leur usage personnel et une pour travailler. Les points clés pour promouvoir l'avancement de l'affaire ont été discutés à nouveau, prêts à être présentés par les avocats demain.

À dix heures du soir, M. Zhao mit fin aux travaux.

Yuan Yang n'avait pas l'intention de retourner dans sa chambre, bien sûr, il allait rester dans la chambre de Gu Qing Pei.

Gu Qing Pei avait pris un bain et avait passé du temps à vérifier les documents pertinents sur son ordinateur portable, tout en s'occupant d'autres travaux. Chaque jour, il était très occupé et avait beaucoup de tâches à finir. Bien qu'il avait beaucoup de travail, il aimait vraiment être défié comme ça.

Yuan Yang sortit de la baignoire, juste pour le voir regarder l'ordinateur. Il grogna: « Il est onze heures, tu ne vas pas encore te coucher ? ».

« J'ai encore des choses à terminer ». Les doigts minces de Gu Qing Pei faisaient des petits bruits alors qu'il tapait sur le clavier.

Yuan Yang lui dit : « J'ai pensé un moment, que bien que le vice-président ait accepté de signer, il n'était pas sous la pression du chef du bureau provincial. Je ne crois pas qu'il veuille offenser le bureau provincial et les tribunaux. Donc, je n'étais pas d'accord au début, et maintenant nous sommes sous pression pour l'accord, mais à la fin, il ne signera pas, surtout parce que la signature est particulièrement compliquée ».

Gu Qing Pei fit signe de la tête : « Quand on doit signer quelque chose, ce n'est pas une question mineure. S'il traine avec ça, le verdict ne sera pas prononcé rapidement, et nous ferons face à de grosses pertes. Donc maintenant nous devons trouver un autre haut dirigeant pour continuer à faire pression sur lui pour faire avancer le verdict ».

Yuan Yang grimpa sur le lit et posa sa tête sur les genoux de Gu Qing Pei. « Quand cette affaire sera résolue, j'attendrai mon bonus ».

Gu Qing Pei sourit : « Rappele-toi, je ne te donnerai pas un centime ».

Yuan Yang répondit : « Si tu ne me donnes pas d'argent, je ne peux que continuer à manger ta nourriture ... et dormir chez toi ».

« Discuter avec toi ne sert à rien ».

Yuan Yang accrocha un bras autour du cou de Gu et appuya sa tête vers le bas, déposant un baiser avec ses lèvres.

Gu Qing Pei n'avait pas le temps pour des embrassades, alors après un léger baiser, il s'éloigna après lui avoir tapoté le visage : « Demain, on a beaucoup de choses à faire, va te coucher ».

Yuan Yang s'assit, secoua son grand corps et le regarda : « Tu ne veux pas faire l'amour ? ».

« Putain ! De toutes les choses sur lesquelles tu dois te concentrer, c'est à ça que tu penses ? Il y a encore beaucoup de choses à faire et demain, il y a des choses sérieuses qui nous attendent ».

Yuan Yang se sentit très déçu, et s'endormit finalement, mais il ne put empêcher ses membres de harceler Gu et ils finirent par « le faire » de toute façon. Après ça, Gu Qing Pei s'endormit sans avoir fini le travail qu'il avait prévu de faire.

Le lendemain matin, à 10 heures, ils rencontrèrent le chef du bureau provincial dans un café chic et examinèrent l'affaire de près. La situation leur semblait bonne et les perspectives étaient optimistes.