A.I.S : Agence des interventions spéciales

Le casse

Thomas ferma la porte d'entrée.

-Bon au moins la porte se ferme. Dit-il, exaspéré par la situation.

Mais sa satisfaction fut stoppée par la porte s'effondrant vers l'extérieur.

-Oh, merde... Alex va porter Ali chez lui, moi, je vais essayer de nous trouver un nouvel appart temporaire.

-Ehh... Parlant de ça...

-C'est pas un ami de l'école, c'est ça? Bon la va falloir que tu m'expliques si tu veux qu'il reste.

-Je l'ai sauvé, on a parlé et on est devenu amis, mais il n'a pas de ''Chez lui'' donc il peut rester?

Ali se tenait silencieusement en espérant que Thomas accepte.

-Sauvé de quoi?

-Une attaque terroriste...

-Quoi?! Le restaurant Vilgan ou quelque chose comme ça?

-Oui.

Les deux jeunes le regardaient attentivement.

-Wow ok, il peut rester, mais ne me dérangez pas, j'ai autre chose à faire. Demain, tu m'expliques Hein?

Il partit vers son bureau et on entendit un petit cri de désespoir suivit d'un ''C'était toute ma vie cet ordi... ''.

-Bon, je crois qu'il est temps de descendre. Dit Alex.

Les deux descendirent  au sous-sol.

Alex se rendit vers son atelier.

-Ali, tu peux me laisser seul une minute?

-Euh, oui d'accords.

1 h 47 minutes plus tard...

-OUI! Voilà ! Ça marche! Eh bien, ça va marcher... S'écria Alex.

-De quoi tu parles? Ça fait presque deux heures que j'attends!! Lui cria Ali.

-Viens!

Ali rentra dans l'atelier et vit un mur rempli de note toutes liées entre elles.

-Mais c'est quoi ça? Dit Ali.

-Le plan.

-Le plan de quoi?

-Du casse.

-Ok... j'ai besoin de prendre l'air.

Ali monta les escaliers suivit par Alex.

Ils sortirent dehors.

-Un casse, mais t'es sérieux, je pensais que tu délirais, tu veux vraiment le faire?

-Si ça peut me permettre de devenir agent, oui.

-Oh merde, Ok d'accords... Son regard fut pris part trois motards blessé roulant à toute vitesse.

Ils dérapèrent et tombèrent sur le sol.

Alex vit leur blouson, ils étaient d'un gang très reconnu pour avoir fait beaucoup de braquage. Ensuite, il regarda si son oncle était parti.

Sa voiture n'était plus là.

-Ali, on va les aider, dit-il.

-Quoi, mais tu veux qu'on héberge trois motards?

-Oui.

Ali commençait à être désespéré par la situation.

Ils rentrèrent les trois motards et les couchèrent dans l'atelier sur des petits matelas.

Ali les regarda.

-On fait quoi maintenant? Dit-il.

-Je sais pas, dit Alex, la voix tremblante.