La Rose du Cheikh

10.

1O.

- Mais majesté , vous ne pouvez pas le faire ! Essaya Galbe de convaincre le roi de laisser ce gens en paix.

Mais en vain , Adel est déterminé à mettre fin à cette "supercherie" comme le disait-il. Mais quelle supercherie ? Aucune idée , seul lui voyait le mal. Pour les autres c'est-à-dire ces conseillers tout cela était une bonne idée , une idée qui normalement devait avoir leur roi , hélas Adel n'avait sûrement pas hérité de l'intelligence qu'avait son paternel , dommage.

Une fois arrivé à destination , le chauffeur gara le véhicule près de l'entrée et fit signe à Adel qu'ils sont arrivés à destination.

Adel ne perdit pas son temps et sortit immédiatement du véhicule.

Toute personne qu'il croisait sur son passage baisser soit la tête en signe de salutation ou soit fuyait à la seconde ou leur regard croisait le corps ou les gardes du corps de leur roi , certains mêmes n'avaient pas besoin de voir le roi pour fuir , ils le faisaient en voyant des personnes courire pour se cacher derrière des arbres ou derrière de gros rochers , c'était la peur pour tout le monde.

On pouvait lire de la peur , l'incompréhension , la haine , la curiosité  car , oui parmi eux d'autres n'avaient encore jamais eu l'occasion de voir le roi en chaire et en os , surtout pour les femmes , elles faisaient plutôt recours à des magazines sur lesquelles on pouvait voir le roi en costumes ou en vêtements traditionnels , toujours le visage serré et le regard sévère. Malgré ça , elles le trouvaient beau et "sexy".

- Puis-je savoir ce qu'il se passe ici ?

Dit une voix derrière le roi , il tourna à la vitesse de l'air sa tête vert cette voix qui le fit frissonné.

Derrière lui se trouvait une femme magnifique de petite taille , les mains sur ces hanches et les sourcils fonçait  , elle était tellement belle dans sa petite tenue de docteur que Adel mit du temps pour réalisé dans quelle situation il se trouvait  et pourquoi il était là et lâcha sans le savoir l'homme qu'il tenait dans ces mains.

Son regard changea du tout au tout et il eut du mal à se contrôler quand la femme en face de lui marcha vert lui sans une pointe d'hésitation. 

Une fois arrivée à sa hauteur , il eut du mal à garder son sérieux car la femme en face de lui ressembler beaucoup plus à un fourmi qu'à un être humain avec sa petite taille.

Adel prit un malin plaisir en la détaillant de sa petite tête à ces petits poids.

La petite veut jouée, alors on va joué , se dit-il en souriant interieurement.

- Qui êtes-vous ? Demanda-t-il de sa voix grave et dure.

Il la sentit frissonné légèrement et fut satisfait de voir de la peur dans son regard.

[…]