Chapitre 10

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Euronymous

Quand Hela nous a annoncé qu'elle devait repartir le l'en demain j'ai était dégoûté, je n'en avais pas eu assez d'elle, je voulais encore profiter de sa présence même si je compte bien faire en sorte que l'on se voit le plus possible. Et le moins que l'on puisse dire c'est que la raison pour laquelle elle part me met dans une colère noir. Qu'est-ce que c'est enfoiré lui veulent, ils sont de la pire espèce c'est connard. Je comprend le fait qu'elle veulent repartir le plus tôt possible ces sœur sont en danger je serais dans le même état d'esprit qu'elle a sa place. Mais le fais qu'elle ne veulent pas que l'on devienne allié pour le moment m'énerve d'autant plus. La décision de partir avec elle a était prise sur un coup de tête, j'en est même pas parler a mes frères. Se que j'ai rectifié lors de la messe. Ils sont acceptés sans rechigner et on même était content si je puis dire « plus d'une cinquantaine de nana habiller en cuire, avec des flingue et des motos, putain carrément que je suis partant « avais dit Gun se qui ne ma pas étonné du tout de sa part.

L'interrogatoire des prisonnier c'est plutôt bien passer, j'étais admiratif de la maîtrise qu'avait Hela lorsqu'elle torturé se mec. Pas une seule émotion ne passer sur son visage elle et rester maître d'elle-même. Elle n'a même pas eu besoin de les torturé tout les trois pour avoir des réponses. Se qui ma choquer c'est quand elle a parler de s'en prendre a la femme et la filles, se n'est pas du tout notre façon de faire et je c'est pas si elle l'aurais fait mais le moins que l'on puisse dire c'est que sa a était efficace, il n'aura pas tarder a parler après sa. Le soucis c'est qu'elle ma grave excité a la voir comme sa j'ai eu la gaule tout du long, oui je c'est, sa fais gros psychopathe mais bon elle m'excite tellement peut importe se qu'elle fais. Elle aura ma peau un jour. Les deux prisonnier qui restait on pu servir aux frères pour qu'il se défoule jusqu'à se que mort s'ensuivent.

Hier soir nous somme aller nous couche chacun de notre côté, Hela a tenu a aller dans une autre chambre sous prétexte qu'on aurait pas pu s'empêcher de baiser. J'ai fais la moue mais elle avais raison évidement. Alors comme un adolescents près pubaire, j'ai du mastiquer le manche pour pouvoir réussir a dormir chose qui ne m'était pas arriver depuis des années.

En me levant se matin je suis de mauvaise humeur et frustré. La branlette m'a peut-être soulager sur le coup mais na pas diminuer mon excitations pour autant, du coup j'ai très mal dormi. Personne n'est encore levé alors je décide d'aller a la chambre d'Hela pour la réveiller de la meilleure des façons. J'ouvre la porte délicatement et me faufile jusqu'à elle tout en me déshabillant . Une chance pour moi elle dort avec seulement un tanga, la voir ainsi ne fais qu'augmenter plus encore mon envie d'elle et ma queue et plus dur encore. Je pose un genoux sur le lit attrape les côtés de sont tanga que je fais glisser le long de ces jambes jusqu'à l'enlever complètement. Je lui écarte doucement les cuisses pour avoir une belle vue sur sa chatte puis pose ma bouche et commence à la léchée. Au premier coup de langue je l'entend soupirer de bien être, puis sa main vient se perdre dans mes cheveux. Je continu de la laper appréciant le goût savoureux qu'elle a, je la sent commencer a remué le bassin pour accentué la caresse de ma langue sur son bouton de plaisir. Je la regarde ouvrir les yeux et se cambrai tout en accrochant sa main a mes cheveux qu'elle tire sous le plaisir que je lui procure. Elle baisse le regard vers moi et me regarde avec un regard fiévreux qui pourrait me faire venir sur le champ. Je la pénètre d'un doigt puis d'un deuxième en continuant toujours se que je suis entrain de faire. Apres quelques va et vient elle explose sous l'orgasme, alors je me redresse, remonte vers elle pour m'emparer de sa bouche et la pénétré d'un coup de rein puissant. Elle pousse un gémissement puissant alors que je grogne sous le plaisir que je ressent. Je bouge en elle avec des coup de rein sec et brutale a telle point que je sent mes couilles claqué contre ces fesses. Ces gémissement me pousse a accélérer mes mouvement jusqu'à la libération, je suis pris de spasme au moment ou sa chatte se sert au tour de ma bite et sa bouche cris mon nom. Je retombe sur elle complètement essoufflé.

A la vie, A la mort.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant