Levi x reader

7.

Après un bon nombre d'absence en cours, je rejoins ma classe qui est simplement un recueil de gros imbecile, je leur souris de toutes mes dents avant de m'assoir dans un gros fracas à ma place qui n'est jamais fixe grâce à leur estime pour moi.

La journée passe plutôt rapidement j'ai énormément pensée à ce professeur vachement intriguant, la tâche pour l'oublier va être plus dur que je ne le croyais. Je marche dans les couloirs pour rejoindre mon petit endroit rien qu'à moi, comme à toutes les pauses, mais je percute quelqu'un.
C'est pas vrai ils peuvent pas regarder où ils vont ?
Je ne m'excuse pas et poursuis mon chemin, mais je sens qu'on m'attrape le poignet pour m'empêcher d'avancer.

.... : Tu pourrais t'excuser, ta bousculée ma copine là.

Je relève les yeux, les sourcils froncés, non mais sérieux il se prend pour qui ? Avec sa copine plate comme mes cahiers.

Tpn : Je suppose que ta copine a des yeux, donc elle m'a vue, mais après si elle ne m'a pas vue, cela expliquerai le fait que tu sois son copain.

Dis-je suivis d'un sourire bien insolent comme je les aime.

... : Espèce de salope !

Dit sa copine avant que lui ne m'attrape par le cou, et le serre très fort. Je pose mes mains sur son bras et tente désespérément de... bah... rien.... je suis impuissante encore une fois.

... : Excuse toi ! Maintenant !

Je peine à respirer... et il le remarque alors il me lâche brusquement, ainsi je suis destinée à terminer au sol, où à présent il m'avalanche de coup de pied, dans le ventre, dans le dos, les jambes. J'ai l'impression qu'il n'a plus de limite.
Mais c'est vraiment ce que je mérite pour l'avoir touchée du bout de mon épaule ? Suis-je la peste en personne ? Non. Absolument pas.

Tpn : T'es vraiment un trou du cul..
... : Je vais la buter cette sale garce. Tu peux pas la fermer ?

Dit-il en mettant plus de force dans ses coups. Vas-y frappe moi... je ne suis plus à ça près aujourd'hui.

... : Laisse la ça suffit.

Dit sa copine l'éloignant de moi, aurait-elle retrouvée la raison ? Serait-elle rendu compte de ce qu'ils sont entrain de faire ?

Tpn : Frappe moi vas-y ! Te prive pas ! T'es une grosse merde et pire que ça tu passes à tabac une personne encore plus minable que toi ! Qui a subit des choses horrible ! Alors tu penses que c'est tes coups qui vont la traumatisée ? Pauvre ignorant..

Dis-je limite en m'égosillant la voix, les larmes qui perlent de mes yeux, tandis qu'eux, s'éloignent, me méprisant du regard. Moi ? je suis la.. gisant au sol, me demandant pourquoi j'ai affaire à des minable comme eux. Je me résigne à me relever mais c'est plutôt difficile j'ai mal aux côtes, je marche dans les couloirs t'elle une épave ambulante. Mes vêtements dans un état pitoyable, un corps pitoyable, une attitude pitoyable. Je suis la représentation même de ce mot aujourd'hui.
Comment une jeune fille comme moi pourrait intéressée un professeur raffiné, bien élevé, bien bâtit, sans oubliée avec une situation stable ?

Mais d'abord pourquoi je me pose cette question ? Ça fait un moment que j'ai fait la rencontre de cet homme qui hante mes pensées nuit, comme jour. Et je suis passée de « ça m'importe peu » à des questions qui fusent dans mon crâne. Cette devise m'allait pourtant tellement bien. De toute façon,
elle restera t'elle qu'elle, jusqu'à le restant de mes jours, car c'est à cause d'abrutis comme ce mec qui vient de me tabassée pour une raison pas très formel, que j'agis de cette manière. Mon caractère s'est créer à cause des autres. Et je les hais pour ça.