6.

3K 115 67
                                    

3 semaines se sont écoulées après qu'on est abusé de moi dans une salle de classe. Je me sens capable de raconter au directeur toutes les atrocités que ma fait endurer son employé, j'espère simplement qu'il n'est pas trop tard et qu'il s'en rappel encore. Mais j'ai appris que le prof qui est à l'origine de toutes cette histoire c'est fait renvoyer on attend un remplaçant à l'heure actuelle, il ne devrait pas tarder.

Bien je finis de me préparer, je me coiffe, déjeune, puis part direction mon lycée pour une énièmes journée sans amies ou sans une simple compagnie.
Après ça m'importe peu mais j'avouerai que j'éprouve quelque ardeurs quand j'aperçois les autres entourés par leurs potes.

Je suis arrivée, je toque à la porte du bureau du directeur et rentre après avoir entendu son « entrée ».

Tpn : Bonjour.
Directeur : Bonjour, c'est pour quoi ?
Tpn : Je viens pour vous raconter ce qui c'est passer dans la salle de classe avec mon professeur de français.
Directeur : Ah oui ! Installez vous je vous prie.
Tpn : D'accord.

Il me montre du doigt une chaise devant son bureau sur laquelle je m'assoie. Je vois qu'il ne me lâche pas du regard en signe de « vous pouvez commencez » seulement mes mots ne sortent pas ! Je pensais pourtant en être capable.. Fait chier. Je prend plusieurs et profondes respirations pour me libérer de mon stresse. Et franchement ça fonctionne, je me sens tout de suite beaucoup plus détendue.

Directeur : Ne vous mettez pas la pression.
Tpn : Bien alors.....

Et je commence mon récit qui on pourrait croire sort d'une fiction.

Tpn : Suite aux faites que je n'avais pas préparer mon oral blanc je suis rester à la fin de l'heure pour négocier avec lui, seulement les choses ont dérapait. J'ai délibérément déboutonnée quelques boutons de mon chemisier pour que mon discours soit plus.. comment dire... persuasif... Mais je n'aurais jamais cru que ça le rendrais dans cet état. Je ne veux pas me faire passer pour la victime dans cette affaire car j'ai énormément commis d'erreur j'en suis consciente et je le regrette.
Directeur : Poursuivez je vous prie.
Tpn : Il ne m'a pas laissée le temps d'assimiler les choses que j'étais déjà plaquée contre son corps, il m'a embrasser de force... et-

Non..... arh ça me dégoûte déjà de prononcer la suite, je ne veux pas le dire, ai-je vraiment étais aussi loin pour une futilité pareil ? Eh bien... on en reviendras toujours au même point. Je ne suis clairement pas prête.

Directeur : Qu'est-ce qui ce passe ?
Tpn : J'ai du mal à vous raconter la suite. Veuillez m'excusez.
Directeur : Il n'y a pas de mal, prenez votre temps.

Prenez votre temps.... prenez votre temps..... Cette phrase je l'est déjà entendu... d'une si belle voix en plus, mais oui ! C'est ce beau professeur qu'il me l'avait dite. D'ailleurs je me demande ce qu'il fait, si il aurait était à mes côtés je-
NON!
Je pensais que j'avais régler ce problème, que j'avais écarter ces maudit « sentiments ». Pourquoi faut-il que sa soit si compliqué hein ?
Je serre mon pantalon de toute mes forces, mes pieds gigotent dans tout les sens.
Bien.
J'ai bientôt fini.
Après ça ce sera de l'histoire ancienne.

Tpn : Après m'avoir embrasser, il m'a, il m'a....

Je pleure littéralement devant mon directeur. Bien la dignité après ça ! J'aperçois malgré la difficulté d'ouvrir les yeux qu'il a une expression de peine, il a l'air impuissant face à mes dires. Faut que je me ressaisisse pour en finir au plus vite, au pire je terminerai de pleurer au toilette mais faut que je me bouge quoi.

Levi x readerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant