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Pendant les grandes vacances j'ai perdu ma virginité. Avec mes parents nous sommes partie trois semaines au bord de mer. Là-bas, j'ai rencontré Timmy. Timmy était cool. Il était bronzé, avait des cheveux noirs comme un loup et ses yeux marron était de la même couleur que la glace au chocolat qu'il m'avait un jour acheté. On s'ennuyait parfois, mais ce n'était jamais dérangeant. La plupart du temps, on restait allonger dans le sable, à bronzer sous la chaleur du soleil. Je l'aimais bien et il avait toujours cette attitude qui disait « je m'en fou ». Il était beaucoup plus grand que moi, la moitié d'une tête et quand on s'embrassait, j'étais obligé de me mettre sur la pointe des pieds.

Quand on parlait, ce n'était jamais longtemps. Il n'était pas très bavard. Je me souviens lui avoir demandé combien de temps il comptait rester et il m'a répondu :

- Mes parents ont acheté une maison ici, on vient à chaque vacance et pendant toutes les vacances.

Je lui ai dit que c'était pas de chance pour lui car un jour il m'avait confier qu'il détestait se baignée. Il trouvait la mer sale. Un jour je lui avais proposer d'aller se baigner ensemble et il m'avait dit, je crois « dans tes rêves ». En fait non, sa réponse était plutôt dans le style de « dit pas d'la merde ». Ça ne m'avait pas vexé, j'adorais sa façon de s'exprimer. Il parlait franchement et ses mots vulgaires impactait beaucoup plus.

Je l'admirais et comme cadeaux d'adieu, la veuille de mon départ, il m'a proposé de me dépuceler. Enfin, dit comme ça, ça parait bizarre mais c'était beaucoup mieux dit. Je vous l'ai dit, ses mots étaient parfaits dans sa bouche, il parlait si bien en employant un vocabulaire mal. On était devenu amis et on s'était mis d'accords pour le faire pour tenter. On était tous les deux vierges. On n'aurait pas dit, car il était vraiment beau, athlétique et était sûr de lui. On préférait le faire entre nous et de rater plutôt que de le faire avec quelqu'un d'autre qu'on aimait beaucoup et qu'on rate et qu'ensuite il nous largue. Je me suis dit tout de suite que c'était con. Aucun de nous n'avait d'expérience dans ce domaine et puis je me suis laisser convaincre.

Il m'a emmené dans sa maison de vacances, ses parents étaient partis visiter un musée et les miens fessaient probablement la sieste. Ils savaient que j'étaient avec lui. Je suis allé dans sa chambre. C'était une vraie chambre de garçon. La chambre typique avec les murs bleus foncés, le lit à une place collé contre le mur, des poster de moto, un bureau nickel plus un tapis gris. On savait tous les deux quoi faire et pourtant on plongeait dans l'inconnus. J'ai commencé à enlever mon t-shirt. Lui n'avait pas besoin puisqu'il était déjà torse nu. Il n'y avait pas de gêne, on était tous les deux aux mêmes niveau, nous n'avions pas le droit de juger l'autre.

Ensuite, nous avons continué à nous déshabillé. J'ai enlevé mon short et mes sous-vêtements. Il a retiré son short et son sous-vêtement. C'était bizarre, je ne savais pas quoi faire alors je me suis allongé sur son lit. Il n'y avait pas d'excitation. A plat, ma poitrine c'était aplati, mon ventre aussi, ça sonnait comme si je n'avais aucune forme. Il a commencé à m'embrasser, ça je l'avais déjà fait, donc ça c'est bien passer. J'appréhendait un peu la suite mais tout allait très bien. Il m'a embrasé la mâchoire, dans le cou, sur le haut de la poitrine et a pris un sein dans sa main et la caresser. Une chaleur inattendu est apparu sous forme de boule de feu dans mon ventre. Dans mon bas ventre. Avec son doigt, il faisait le contour de mon téton. Celui-ci avait durcit tout d'un coup. Puis il a passé sa langue dessus et a englouti mon autre sein, le gauche. Déjà à ce moment, je me sentais chaude, brulante. Ses mains frôlaient mes hanches, elles descendaient, elles remontaient, elles descendaient, elles remontaient. J'aurais pu gémir tellement j'aimais la sensation de sa langue me toucher mais j'ai retenu ma voix. Il a déposé une pluie de baisers jusqu'au bas de mon ventre.

Ce n'était pas toujours parfait. Des fois, on disait : « non, arête j'aime pas ». J'ai ajouté un autre non quand il m'a embrasé sur le visage, je n'aimais pas trop ça et je poussais des « oui, continues » quand il s'occupais de mes seins. Lui, il n'aimait pas que j'embrase ses épaules et aimait beaucoup l'effet que je lui faisais quand mes mains glissaient lentement de son torse jusqu'aux commencement de son entre-jambes. Sa queue était moyenne, enfin, je pense, c'était la première que je voyais. Elle était gonflée, rougeâtre et redressé. En fait, cette première fois était plutôt communicative. On parlait pour connaitre l'avis de l'autre. On se laissait faire et c'était vraiment beau.

J'avais les jambes écarter et plier, il était entre. Il a approché sa main et à caresser mon intimité. Quelques secondes puis quelques minutes. A ce qu'il parait ma chatte se dilatait. Et ses doigts entraient de plus en plus profondément, de plus en plus, et de plus en plus vite. Je savais que du liquide coulait, ses doigts en moi m'excitaient à tel point que j'ai finalement gémit. C'était vraiment bien. Il a arrêté et j'ai redresser la tête pour voir ce qu'il prévoyait de faire. Il a pris en mains sa queue mais avant qu'il fasse quoi que ce soit, je l'ai arrêté.

- Tu peux mettre un préservatif ? Je lui avais demandé.

Il sait que je prends la pilule. Et moi, je sais que le préservatif ne sert à rien si je prends la pilule mais j'avais besoin d'être sure. Avoir deux protection me rassurerais.

- Si tu veux.

C'est ce que j'aimais le plus chez lui. Timmy était vraiment sympa avec moi. Et son mode de vie « je m'en fou » m'aidait vraiment à me sentir bien. Et il s'en fichait de mettre ou non un préservatif. Il s'en fichait. Et je le remerciais pour ça. Il était parti récupéré un petit sachet carré de la poche de son short, l'avait déchiré et avait enfilé le préservatif sur sa queue. Le voir faire me donnais encore plus envie.

Après il a repris en main son intimité, l'a placé en face du mien, et l'a rentré. Immédiatement, les larmes sont venues. J'ai eu mal. Tellement mal. J'avais l'impression de me déchiré – c'était probablement le cas. C'était comme un mal de crane mais dans l'entre-jambe. Je crois même que quelques gouttes de sang ont coulé au détriment de mes larmes. J'ai voulu tout arrêter, lui crier de dégager. J'avais fermé fort les yeux pour tenter de faire disparaitre la douleur. Quand la douleur s'était estompé, il a bougé, une petite douleur est revenue. A chaque nouveau coup, elle apparaissait mais à chaque fois avec moins d'intensité. Au bout d'un moment, je ne ressentais que du plaisir. Il ne restait que ça. Je lâchais de petit couinement, il laissait des râles. Quelques temps après, je n'en pouvais plus, je le sentais encore remuer en moi. Finalement, il s'est retirer. Et la sensation d'avoir toujours quelques choses en moi restait présente. Encore un moment. Un long moment.

Plusieurs jours j'ai eu mal. Alors quand quelqu'un vous dit que sa première fois était magique, il vous ment. Peut-être que le moment était bien, car on rigole des gestes timides de l'autre, la sensation du plaisir est vraiment excellente et que voir l'autre nu est très plaisant mais c'est nulle. Parfois raté. Certaines filles ont plus mal que d'autre, mais la première baise n'est jamais excellente. Surtout comparer au prochaine.

Mes amoursOù les histoires vivent. Découvrez maintenant