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Avec un gars, Lucien, on voulait le faire. On était chaud pour ça. On s'était chauffé et puis on avait envie de l'autre et on avait tout fait pour que l'autre ait envie de l'autre. C'était plutôt bien partit. La passion me consumait le cœur et le désir me brulait le bas ventre. Et lui, je sais pas si ça lui picotait aussi le cœur mais en revanche, je sais qu'il était excité par mes mains ou peut-être mon cul que je m'amusait remuer contre lui mais sa bite était redressé. Alors que j'ai voulu me débarrasser de mon short, je me suis rappelée que j'avais mes règles.

- Arrête-toi, je peux pas, j'ai mes règles, j'avais annoncé.

- Merde. Il avait dit déçut.

On avait tous les deux arrêté nos gestes et on s'était assis sur son lit. A travers la fenêtre de sa chambre, j'avais la vue sur un majestueux arbres. Il avait de belles feuilles vertes et un tronc énorme. Quand il m'a emmené chez lui, j'ai pu admirer ses incalculables racines enfoncé bien profondément dans le sol. J'avais aucune idée de pourquoi cet arbre avait autant mon attention mais je l'aimais bien. C'était un arbre simple qu'on avait laissé pousser là dans son jardin pendant plusieurs décennies et maintenant il était toujours là dans le jardin, vieux et majestueux. Il était impressionnant car il avait grandi. Il n'a rien dû faire d'autre de spéciale. Et j'aimais bien ça. Savoir qu'il était élégant seulement parce que personne ne l'avait coupé avant me donnait des battements de cœur plus secoué.

- Ça m'dérange pas. Il avait lâché en de bout en blanc.

Je l'ai regardé, j'étais vraiment proche de lui. Je voyais les imperfections de son visage. Il n'était pas lisse, il comportait en plus quelques boutons d'acnés. Son nez était légèrement bossu. Malgré tout, je le trouvais beau. Non, je ne le trouvais pas. Il était beau. Et il m'avait choisi, moi, pour aller dans son lit, pour baiser, moi, alors que j'avais également des defaults sur le visage. Et en plus, il acceptait de baiser alors que du sang coulait de mon vagin. Je n'étais pas vraiment amoureuse de lui. Lui non plus, d'ailleurs. On s'était juste bien entendu et on avait voulu sortir ensemble car ça matchait bien. On s'inventait des sentiments ou alors on s'avait qu'on les avait pas mais ça nous plaisait. Ça nous rendait plus normaux et nous donnait une bonne raison de baiser (ensemble).

Quand je l'ai regardé, je l'ai admiré. Cet homme gentleman avec moi. Cet homme aux doigts délicats. Et je pense qu'une étoile est né dans le ciel ou qu'un lien doré nous a uni à ce moment. Le moment était trop beau. C'était le bon. Avec nos côtés laids, avec nos côtés « sentimentales » et avec le fait qu'on ne pouvait pas baiser (ensemble), on restait ensemble. Je l'ai aimé au moins en une infime quantité mais cette émotion qui m'a submergé ce moment-là, a été fort, comme une secousse, une nouvelle aire dans mes poumons, une nouvelle odeur d'oxygène dans mon cerveau. L'alchimie s'est créé. Et on a continué à se dévoiler, à montrer notre amour. Il m'avait faite de belles chose cette après-midi-là.

- T'es belle quand t'es excitée !

Ensuite, j'ai ressenti comme un blocage. Il était vraiment gentil. Et je me voyais pas baiser alors que j'avais mes règles. J'ai lu quelques parts que quand on a mal avec nos règles c'est parce qu'on ressent comme des contractions. Et que quand on baise, notre ventre est totalement détendu. Et que quand on baise alors qu'on a ses règles, ça peut être bénéfique et faire diminuer - voir faire disparaitre - la douleur. C'est dommage que j'ai pas voulu tenté, je suis resté immobile, figé dans mon horrible monde au vision tout aussi horrible. Je me suis perdu dans ce chemin fluide et qui pulse à fond.

Il me permettait de salir ses draps, de salir sa bite et ça me fessait chaud au cœur. Mais soyons claire, le sang ça sèche et c'est une galère à faire partir. J'ai laver beaucoup de draps, de vêtements et même mon corps pour le savoir. Sa queue aurait été pétrifié par du sang marron séché, il devra frotter jusqu'à ce qu'il ne reste plus aucune trace, enlever le rouge sang jusqu'à ce que sa bite devienne rouge d'irritation. Ça serait pas jolie à voir et pour lui difficile. Je le voyais très mal sous la douche, fessant tout pour nettoyer sa teub, frottant avec ses doigts cette bite qui en a assez. Je le voyais plutôt se masturber sous la douche, passant et repassant ses doigts sur cette queue qui a envie de passer la porte de ma chatte à ce moment.

- Putain, non attends.

- Quoi ?

- On peut pas.

J'avais juste répondu ça.

- Ok.

Il a juste répondu comme ça. Il y avait aucun problème. J'étais allongée sur le lit, mes cheveux châtains en forme de soleil de part et d'autre de ma tête. Lui, était au-dessus de moi, ses mains étaient sur mes hanches et sa tête proche de mn entre-jambes. Il est revenu, ses iris était bien illustré, les détails était éblouissant et il m'a embrassé le bout du nez avant de se laisser tomber sur le côté. Il me regardait, entortillait son doit fin autour d'une de mes mèches, ses boucles brunes lui tombaient à la figure. Je sais pas comment il a fait. Il avait une bite excitée et après un simple « non », il a laissé tomber. Elle était encore raide, ça ne le démangeait pas ? Et j'ai su. Il se retenait, pour moi. Il n'allait pas finir le travail en se branlant sous mes yeux parce qu'on fessait les choses ensemble. J'ai compris une chose fondamentale ce jour-ci.

- Merde... tu veux que je te suce ?

- Ouais. Il avait répondu heureux, le sourire jusqu'aux oreille, l'aire admirative.

Il s'est allongé, totalement nu, sa tête reposait sur plusieurs oreillers qui le redressait. Sous ses magnifiques yeux verts je me suis mise au boulot. Je lui ai transmis toute la poussière magique que mon ventre contenait. Je mettais sa bite dans ma gorge aussi loin que je le pouvais. Je respirais rapidement, sa respiration était saccadée. Il fermait parfois ses yeux, ouvrait la bouche pour soufflé et il était surpris à chaque fois qu'il gémissait. Un gémissement, un coup de langue sur le bout de sa bite. Un souffle de plaisir, ma bouche s'avance. Je fessais les choses rapidement. J'aimais le voir dans cette position. Nous étions en parfaite collision, ensemble. J'avais sa bite dans ma bouche, je la léchais, l'aspirais, la gobais. Je l'ai sucé le mieux possible.

- J'vais éjaculer. Il avait lâcher dans une crispation.

Je voulais pas l'avaler, je l'avais jamais fait auparavant, je me suis donc retiré. A temps. Il a éjaculé fort. Son sperme s'est enfuit jusqu'à mon visage. J'en avait partout. Après la première sortit, une deuxième dose a giclé et une autre était sorti de sa queue qui commençait déjà à ramollir. Il y avait des mouchoirs sur sa table de nuit, j'en ai pris et me suis nettoyé le vissage avec. Un sentiment de fierté m'avait attrapé et tenait mon cœur en cage.

Ensemble, nous fessions battre l'amour. Un cœur, deux tuyaux, une véritable ambition.

Je suis rentré chez moi après lui avoir fait cette pipe. Et je lui en ai fait d'autres, d'autres jours.

Mes amoursOù les histoires vivent. Découvrez maintenant