Je bougeais sur sa bite. Ses yeux étaient rivés sur mes seins qui se balançaient dans tous les sens. La fraicheur de ses doigts posés sur mes fesses me glaçait le dos et cette sensation rentrait en collision avec la température brulante du reste de mon corps, me fessant vriller, perdre la notion du temps et espérer avoir plus froid pour avoir plus chaud et perdre sous l'assaut de toutes ses sensations. J'ondulais sur sa bite sensuellement, les cheveux en pétards qui commençais à devenir humide. Mes lèvres devenaient sèches et j'avais tellement envie de toucher de la froideur, sa peau peut-être ou ses lèvres. En pensant au contact de sa langue sur mon corps, je me suis humidifié les lèvres puis j'ai passées ma main sur les miennes. Ses cuise étaient dur, comme sa queue. Il m'a empoignée fort les fesses et mon gémissement d'aise fessait écho à ses râles de plaisir.
Mes yeux se fermaient de fatigues. Je remontais mon corps tellement haut et vite que sa bite s'est échappé de ma chatte et est passé derrière mon dos. Je me suis rassise devant sa bite, emmêlant ses poiles aux miens. Le sang pulsait dans mes oreilles me mettant en transe. J'étais épuisé. Mes épaules brillaient, mon cou paraissait plus lisse et mon ventre se tordait. Je me suis allongé en basculant mon corps en arrière. Pour pas écraser sa bite, je suis passé par-dessus, elle me collait la chatte du coup. J'ai été prise par des spasmes de plaisir. Les jambes écarter, les jambes tendues, j'ai pris sa bite pour la branler. Je le fessais machinalement. Mes pensées bercées par son souffle saccadé. Après, j'ai frotté ma chatte à la barre de sa bite puis j'ai tourné la tête et je l'ai regardé.
Le regard dans le vague, j'ai eu une idée. J'ai empoigné sa bite et je l'ai enfoncée dans mon cul. Et dans la position de l'araignée, maintenue sur mes coudes, je baissais mes fesses puis les relevais. Ça fessait du bien. Il a été emballé par l'idée. Il m'a demandé de me doigter. Je l'ai fait. J'ai commencé par caresser mes lèvres puis à malaxer mon clitoris. Ma tête a basculé sur le côté, pendant que mes doigts se fessaient plus insistant. J'ai callé mon rythme sur celui de ces vas et viens dans mon cul. Je passais mon indexe sur la ligne qui ouvraient en deux ma chatte. Petit à petit, et sous l'excitation, je pénétrais à l'intérieur. C'était la moiteur que je sentais sous mon doigt. J'ai plongé mon regard dans le sien et j'y ai vu l'excitation incarné. Quand je me suis inséré un deuxième dans ma chatte, j'ai arrêté de tracer une ligne droite, je me suis contenté d'enfoncer loin mes doigts et de les ressortir jusqu'à mes ongles.
- Qu'est-ce que t'es sexy comme pute !
Ses coups de bite m'agitaient tellement que je n'avais pas besoin de bouger les doigts, mon basin remontait puis descendait automatiquement. Certains de ces coups de butoir me coupais la respiration. J'ai enfourné toute ma main tellement j'étais mouillé, ouverte, excité.
- Putain, te niquer est tellement bon !
Il m'observait me masturber et devait voir à quel point mon clito était gonflé. J'imagine que la vue était bonne puisque ses pupilles étaient dilatés au maximum, fessant disparaitre complétement la couleur bleue de ses iris et qu'il a ensuite accéléré ses mouvements. Les sensations étaient dingues !
- Cris mon nom !
Mes gémissements devenaient rapides.
- Henry.
Je me suis mordu la lèvre pour maitriser ma voix.
- Encore !
Le bruit de nos deux peaux qui claquait me plaisait. Ses coups de hanches étaient de plus en plus violent sous l'impatience.
- Hen-Henry...
- Crie-le !!
- HENRY.
L'excitation était à son apogée.
Après quelques minutes, du liquide blanc et épais sortait de ma chatte et collait mes doigts. La mouille dégoulinait et sortaient. Je continuais toujours mes mouvements et criais de plus en plus. Des bruits visqueux s'échappait de ma chatte. Ses yeux étaient animés d'une lueur enflammée.
- Obéissante chienne !
Il a éjaculé dans mon cul, son sperme descendait mes fesses. Pour pas tacher les draps, je me suis mis sur le ventre. J'ai trempé le lit avec ma mouille. La sensation de sa bite un peu plus tôt, plus mon jus, plus le tissu fin qui me collait à la peau, en y ajoutant le baiser déposé sur ma fesse ainsi que le doigt inséré dans mon cul, m'a fait exploser, gémir et me déhancher pour la toute dernière fois. Giclé ma soulagé.
*
Ce que je ne savais pas, c'est qu'il avait filmé toute la scène. Son téléphone filmait la scène de son bureau. L'air de rien. L'air asphyxiante. L'aire qui te chuchote à l'oreille : tu viens de te faire niquer et tu le payeras toute ta vie. Je l'ai su quand j'ai reçu pleins de messages comme cela :
- Je savais pas que t'étais aussi chaude !!
- Tu veux baiser avec moi ? Je te garantis que tu le regretteras pas !
- J'ai bandé en te voyant te doigter.
- Je savais que t'était qu'une salope.
- Tu prends combien ??
Il a posté la vidéo sur tous les réseaux, l'a envoyé à tous ses potes. Voilà comment une vidéo de moi en train de baiser s'est retrouvé sur des sites de porno.
(Quand je l'ai appris, je me suis immédiatement effondré. Contre le mur, tremblante de pleure interminables. Le visage rouge, j'ai pleuré jusqu'à m'exploser les yeux. J'ai replié mes genoux contre ma poitrine et les a encerclés avec mes bras. Pour me réconforter. Je me consolais moi-même car j'étais seule. seule. Les yeux dirigé vers le sol, mes pensées grossissaient dans ma tête. J'arrivais plu a respiré, ni à me calmer. J'étais paniqué et transpirait de peur.)
Je venais de me faire baisé de la pire des manières qui soit.
Il a ruiné ma vie.
MA PUTAIN DE VIE.
Tout le monde le savait dans ma fac. Impossible également de trouver du travail, les patrons vérifient toujours sur internet qui tu es. Tes antécédents, quel genre de personne tu es. Et apparemment, j'étais une actrice porno.
Ma vie a été gâché par une baise. Un parmi tant d'autre, putain de bordel.
putain merde bordel
J'avais moi-même gâché ma vie. Avec des conneries.
des merdes
Qui allait à jamais exister.
pour toujours toujours toujours putain toujours, PUTAIN
Je me suis retrouvé démuni et traité de pute. Seule A me morfondre et à pleurer.
Alors que c'était putain rien, juste une PUTAIN de fois.
Mais la vérité, c'est que c'était pas une fois, il y en avait eu plein d'autre et il y en aurais surement eu pleins d'autre.
Ma vie n'a plus jamais été la même.
Voilà comment c'est passé ma dernière baise.
Voilà comment je me rendais malade en présence d'un homme.
Voilà comment j'arrivais plus à réfléchir dès qu'un homme s'approchais trop près de moi ou me frôlait.
Voilà comment le toucher et le souffle d'un homme m'a dégouté jusqu'à la fin.
Voilà comment finis ma putain d'histoire de vie se termine.
Voilà pourquoi...
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Mes amours
General FictionPdV : accro au sexe. Libby découvre le plaisir d'aimer un corps. Au fil du temps, sa vie va se perdre dans toute cette folie. Elle va adorer le plaisir, puis découvrir et ressentir. Ensuite tenir. Tenter, puis embraser et baiser. Ensuite lâcher.