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Le préservatif. Ce fameux préservatif. Alala ! L'avis dessus est très mitigé, les avis diffèrent et pourtant ! Le préservatif nous empêche d'attraper des maladies et de tomber enceinte. Si c'est pas merveilleux qu'est-ce que c'est ?! Certaines filles n'aiment pas, il y en a qui ont des problèmes avec, qui n'aimes pas la texture, qui sont allergiques, etc... Mais c'est principalement les hommes que ça dérange. Attention, je dit pas tous les hommes, je dis que de tous ceux qui se plaignent, les trois quart sont des hommes. D'après eux, le préservatif les dérange, ça les empêche de ressentir toutes les sensations et même de ne rien ressentir du tout. Je comprends que ça puissent gêner mais si ça nous protège, alors il faut en mettre.

Je connais quelqu'un qui détestait les préservatifs. Enfin, je connaissais. Je l'ai découvert en pleine acte. C'était vraiment pas très géniale. Larry était ce type de gars qui flirt avec tout le monde, qui enchaîne les conquêtes et qui se remet jamais en question. C'était un vrai connard, tout le monde le pensait et tout le monde lui disait sur le ton de la plaisanterie. Il était pas très intelligent. Avec un nez bossu et de travers, des yeux bleus globuleux et des lèvres presque blanches, il avait l'air d'un abrutit. Il était un peu moche, mais ça c'était pas grave, parce qu'il avait une bonne bite. C'est ce que les autres disaient. Normalement je crois pas à ce qu'on dit. En générale, tout ce qui se chuchote dans les couloirs, c'est plus des rumeurs pour blesser ou enrager quelqu'un en particulier. Avec la tête qu'il avait et toutes ses filles qui voulaient le baiser, c'était obliger qu'il en avait une bonne. J'étais persuadé de bien raisonner.

J'étais curieuse à l'époque, j'essayais pleins de trucs nouveau, à la recherche de ce qui me correspondait le plus, vous l'avez bien compris. Ce mystère qui entourait sa bite m'obsédait au point que j'ai tenté ma chance. Et par chance, il m'a laissé lui tomber dans les bras. Je suis devenu sa cible, il voulait lui aussi me baiser et voir ce que je rapporterais. On se voyait souvent dans les couloirs et des dois on mangeait ensemble avec nos amis. On a pas vraiment eu le temps de sortir ensemble, on s'était juste dragué un certain temps et après on s'est sauté dessus comme des chiens en chaleurs.

Le jour où on s'est embrassé, il m'a emmené dans sa chambre étudiante. Elle était petite. Une pièce pour la cuisine, la salle a mangé et le salon. Dedans il y avait tous les meubles de la cuisine, une table carre pour quatre personnes avec ses chaises, la télé dans un couin et un canapé rouge contre le mur. Il m'a dit qu'il dormait sur son canapé-lit. Comme il était 18 heure, le lit était rangé dans le canapé. Et franchement, s'emmerder à défaire le clic-clac, dans un moment pareil, était un tue l'amour assuré. Il s'est alors assis sur son canapé et il m'a laissé l'embrasser pendant un moment. On s'embrassait dans tous les angles possibles.

En pleins mois d'hiver, je portais un gros manteau, je l'ai laissé glisser de mes bras pour le déposer par terre. Mon pull l'a rejoint aussitôt. Il a baissé sa tête en direction de ma poitrine et a embrassé le haut de mes seins visibles. Il a attrapé avec ses dents la dentelle de ma brassière d'une manière sexy et a passé sa langue. J'ai retiré se bout de tissus. Il s'est alors attaqué à mes seins. Mon cœur battait de plus en plus fort, emporté par l'amour brute de l'action. Ses empreintes me chauffaient la peau. Il passait sa langue comme des rayures de tigres, il a pris en bouche mon sein gauche et la sucer, il a mordillé mon téton. Ma mouille se déversait dans ma culotte, j'étais impatiente qu'il me touche à cet endroit. Sous moi, je sentais la bosse de son érection grandir de plus en plus, ce qui augmentait la perte de contrôle de mes émotions. J'étais tellement exciter que j'ai filé ma main sous son pantalon, caleçon, j'ai traversé la forêt de ses poiles puis je suis entrée en contact avec sa bite dure. Je passais la pulpe de mon doigt dessus. Je libérais des gémissements d'entre mes cordes vocales et me laissait totalement aller. C'était des soupirs d'aise qui se mélangeait au bruit de ses respirations rauques. Ses mains ont empoigné mes fesses (j'ai tressaillit) qu'il serrait puis desserrait. J'ai basculé mon bassin pour me rapprocher de l'endroit où était sa bite, pour lui faire comprendre que c'était le moment.

Mes amoursOù les histoires vivent. Découvrez maintenant