Jean x Reader

Chapitre 37

Je suis de retour !

Quelques jours étaient passés, et dans deux jours je reprend les cours. Toutes les nuits passaient Jean me rendait visite. On était plus amoureux que jamais, mais ça me plaisait. Sur les réseaux certaines personnes pensaient que l'ont avaient rompus suite à ce qu'il s'était passé. Et en parlant des réseaux je dois dire que dernièrement je les détestes, avec mon copain on se prend tout les jours des insultes de personnes du lycée ou même d'inconnus.
Je n'eus pas le droit de sortir de toutes la semaines et de même pour Jean.

Marie : Bon (tp) on repart en voyage quand tu reprendras les cours.

(tp) : D'ici la je peut sortir ?

Marie : Ça dépend ce que tu veux faire

(tp) : Aller voir Jean ?

Marie : Il est 19h30, tu vas pas aller le voir maintenant.

(tp) : Et si je dors chez lui ?

Ouais je m'invite chez lui sans son autorisation.

Marie : Je te rappelle que tu es consigné

(tp) : Mais ce n'est pas de ma faute...

Marie : Oui oui, bon fait ce que tu veux, de toutes façon tu m'écoutes jamais.

(tp) : Pourquoi tu dis ça ?

Marie : Je dis la vérité, si tu m'avais écouté tu ne serais pas à la maison, virée du lycée, et traitée de pute par les autres lycéens.

(tp) : Écouter pour quoi ?

Marie : De ne pas avoir de copain

(tp) : Mais rien n'est de la faute à Jean, il est génial et il pense à moi. Sortir avec lui n'est que bénéfique. Et tu oublie le plus important, je l'aime !

Marie : Jean n'est pas le problème mais toi ! Certes il est génial, passioné d'art... mais c'est toi le problème ! Tu te tires et tu LE tire par le bas à cause de votre relation ! À peine est-il arrivé ici qu'il a déjà des problème.

(tp) : C'est pas ma faute !

Marie : À cause de cette relation tu en oublie tes études ! Tu vas rater ton année scolaire et rater ton BAC.

(tp) : Comment peux-tu me dire ça...? Papa...?

François : *souffe* (tp)...ta mère a raison.

(tp) : C'est vraiment ce que vous pensez de moi ? Que je suis une bonne à rien...?

Marie : Ces derniers temps, oui.

Les larmes me montèrent aux yeux, décevoir mes parents est l'une de mes plus grandes peur et désormais, elle est réel. Je partis en courant dehors en ne prenant aucune de mes affaires.
Désormais seul sous la pluie, en pleure, dans la rue, je ne sais quoi faire.
Je partis machinalement vers chez mon copain, le temps que j'arrive chez lui la nuit est déjà tombé.

Point de vue Jean :

Alors que j'étais dans ma chambre en train de me faire chier, j'entendis quelques chose taper contre la fenêtre. Je l'ouvris et trouvai  ma copine en bas.

Jean : Prend l'échelle à côté.

Une fois à ma fenêtre je la fit rentrer dans ma chambre.

Jean : Comment ça se fait que tu sois là ?

(tp) : Je voulais te voir

Jean : Mais...tu as pleurée..?

(tp) : Oh euh c'est rien ne t'en fait pas

Je tira ma copine sur le lit et on s'asseya.

Jean : Dis moi tout

(tp) : Jean, c'est vraiment pas important...

Jean : À qui te confies-tu si tu n'en parle même pas au garçon qui t'aime ? Tu peux tout me dire, c'est pas l'utilité d'avoir un copain ? Pouvoir tout lui dire sans avoir peur ni être jugé ?

(tp) : Mes parents disent que je suis une bonne à rien, que je te tire vers le bas et que tout tes problèmes sont à cause de moi. Mais le pire dans tout ça c'est que je crois qu'ils ont raisons...

Elle me prit dans ses bras et mit sa tête dans mon cou. Je sentis ses larmes coulées.

Jean : Eh (tp) c'est absolument faux. Toi une bonne à rien ? Tout sauf ça. Tu es parfaites, gentille, intelligente, attentionnée. Et je te rassure tu ne me tire absolument pas vers le bas et c'est tout le contraire. Depuis que je suis avec toi je me suis battu 2 ou 3 fois, en temps normal c'est minimum 3 à 4 bagarres par jour. Arrête de croire tes parents, comme je te l'ai déjà dit, ce sont des parents, ils sont tous tarés. Crois moi, tes parents tu les as pas choisi, moi si. Alors crois moi.

Elle sortie sa tête de mon cou et m'embrassa langoureusement.

(tp) : Je t'aime

Jean : Je t'aime aussi ma lady's.

On resta quelques minutes enlacer.

(tp) : Dis, je peux rester la cette nuit ?

Jean : Oui bien sûr, mais faut pas que mes parents le sachent. J'ai pas le droit d'inviter quelqu'un .

(tp) : Oui bien sûr, je reste dans ta chambre.

Jean : Attend je reviens

Je sortis de la chambre. Je descendis au rez de chaussé.

Annie : Jean on va passer à table, tu viens ?

Jean : Je venais vous dire que je me sentais pas bien, je suis fatigué, j'ai mal à la tête. Je peux prendre mon assiette en haut, je vais aller dormir.

Annie : Oh euh oui bien-sûr.

Fred : Attend Jean, je voulais te parler.

Jean : Oui ?

Fred : Je suis désolé pour l'autre jour. Je ne compte pas te renvoyer à Paris. Et je ne prend pas tes tentatives de suicide à la légère.

Jean : N'en parle pas s'il te plaît

Fred : Je voulais juste te dire que je ne compte pas revivre ce jour où je t'ai trouvé à moitié mort.

Jean : Je..oui... merci, je vais aller dormir.

Ma mère me donna une grosse portion de lasagnes, et je prit deux yaourt.
Sur le chemin pour retourner aux escaliers je priais pour que (tp) n'est pas entendu ce que mon père a dit. Mais en arrivant en haut des escaliers, je la vis, les larmes aux yeux.