Jean x Reader

Chapitre 44

Quand je commence on ne m'arrête plus ! Voici donc pour vous un nouveau chapitre !
N'hésitez pas à commenter !

PDV (t/p):
Le lendemain matin je me réveillais non pas dans les bras de mon copain, il était éloigné de moi dans le lit les yeux ouverts.

(t/p): Bonjour mon coeur, tu vas bien ?

Je me rapprochais de lui et posa un baiser sur sa joue.

Jean : Mhhh ça va oui...

(t/p): Tu n'as pas arrêter de bouger cette nuit, tu dois être fatiguer

Jean : Pas autant que toi je pense

(t/p): Pourquoi cela ?

Il ne me regardait même pas, ses yeux étaient rivés vers le plafond ses bras croisés sur sa poitrine. Son teint était anormalement blanc.
Je posa ma main sur mon front pour vérifier si il n'avait pas de fièvres.

(t/p) : Tu es sûr que ça va, tu te comportes bizarrement.

Jean : Oui oui, comme tu l'as dit j'ai mal dormis ça doit être ça. Tu pars à quel heure aujourd'hui ?

(t/p): Ah euh je ne sais pas, tu voudrais que je parte à quel heure ?

Jean : Le plus tôt possible, je dois me reposer et j'ai pleins de trucs à faire.

Il se redressa dans le lit, me repoussait au passage. Je ne l'avais jamais vu comme ça, me repoussant a ce point. Inconsciemment, ne comprenant pas ce qu'il se passe et craignant le pire, les larmes me montèrent aux yeux. Je me redressais moi aussi, et enlaça ses épaules nu et déposa un baiser sur celles-ci.

(t/p): Je t'en pris parle moi, qu'est-ce qu'il se passe ? Je ne comprend pas, il ne s'est rien passé...?

Jean commençait à ouvrir la bouche, mais la porte s'ouvrît en fraqua et fit un bruit monumental contre le mur. Alex fit son apparition dans la chambre, je n'avais même pas remarqué qu'il n'était pas là.

Alex : Salut tête de cheval

Alex se tourna vers moi et me fit un clin d'œil.

Alex : Alors ma belle, remise de cette nuit ? Tes genoux vont mieux ?

Je vis le regard de Jean se durcir, et son dos se contracta.

Jean : SORS DE LA IMMÉDIATEMENT ESPÈCE D'ENFOIRÉ, JE NE VEUX PLUS TE VOIR !

Alex : Wouah, je savais que c'était tendu entre nous mais de la... à ça.

(t/p): J-jean...qu'es ce que ?

Jean : Et toi, tu ne dis rien ? Il te parle comme ça et tu ne dis rien ?! Sortez tout les deux, je ne veux plus vous voir.

(t/p): Jean je t'en supplie explique moi ce qu'il ne va pas

Jean : Mon cousin a déjà tout dit je crois. Vous vous êtes vu cette nuit ?

Je descendis du lit et me posta devant lui. Ses yeux descendirent immédiatement sur mon genoux blessé de cette nuit.

Jean : Pas besoin que tu me le confirme, j'en ai la preuve.

(t/p): Mais Jean...je ne comprend pas.

Jean : Je t'en pris, part. Ne rend pas les choses plus compliqué. Je...je ne pensais pas que ça arriverait...

Cette fois les larmes coulèrent le long de mes joues, j'entendis derrière moi un rire, je me retournai vers Alex et le trouva plié en deux.
Je prit mes affaires et sortis de la chambre pour m'enfermer dans la salle de bain et me rhabiller. J'étais perdue, je ne comprenais pas. Tout aller bien jusqu'à cette nuit, mais que c'était-il passer, je me repassais en boucle notre conversation.
Je sortis de la salle de bain, les larmes coulant toujours sous mes yeux. Je n'eus pas le courage de revenir dans la chambre de Jean. Je partis dans le salon et trouvai Anne, Fred, Alex et ses parents.

(t/p): Bonjour, je voulais vous dire au revoir. Merci pour votre accueil chaleureux.

Anne : Oh déjà (t/p) ! Mais il n'est que 9h, Jean va être terriblement déçus

(t/p): Il a besoin de repos, ma présence le fatigue plus qu'autre chose. Moi ou un de nos camarade lui apportera ses devoirs. Merci beaucoup Anne, au revoir.

Je sortis de la maison, et rentra chez moi.

PDV Jean :
(t/p) venait de quitter ma maison. Je me sentais si mal, j'avais passer la nuit à me faire tout les scénarios possible. A me convaincre que non, il est impossible que (t/p), la fille que j'aime et qui m'aime, pouvait ma tromper avec mon propre cousin.  J'avais décidé de laisser le bénéfice du doute à ma copine, mais alors que j'allais démarrer une discussion sérieuse avec elle, Alex était entré dans sa chambre et s'était venté de leur « folle » nuit. Mon sang n'avait fait alors qu'un tour, et impulsivement je les avais tout les deux chassés de ma chambre.