Chapitre 27

1K 50 73
                                    

Commentez :) !

Point de vue (tp) :

Je me dirigeais vers la maison de Jean, la boule au ventre, le cadeau pour mon copain dans mes mains moites. Bien habillé bien coiffé, bref sur mon 31. Quand j'arrivais devant la maison de mon copain je crus m'évanouir de stresse. Ma main tremblait et il me fallut 5min pour appuyer sur la sonette, une fois fait il ne fallu que 2secondes à mon copain pour arriver devant la porte et d'ouvrir.

Jean : Salut mon coeur

(tp) : Salut...

Je n'osais pas m'approcher pour l'embrasser de peur que ses parents n'arrivent.

Jean : Mes parents sont au premier, ne t'inquiète pas, ils n'ont pas entendu que tu étais arrivée.

Je m'approchais donc de mon copain et l'embrassait à pleine bouche.

Jean : Ah, je préfère ça...

Il posa ses mains sur ma taille et m'embrassa sur le front.

Jean : Aller vien, c'est le moment

Il me prit la main et me tira avec lui jusqu'à son salon.

Jean : Maman ! Papa ! (tp) est arrivée !

J'entendis des pas qui se précipitaient vers les escaliers, puis très vite une femme d'une quarantaine d'année assez petite, les cheveux brun avec un homme à peine plus agée qui lui est le portrait craché de son fils en bas des escaliers.

Annie : Bonjour !

Elle me serra la main toute contente.

Fred : On est vraiment content de vous rencontrez, depuis le temps que l'on attendait ce moment, ont commençaient à croire que notre fils était gay.

(tp) : Ah ben ça non, si vous saviez ce qu'il m...

Ouais non je vais me taire finalement.

Annie : Bon parlez nous de vous, on veut tout savoir ! Mais déjà allons nous installer à table, le repas est prêt.

On partis tout les quatres en direction du salon, je découvris à la table plusieurs plats, pour chaque goût. On s'installa, Jean à ma droite, Annie en face de moi et donc Fred en face de Jean.
Jean me servit.

Annie : Alors je veux tout savoir, vous ne pouvez comprendre à quel point je suis contente que Jean est trouvé une jeune fille aussi charmante que vous.

(tp) : Merci beaucoup, alors par ou commencer, donc je suis (tp) (tn), j'ai grandi ici, et j'ai 17 ans. Mes parents s'occupent de trouver des tableaux et de les revendres à des galeries d'art ce qui fait qu'ils voyagent énormément, j'ai donc toujours vécu seul, ils ne reviennent que pour les jours spéciales et les week-ends de temps en temps.

Fred : Donc vous êtes fille unique ?

(tp) : Heu oui exactement, j'aurais dû avoir un grand frère mais il est mort deux jours après la naissance.

Annie : Oh désolé

(tp) : Ne vous excuser pas, je ne l'es même pas connue. Et donc j'ai rencontrée votre fils le jour de la rentré et on s'est tout de suite entendu.

Fred : Et que comptez vous faire après le lycée ?

(tp) : Je vais continuer tout ce qui est dans la littérature et partir en licence lettre moderne.

Annie : Une écrivaine et un peintre, parfait combot.

Fred : En tout cas je voulais vous dire merci d'être si gentille avec notre fils, c'est si rare qu'il se fasse des amis.

Jean : Papa c'est bon...

(tp) : Ah mais de rien, c'est avec grand plaisir.

Jean posa sa main sur ma cuisse.
Le repas passa dans la bonne humeur, les parents de Jean m'apprécièrent beaucoup, mon copain était aux anges.
Après le repas Jean m'emmena dans sa chambre.

(tp) : Je meurs de froid

Jean : Quelle idée aussi d'être venue en robe, sans collant en plein milieu du moi de décembre ?

(tp) : Je voulais plaire à tes parents

Jean : Tu leur aurais plus dans tout les cas.

Jean disa cela tout en me donnant un de ses pulls.

(tp) : Il va plus t'en rester à force de me les donner.

Jean : T'inquiète, c'est pas dans le contrat quand on se met en couple de donner tout ses pulls à sa copine ?

(tp) : Ah ben je vais pas me plaindre.

Je me couchais sur son lit et très vite il me rejoignait pour me prendre dans ses bras.

Jean : En tout cas mes parents t'adorent. On a de la chance.

(tp) : Tout s'annonce pour le mieux

Je resta avec Jean tout le reste de la journée, on avaient échangés nos cadeaux. Il m'a offert plusieurs livre qui me faisait de l'oeil depuis un moment. Et quand à moi je lui est offert plusieurs CD, avec un vinyle (il a un tourne disque). Puis vers 18h30, j'étais rentré chez moi.
Le Nouvel An était passé, on avait pu se revoir une autre fois, mais pas assez à mon goût alors j'avais extrêmement hâte de le revoir. Alors le matin de la rentré de Janvier je dois avouer que j'étais extrêmement excitée, mes parents n'étant pas la j'avais eu toute la maison rien que pour me préparer puis quand je sortie de chez moi, j'eus une très bonne surprise. Jean devant la porte.

Jean : Ah ben enfin, j'attend depuis au moins 30min .

(tp) : Jean !

Je lui sautais dans les bras et l'embrassa à pleine bouche.

Jean : Ça fait p'têtre qu'une semaine mais elles m'avaient manqué tes lèvres.

Mon copain mit son bras autour de me épaules.

(tp) : Mais ce n'est pas du tout le chemin que tu prend pour aller au lycée, me dit pas que tu à fait ce détour rien que pour moi ?

Jean : "Rien que pour toi" tu veux rire, c'est avec plaisir que je le fais ma lady's.

On parti en direction du lycée, une fois à l'intérieur, je sentie tout les regard sur moi. Jean avait son bras sur mes épaules et m'avait embrassé devant tout le monde. On ne passait pas inaperçu. Et même si j'étais gênée je dois avouer que c'est plaisant de voir toutes ses filles qui me regardent avec jalousies. Nos amis n'étant pas encore la, on s'asseya sur un banc, ma tête posé sur ses genoux, sa main passant dans mes cheveux.

Jean : Tout les garçons ragent, ils aimeraient être à ma place.

(tp) : Dis pas de conneries, par contre les filles elles me regardent avec jalousies.

Jean : Si je te le dis, oooh regarde Reiner là-bas , il est fou de rage.

(tp) : Si tu le dit...

La sonnerie retentis et on rentra en classe.





Jean x Reader Où les histoires vivent. Découvrez maintenant