chapitre 12

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nami : allez les gars on y va !!
usopp: youpi ! Bizarrement j'ai la maladie de "je pense que cette île est plutôt cool"
sanji : j'espère qu'il y a de bons poissons ici...et de jolie demoiselles...
luffy : VIANDEEEEEE
francky : te perds pas Zoro hein...
zoro : pff
robin : mmmh je pense que le conseil de francky serais à ne pas prendre à la légère monsieur le bretteur...
brook : OHOHOHO les femmes seront peut être d'accord pour me montrer leurs sous-vêtements !
chopper : ahhh brook t'es dégoûtant..

Et pourtant malgré tout ce brouha je ne me suis réveillée, ils ne m'ont pas vu, ils ne m'ont pas appelé, alors je suis resté là, à dormir sur la crinière du lion. Simplement l'arrivé d'un bateau attira mon attention, car bizarrement l'île devient bruyante, de plus il est assez voyant avec son rouge bordeaux et ses deux Yudas. J'entrouve les paupières et observe, une femme brune en descend avec à ses côtés, différentes femmes.

Je ne me souviens plus du nom de l'île où nous sommes mais les habitants on l'air d'être tous des, des femmes ? Ah, nous sommes alors sans aucun doute sur Amazon Lily, et cette fameuse brunette n'est autre que Boa Hancock, la Shichibukai.

Je pense l'avoir dévisagé assez mal car en me voyant elle me lance un regard noir mais passe son chemin sans plus. Je me questionne et me lève de mon lit improvisé, je regarde le sunny et remarque que je suis seule.

Bon eh bien raison de plus pour descendre de ce bateau, c'est alors que je m'aventure sur l'île des femmes.

Les rues sont bondés de monde et l'ambiance est au rendez-vous, il me semble que c'est parce que l'impératrice viens de revenir donc les femmes sont toutes excitées. Je visite un peu, sans réellement porter attention à tout les détails, je marche juste.

Je ne connais vraiment personne ici, heureusement, il vaut mieux ne pas me connaître enfaite. A cet instant je passe devant un magnifique restaurant, et l'odeur qui s'y dégage est exquise, je reste alors un peu dans mes pensées, réfléchissant à quel merveilleux plat pourraient assoiffer ma faim de loup.

Maladroite que je suis, je ne regarde pas où je marche.

: eh faites attention mademoiselle !
t/p : excusez moi, j'étais ailleurs..

Je toise attentivement cette dame, mais elle reste bouche bée devant moi. Ses yeux s'écartent de plus en plus et sa gorge semble se noué car aucun mot n'arrive à sortir. En reculant de peur elle se cogne contre quelques passantes. Elle réagissent à la réaction de cette dame et s'inquiètent pour elle, elle la questionnent donc. Je ne comprends pas, c'est qui celle là ? Pourquoi réagit t'elle comme ça en me voyant ?

t/p : euh ...madame ?

Elle mis sa main devant sa bouche, puis elle tomba. J'avais l'impression d'être quelque chose qui la dégoûtait, et puis toutes les femmes commençaient à me regarder de la même manière qu'elle, c'était extrêmement gênant.

: c'est...c'est..

Je devenais de plus en plus septique, alors moi aussi je reculais, de peur mais surtout d'incompréhension.

: c'est..C'EST LA LOUVE !

Je m'arrêta, toutes les femmes étaient aussi choquées que celle au sol, leurs yeux exprimaient de la terreur, de la haine, de la détresse.

J'essayais de me fier à mon fruit du démon, j'écoutais toutes les voix différentes, les sentiments, les pulsations.. je commençais même à en perdre la tête.

Puis une femme parla.

: Anaïs répond moi !

Anais ? La mère de Nathan ? Cette femme là ? Mais pourquoi est-elle ici ?

anais : j-je.., nous ne sommes plus en sécurité...

Autour de moi les femmes s'affolaient, elles couraient, criaient. J'ai pensé alors qu'à une seule chose, la fuite. Mais quand j'ai voulu me retourner je me suis retrouvé face à celle que je n'avais pas envie de revoir, Boa Hancock.

boa hancock : La louve ?

Anais affirma, alors boa appela les guerrières et sans me défendre, elle m'emmenèrent dans une cellule.
Oui, je ne me suis pas défendue parce que je ne vois pas l'interêt, elles vont simplement me poser des questions alors je n'est qu'à leur expliquer, et puis je ne suis pas encore en état de combattre, raison de plus.

Assise dans ma prison, j'entendis des paroles.

boa Hancock : Elle est si dangereuse que ça ?
anaïs : OUI ! Jamais je n'oserais vous mentir, je veux vous avertir et vous protéger !

Moi, dangereuse ? Merci, mon ego en prend un coup.

Boa Hancock : VOTRE ATTENTION, J'AI DÉCIDÉ QUE LA LOUVE SERAI CONDAMNÉ À MORT, DEMAIN À 16H SA VIE LUI SERA ÔTÉE !

Attends, QUOI, COMMENT ÇA ?!

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je serais tienne, tu seras mien. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant