Traversant la rue les yeux humides
Le coeur serré comme un linge essoré
J'aperçus du coin de mon oeil livide
La surprise de cet homme à me voir ainsi
pleurer
Moi, dévastée par une douleur sans nom
Je ne lui accordai pas plus qu'une simple
pensée
Et quand l'avenue finit par se taire pour
de bon
Et que ma souffrance commença à
s'estomper
Je compris alors qu'à son tour il me
fascinait
Et que jamais plus je ne l'oublieraisJe suis désolé j'ai beaucoup moins de temps libre en ce moment, donc mon temps d'écriture s'en trouve de fait réduit. D'où ce tout petit poème qui fait suite à celui d'un grand auteur et qui s'intitule " À une passante".
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LA MORT DE LA POESIE
PoetryUltime recueil de poésie pour un écrivain qui a définitivement déversé toute sa rage, sa tristesse et ses doutes dans ses pages numériques. Après ça, le Néant, la Mort ou la Liberté, j'ai choisi. Et vous ?